Aliénor d'Aquitaine
Son intelligence n'avait d'égale que sa beauté. Elle ne s'est pas cantonnée à son rôle d'épouse de Louis VII et d'Henri II, mais a grandement influé sur la géopolitique européenne. On dit qu'elle fut la première femme de pouvoir de l'Histoire.
Petite-fille du notoire troubadour Guillaume d’Aquitaine, Aliénor hérite d’une écrasante succession. Propulsée à la tête du plus beau duché d’Occident, elle est déjà femme quand son père agonisant, le duc d’Aquitaine, la place sous la protection du roi de France, Louis VI. Elle épousera son fils, le futur Louis VII, réputé pour avoir été le monarque le plus morose de son époque. C’est le couple le plus mal assorti qu’on puisse imaginer. Tous les hommes sont amoureux d’elle, excepté le roi son époux, qui a des apparences et des mœurs de moine.
Le samedi 25 novembre 2017 à 08 : 20 -0500, S...... a écrit :
Vous semblez régler vos comptes avec certaines féministes dans une sorte de fourre-tout qui affaiblit votre argumentation.
D’abord merci de me faire part de votre observation, mais je ne suis pas d’accord car je ne règle pas de comptes - avec qui que ce soit - je ne m'intéresse qu'aux faits ( en toutes circonstances ) - et j'entends bien rester entièrement libre de dire ce que j'ai envie de dire aussi souvent que possible sans me préoccuper de plaire ou de déplaire
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L’important n’est pas d’être " féministe " mais " pas que féministe "
Je n’y peux rien si des féministes de boudoir, à l’image de Caroline De Haas, d’un genre assez spécial, propose d’élargir les trottoirs pour permettre aux femmes de circuler sans être importunées par une population d’hommes pour la plupart musulmans dans le quartier de la Chapelle-Bourbon à Paris - ceci rappelé, ce qui me dérange et me blesse bien plus encore que son bon niveau de crétinerie, c’est d’observer que les « grands médias » s’empressent de lui tendre leurs micros - c’est écœurant -
De même, je ne peux accepter ni excuser ni minorer au nom d’un différencialisme venant de personnes autoproclamées « féministes » qui au nom d’une prétendue lutte antiraciste nient la loi commune pour minorer les agressions sexuelles commises récemment en Gare de Cologne
De toutes façons je considère suspectent les personnes qui se disent féministes pour leur préférer les personnes qui n’ont pas besoin de démontrer qu’elles ne sont " pas que féministes ", elles concourent à ne pas dissocier le féminisme de la citoyenneté ou de la loi commune qui considère les femmes comme des personnes, des citoyennes en inscrivant dans les esprits le principe majeur de l’égalité femme-homme afin de prévenir toutes les formes d’oppressions entretenues par le biais des convictions culturelles/religieuses véhiculées intrafamilial obligeant les femmes à vivre sous-servitudes, quand, comble de l’ironie, certaines minorités religieuses, dans l’actualité, pour la plupart musulmanes, vont jusqu’à demander aux mères de transmettre à leurs enfants les idéaux sacralisés du patriarcat
Pour que les ouistiti-moustachus en prennent plein les yeux et les oreilles
Quand au célébrissime ouistiti-moustachu ( Edwy Plenel ) admirablement caricaturé par Coco ( dessinatrice à Charlie ) il est au féminisme ce que vaut la liberté des femmes dans une théocratie – inutile de s’étendre sur le cuir de l’animal aux fesses dégarnies car il a, depuis longtemps déjà, tombé le masque dans la mesure puisqu’il est favorable déclaré au communautarisme, ce qui signifie pour lui que la citoyenneté est sexuée
Hors, la laïcité sans adjectif ajouté garante de la liberté de la pensée prime sur les tentatives, par le biais d’assauts théocratiques pour la plupart musulmans plus vénaux les uns que les autres, de fragmenter notre société dans l’objectif de totalement l’enpatriarquer à nouveau sur des bases culturelles/religieuses d’un autre âge, et comptant parmi les plus inégalitaires
Excusez-moi du peu mesdames et messieurs de préférer Éléonor d’Aquitaine, Ninon de Lenclos, Émilie du Châtelet, Francesca Bruni, Olympe de gouges, Georges Sand, Marie Curie, Amélia Earhart, Peggy Gouguenheim, Anne Sinclair ou Élisabeth Badinter à Simone de Beauvoir qui, durant l’occupation, a travaillé à Radio Vichy
N’en déplaise aux innocents toute parole peut-être aussi douteuse ou vénéneuse que celle de chacun des sept évangiles
Le viol auparavant n’était qu’un simple délit, plus jeune j’ai participé ainsi que beaucoup de personnes de ma génération ( mais pas seulement ) à criminaliser le viol - cependant quand Marlène Schiappa dit " Il faut croire la parole des femmes " j’invite à la prudence en rappelant que durant l’occupation allemande de nombreuses femmes, pour se débarrasser de leurs maris ( surtout s’il est infidèle ), les ont dénoncés par lettres signées adressées à la police française en les faisant passer, entre-autres, pour des communistes ou de virulent opposants au régime de Pétain - 1 -, donc il faudra dans les diverses institutions susceptibles d’accueillir les femmes des personnes bien formées pour valider une parole assurément vraie dans l’absolue majorité des cas - CRAB
1 – Notes :
Il était plus facile d’envoyer une lettre de délation que d’entamer une procédure de divorce - ( ...des hommes ont fait exactement la même chose pour se débarrasser de leur femme ou de leur maîtresse )
Durant l’occupation allemande, citation : Une autre forme de collaboration, c’est la dénonciation. Les femmes ( cela ne va pas vous faire plaisir mesdames ) ont beaucoup plus dénoncé que les hommes. Les lettres de dénonciation, majoritairement, sont écrites par des femmes.
Qui dénonce?
Pourquoi dénoncent-elles?
Ce sont des femmes comme vous et moi, elles ne sont pas engagées dans la Résistance. Elles sont jalouses d’un voisin, de la réussite du fils d’un ami et elles vont dénoncer. [ .../... ] Une autre femme n’aime plus son mari et décide de le dénoncer. Il était chef d’un réseau de Résistance, tout le réseau va tomber. Très peu reviendront. [ … ] Source : Isabelle Soulard ( auteure de " Les femmes sous l’occupation " )
Suites : VIOLS et EXCISIONS en 2017
https://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/11/viols-et-excisions-en-2017.html
Une minute de silence – pour qui ?
N’en déplaise à la pseudo-féministe Caroline De Haas, la minute de silence du Président Macron est symbolique de l’hystérie qui, en rapport avec l’actualité dite « de la parole libérée des femmes », s’est emparée des femmes et des hommes féministes de boudoirs dont principalement le concept avancé de féminicide repris par de nombreux médias ou au cours de débats radios et de la télévision est des plus absurde, car dans la face sombre de la condition humaine, sans rien minimiser, les femmes ne sont pas assassinées parce qu’elles sont des femmes ;
dans notre pays, les faits sont là, la violence ne vient pas exclusivement des hommes, en 2016, 126 femmes ont été tuées par leur « compagnon » et 34 hommes l’ont été par leur « compagne »
Compte tenu de l’hystérie qui parcoure le milieux des féministes de boudoirs, il me paraît nécessaire de rappeler d’autant que ce microcosme se garde bien d’exposer sur la place publique que de source judiciaire si 126 femmes ont-été tuées, 44 des auteurs de crimes se sont aussitôt donné la mort – mais certains diront que je règle des comptes.... alors que je ne fais que m’appuyer sur les statistiques qui comptent
Quand à Plenel ( dit le ouistiti-moustachu ), pour répondre à une question qui m’a été posé, il n’est qu’un néo stalinien adoubé dans les milieux ou la maladie d’illusions fait citoyenneté sexuée pour le plus grand bonheur de Caroline De Haas porte parole d’un caricatural féminisme victimaire
À l’attention de C.......n B....l
Dans le débat public je n’interviens ni au nom des hommes ni au nom des femmes - c’est en ce sens qu’à maintes reprises j’ai dû préciser que je participe au débat en tant que " pas seulement féministe ", c’est à dire, en tant que CITOYEN
Sans pratiquer l’insulte, je critique des textes ou les positions publiques pris par telle ou telle personne ( d’autant plus si elle est très médiatisée ) sans chercher à plaire ni à déplaire à qui que ce soit
En outre je peux intervenir, donner un point de vue sur les commentaires des uns ou des autres sans jamais intervenir sur le fond d’une affaire aussi longtemps qu’elle n’est pas jugée