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FÉMINISME

  • SalePute

    FÉMINISME

    #SalePute 2022-07-27 21-33-38Z 57 min. 32 sec. (Programme)

    Belgique 2021

    Real: Florence Hainaut, Myriam Leroy

     

    Loin d’être un phénomène isolé, le cyberharcèlement touche en majorité les femmes. Une enquête édifiante sur ce déferlement de haine virtuelle, aux conséquences bien réelles. Avec le témoignage d’une dizaine de femmes, de tous profils et de tous pays, et de spécialistes de la question, qui en décryptent les dimensions sociologiques, juridiques et sociétales.

     

    Les femmes sont vingt-sept fois plus susceptibles que les hommes d’être harcelées via Internet et les réseaux sociaux. Ce constat, dressé par l’European Women’s Lobby en 2017, prouve que les cyberviolences envers les femmes ne sont pas une addition d’actes isolés, mais un fléau systémique. Plusieurs études sociologiques ont montré qu’il était, en majorité, le fait d’hommes, qui, contrairement aux idées reçues, appartiendraient à des milieux plutôt socio-économiques plutôt favorisés. Se sentant protégés par le caractère virtuel de leurs actions, les auteurs de ces violences s’organisent et mènent parfois des "raids numériques", ou harcèlement en meute, aux conséquences, à la fois personnelles et professionnelles, terribles pour les victimes. Celles-ci, lorsqu’elles portent plainte, n’obtiennent que rarement justice puisqu’elles font face à une administration peu formée sur le sujet, à une législation inadaptée et à une jurisprudence quasi inexistante. Les plates-formes numériques, quant à elles, sont encore très peu régulées et luttent insuffisamment contre le harcèlement. Pour Anna-Lena von Hodenberg, directrice d’une association allemande d’aide aux victimes de cyberharcèlement, le phénomène est une menace directe à la démocratie : "Si nous continuons de tolérer que beaucoup de voix se fassent écarter de cet espace public [Internet, NDLR] et disparaissent, alors nous n’aurons plus de débat démocratique, il ne restera plus que les gens qui crient le plus fort".

    Acharnement haineux
    Florence Hainaut et Myriam Leroy, deux journalistes belges cyberharcelées, recueillent les témoignages d’une dizaine de femmes, de tous profils et de tous pays, (dont la chroniqueuse de 28 minutes Nadia Daam, l’humoriste Florence Mendez ou encore l’autrice Pauline Harmange), elles aussi insultées et menacées sur le Net. En partant des messages malveillants reçus par ces dernières, le duo de réalisatrices enquête sur la prolifération de la haine en ligne auprès de différents spécialistes de la question, qui décryptent les aspects sociologiques, juridiques ou encore sociétaux du cyberharcèlement.

  • IRONIE DE L’HISTOIRE

    À l'attention de Léonie M..... qui se déclare de gauche et européenne :                       GÉNÉALOGIE - INTRIGUES DE NOTRE TEMPS

    L’escroc franco-américain Jean Monnet ( père de l’Europe ) est l’auteur des versets abrogeant la France.
    Mitterrand est l’auteur des versets abrogeant le socialisme.

    Macron est le fossoyeur de la culture française et de la souveraineté de notre Nation.

    Majoritairement nos compatriotes ont compris que nos gouvernants ou

     ministres plus nombreux à gauche qu'à droite au pouvoir après Pompidou ont

     perdu le sens de l'honneur, et Zemmour serait pire qu'eux, c'est une blague?

     

    LA FRANCE EST UN PAYS LITTÉRAIRE

    Elle ne deviendra pas un pays acculturé par les wokes ni ne se soumettra à la sottise complètement hors sol du néo-féminisme.Pour ces dernière une de ces furies décrépies bien avant l’âge requis tentant de me convaincre que Don Juan était un opéra misogyne, j’avais beau lui rappeler que Mozart était le plus français des musiciens autrichiens, homme des Lumières maniant l’ironie, l’impertinence à la française avec un goût prononcé de la satire proposait finement une double lecture de la fureur ou des jérémiades de Donna Elvira, Donna Anna, puis par Zerlina, qu’il n’était nul besoin d’entrer dans le délire ou les chimères de l’aberrant déconstructivisme pour chercher le sens entre les lignes sinon le livret entre les lignes - mais à quoi bon insister avec en face de soi un si commun iel qui ne sait plus ou « il ou elle » habite probablement l’épouse ou l’époux d’un mari déconstruit, un couple wokineux parfait amourachés d’une musique à deux notes ( rap) pour cerveaux à deux neurones.

    SUITES

    https://laicite-moderne.blogspot.com/2021/12/ironie-de-lhistoire.html

     

  • LA PUDEUR

    Retrouver l’article sur

    https://laicite-moderne.blogspot.com/2017/10/la-pudeur.html

     

  • Certificat de coutume

     

    Conférence de presse, de la grande campagne nationale et internationale qui se prépare en faveur du droit d’épouser des non-musulmans pour les Tunisiennes musulmanes.

    SUITE

    http://laicite-moderne.blogspot.com/2017/03/tunisie-2017-certificat-de-coutume.html

    .

  • Le troisième sexe

    Le troisième sexe ou l’enfoulardement des femmes

    https://laicite-moderne.blogspot.com/2018/12/le-troisieme-sexe.html


  • Féminisme universel

     

    Féminisme, Féminisme_Universel, l’intersectionnalité, Olympe_de_Gouges,

     

    Il n’y a pas de créateur, aucune preuve....La mort est absence de sensation, on a une deuxième vie quand on a compris qu'on a qu'une.

    Olympe de Gouge n’écrivait pas avec un crayon de papier mais avec un crayon à papier car elle n’avait pas le lâche souci d’estomper la réalité indécente de la relation de subordination régissant les rapports entre les femmes et les hommes de son temps – suite :

    http://laicite-moderne.blogspot.com/2018/08/feminisme-universel.html

     

  • Lola Montez


    Les femmes qui comptentsuite :
    Lola Montez, née Marie Dolores Eliza Rosanna Gilbert, à Grange le 17 février 1821 et morte à New York le 17 janvier 1861

    Se souvenir très bien
    Lola Montez, aventurière, danseuse, indépendante et ravissant fléau ambulant terriblement provocatrice
    Aux antipodes de la France contemporaine et moderne où les femmes n’ont jamais été aussi libres, elle a vécu dans des mondes hyper-patriarcaux car en ces temps-là les sociétés européennes voulaient, maintenir sans autres perspectives d’avenir les femmes dans le seul statut de mère
    ( ….à notre époque, si l’on n’y prend pas garde, c’est encore l’idéologie dominante dans les milieux où pays dominés par des musulmans – ceci dit c’est vrai que dans certains pays européens, à l’image de l’actuelle Allemagne qui reste encore fortement imprégnée par le principe de culpabilité, de servitude dû au fondamentalisme religieux émanation du fanatique et haineux Luther à l’orgueil mal placé car dans ce pays c’est toujours très mal vu de ne pas être femme au foyer )

    Mozart aimait les femmes, on ne peut pas en dire autant de « ce pauvre Wagner »
    " femme au regard effronté et au mauvais œil " pour Wagner qui en bon petit bourgeois allemand ne supportait pas les femmes éprises de liberté qui pire que tout ne se privaient pas de draguer les hommes quand bon leur semble
    Par excellence, dors et déjà, femme infidèle avant de rencontrer Louis Ier de Bavière qui la fit Baronne de Rosenthal, puis Comtesse de Landsfeld avant qu’elle ne s’intéressa à d’autres hommes

    Confession
    Ainsi que le faisait observer Olympe de Gouges les femmes sont les pires ennemies des femmes - Lola Montez lors d’une confession ultérieure livrée à son mémorialiste Albert Vandam ( lire la vidéo *1 ) " [ .../... ] " Je ne crois pas que les hommes, s’il ne tenait qu’à eux, me siffleraient ; ce sont leurs femmes et leurs filles qui les y poussent. "

    Piqûre de rappel : Les femmes ne sont pas de petites choses fragiles
    Lors d’un procès, à Rouen, dans une salle comble, elle y est entendue comme témoin du meurtre de son amant ( du moment ) Léon Dujarrier pour non-respect des règles d’un duel
    Elle impressionne l’assistance par sa dignité et manifeste son regret de ne pas avoir pris la place de la victime « contrairement au disparu, je tire très bien. J’aurais affronté son adversaire d’égal à égal » - ( Plusieurs policiers d’Europe l’avaient constaté ) - CRAB

    *1 - Lola Montez, vidéo :
    http://blvids.free.fr/Lola_Montez.mp4
    .
    Suites : Le conflit la femme et la mère
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/10/le-conflit-la-femme-et-la-mere.html

    Suites 2 : L'infidélité féminine
    https://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/03/linfidelite-feminine.html

    Suites 3 : Cosi fan tutte
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/cosi-fan-tutte.html

    Suites 4 : Réaliser un féminisme libertin
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin_16.html

    Notes :
    " Brigitte Bardot a beaucoup plus fait pour la femme que Simone de Beauvoir ". Michel Onfray

    En Pologne: les-enfants sortent le soir sexiste de l'école alors que 99 % des enseignants sont des femmes ? – qu’apprennent-elles à leurs-élèves en petite section dans la journée ?
    En France nos enseignants sont-aussi majoritairement des femmes - Fin 2013 : 69,2 % des personnels de l'Éducation nationale sont des femmes

  • La Nuit antifasciste

     

     

    Réponse à un lecteur qui se réclame du « mouvement antifasciste »
    Raciste, parce que je critique l’islam, c'est ce que vous voudriez que je sois, hors - les femmes arabes, iraniennes ou originaires des pays dominés par des musulmans ( y compris dans certains quartiers en France ) non seulement font la même analyse que moi et ne mâchent pas leur indigestion de l'islam – vous repasserez... d’autant plus que je les ai publiées sur mes blogs, par dizaines chaque année...*1

    Quand à vos propos insultants à l’égard d’Élisabeth Badinter, ne me faites pas rire, non seulement elle a compris il y a plus de vingt ans avant tout le monde que le féminisme victimaire ( doloriste ) nuisait à la cause des femmes mais aussi à la citoyenneté parce que, un peu à l'image d'Olympe de Gouges, Élisabeth Badinter est une vraie républicaine qui en outre sait depuis toujours que le féminisme universel ne connaît pas la couleur de la peau

    À la différence des féministes victimistes ( doloristes ) Élisabeth Badinter aime les hommes et montre dans ses livres que des femmes transgressent tous les tabous quand d’autres ne sont pas moins responsables que certains des hommes de la transmission de valeurs masculines négatives – ce qui, pour le ou la militante de base et ses icônes est bien dérangeant, n’est-ce pas ? *
    * - Élisabeth_Badinter, ses livres :
    https://www.amazon.fr/Elisabeth-Badinter/e/B001HMRJ0O

    Laïcité et luttes féministes - silence radio ?
    Le combat intellectuel contre la barbarie générée par les idéologies véhiculées par le coran et la sharia passe par l'enseignement à l'école du fait athée en contrepartie du fait religieux - l'abrogation du Concordat religieux - de mettre fin au détournement de l'argent public en cessant de subventionner les écoles confessionnelles ( majoritairement catholiques ) - d'exiger du service public télévision une matinée réservée à l'athéisme en contrepartie de la matinée réservée aux religions le dimanche matin
    On ne peut oublier que les '' Droits des femmes'' ont tous été obtenus contre les religions - idem pour les libertés individuelles des citoyens et citoyennes - on peut ajouter pour les homosexuels le droit de se marier ou non, comme pour tout autre citoyen, là encore obtenu contre les bouffées de délires des représentants des hiérarchies monothéistes - mais chut, silence radio - CRAB

    *1 - :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/search/label/islam

  • Sous le soleil exactement

    Taj Mahal.jpeg


    Le Taj Mahal, symbole d’un romantisme de quatre sous si cher à nos esthètes platoniciens
    Le Taj Mahal, un édifice, plutôt une onéreuse pâtisserie financée avec l’argent de l’ensemble des populations moghols dont la plupart pour subsister trimaient pratiquement comme des presque esclaves

    Marceline Loridan-Ivens invitée à la grande librairie se déclarait heureuse de ne pas avoir fait ni de s’être encombrée d’enfants - pleine de drôlerie, à l’entendre, il faut imaginer la tête de nos distingués économistes ou théologiens du monothéisme très médiatisés qui ne manqueront pas d’y voir la fin de leur monde

    Être propriétaire du corps de l’autre, exiger de l’autre une fidélité contre nature, au lieu de l’accepter tel qu’il est ou telle qu’elle est - aimer qui vous voulez, quand vous voulez sans vous préoccuper des différences d’âges et des quand dira-t-on * pourrait-être la saine devise de Marceline Loridan-Ivens, suffit de lire sa vidéo publiée dans l’article : Le féminisme heureux
    Sans s’occuper du quand dira t-on, Marceline Loridan-Ivens, fait référence à une jeune femme qui n’aurait jamais dû se suicider mais fuir avec le jeune garçon mineur *

    Un pas que le féminisme victimiste ( doloriste ) est incapable de franchir car bien trop proche de l’ordre moral et de la haine des hommes comme s’il n’existait qu’une seule masculinité - un féminisme platonicien prôné par d’insipides porte-paroles à l’exemple de Caroline De Haas, Clémentine Autin ou Marlène Schiappa


    L’ordre moral est à la sexualité ce qu’une théocratie est à la démocratie, dont cette incapacité d’admettre une histoire amoureuse entre une femme et un jeune mineur, mais, à présent en 2018, pour faire passer plus subtilement la couleuvre, de prendre pour exemple la relation sexuelle d’une jeune fille mineure pour décréter sans plus s’interroger qu’il ne peut y avoir de consentement pour valider la terrible accusation de viol contre l’homme qui pourtant est, dans la grande majorité des cas, un très jeune homme
    ( ...pas de confusion, la pédocriminalité est un fléau, ce n’est pas le sujet... et les lois qui permettent de faire la différences sont déjà existantes suffit de qualifier correctement en rapport avec les faits avérés l’acte incriminé et d’appliquer les lois )
     
    Plus qu’une rumeur la crétinerie est en marche et, depuis quelques mois, tient le haut du pavé
    Si ces ruines de l’esprit de la veine de Marlène Schiappa et quelques autres féministes victimistes parvenaient à obtenir la majorité sexuelle à 15 ans, à une époque bien lointaine où la majorité des très jeunes filles semblaient préférer les hommes un peu plus vieux, " Elle " qui m’a donné, durant un temps, ces intenses moments bonheur – hors, si cette proposition de loi venait à passer " Elle " que je n’oublierai jamais serait emprisonnée comme une criminelle ( cela me donne envie de vomir ), j’avais tout juste quatorze ans, elle avait à peine peine plus de 17 –

    Notes :
    Marlène Schiappa, dans la grande tradition clientéliste, veut faire plaisir aux féministes victimistes en fixant l’âge minimal du consentement sexuel à 15ans -
    Hors , cette limite d’âge se fonderait sur le principe arbitraire de l’automaticité ( en dessous de ce seuil le consentement ne serait plus retenu ), c’est une aberration qui caractérise le féminisme victimiste et fait partie selon Marceline Loridan-Ivens de ces conneries que l’on entend depuis plusieurs mois car il peut y avoir de belles relations entre un mineur de 14 ans ( fille ou garçon ) avec ( un ou une ) jeune adulte

    Mais c’est tellement plus facile pour le politique de se rapprocher au plus près de l’ordre moral dans une société où la minorité platonicienne tente par tous les moyens de contrôler le sexuel dans la société - au lieu de définir et mettre en œuvre une politique efficace pour éradiquer l’excision, les mariages forcés* qui encourage et « légalise le viol des jeunes filles »

    * Fixer le mariage à 18 ans est un des moyens les plus efficaces pour lutter contre les mariages forcés – pour l’excision, une visite médicale avant et au retour des vacances scolaires pourrait dissuader les mutilateurs de fillettes...

    De même que dans la grande tradition du féminisme victimiste il était plus facile d’obtenir une loi contre les seuls hommes clients des prostituées au lieu de lui substituer la pratique, certes financièrement plus onéreuse, d’une politique destinée à traquer sans relâcher les proxénètes

    Il est inutile de m’écrire pour m’insulter ou m’accuser d’inculture sans argumenter et autant que possible sans étayer vos assertions de sources très documentées car je ne vous publierai pas

    Parler de la condition humaine ne se confond pas avec la nature humaine quasi sacralisée par les féministes victimistes ( doloriste ), qui en outrepassant les limites de la connaissance font un saut dans diverses croyances métaphysiques et leurs justifications construites de toutes pièces pour parler de l’homme porteur de la culture du viol, comme si il avait une masculinité et non des masculinités, attendu qu’il y a [ aussi ] des féminités

    Cela relève d’une pure démarche métaphysique qui entend caractériser et définir l’homme ( le mâle ) ainsi qu’un violeur potentiel, c’est pourquoi j’aime les femmes " pas que féministes " à l’égal de Marceline Loridan-Ivens qui aiment les hommes, laquelle a eu toute sa vie de très nombreux hommes qu’elle ne sait jamais, sans se lasser, privé de draguer – ne vous en déplaise j’ai toujours préféré quelques heures avec ces femmes décemment libertines et abandonner les autres sous-servitudes « choisies » [ rire ] à leur triste sort

    À l’attention des...
    Le sexe préviendrait la grippe, selon un chercheur suisse ( donc neutre ). En faisant l’amour, notre système immunitaire serait renforcé et stimulé, ce qui aiderait à combattre certaines maladies.
    En ce qui me concerne, à présent, je sais pourquoi je n’ai jamais été atteint par cette infection, néanmoins, j’ai dû, bien souvent, redoubler d’exercice afin de me prémunir de la grippe du féminisme victimiste par devant laquelle la grippe espagnole est une maladie bénigne.- CRAB

    * * : Vidéo : " Liberté d’esprit "
     
     
    Suite :
    Le féminisme heureux

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/le-feminisme-heureux.html

     Commentaires:

    1. À l’attention des...
      Le sexe préviendrait la grippe, selon un chercheur suisse ( donc neutre ). En faisant l’amour, notre système immunitaire serait renforcé et stimulé, ce qui aiderait à combattre certaines maladies.
      En ce qui me concerne, à présent, je sais pourquoi je n’ai jamais été atteint par cette infection, néanmoins, j’ai dû, bien souvent, redoubler d’exercice afin de me prémunir de la grippe du féminisme victimiste par devant laquelle la grippe espagnole est une maladie bénigne.

       
    2. À l’attention de N....t K.....é ( Malienne )
      Le féminisme universel ne connaît pas la couleur de la peau.
      C’est grotesque, de parler de féminisme blanc ( sous entendu raciste) alors que, dans notre pays, les droits des femmes ont tous été obtenus au nom du féminisme universel contre les religions.

  • Néo-paternalisme

     

    Démon, femme japonaise


    Liminaire
    ... il y a un temps autre que le temps de l’histoire, un temps réel, sacral, qui est celui des événements du monde invisible dont l’âme est le « lieu »... l’intériorisation du sens marque un revirement du temps. - H. Corbin

    Réponses aux lecteurs : F.......e - C.......n - B....l

    Les femmes ne sont pas des victimes. Élisabeth Badinter - Fatiha Agag-Boudjahlat

    Lu sur le site Sisyphe :
    " Réseaux sociaux :
    en France, la haine aime à se déverser sur les femmes. " – Fin de citation

    " – Cette expression " ...aime à se déverser sur les femmes ", caractérise le féminisme victimiste entendant parler au nom de toutes les femmes et qui est au féminisme universel ce qu’une théocratie est à une démocratie laïque.

    Solaires
    Oui, sur mes blogs, c’est vrai, souvent je cite Élisabeth Badinter, mais encore plus souvent des femmes arabes ou iraniennes
    Cependant pour vous répondre sur le fond '' Élisabeth Badinter sait faire la différence avec le féminisme victimiste ( doloriste ) et le féminisme universel lequel ne connaît pas la couleur de la peau. ''
    Il n’y a pas de masculinité universelle, mais de multiples masculinités, comme il existe de multiples féminités. - Quand aux patriarcats sacralisés par la religion, hélas, ce sont majoritairement des femmes qui se chargent de le transmettre aux enfants, notamment dans les milieux musulmans plus qu'ailleurs

    Néo-paternalisme - « Les hommes et nous » -
    Oscars 2018 : dans le monde des parfaits, des incroyables et des merveilleux pas de ruban blanc pour les hommes victimes de violences conjugales mortelles ou morales
    Dans notre pays on ne tue pas une femme parce qu'elle est une femme, confondre des faits inhérents à la condition humaine pour les apparenter à un féminicide est tout simplement grotesque * - il me paraît utile, une fois de plus, de rappeler qu’en 2016, 126 femmes ont été tuées par leur « compagnon » ou leur ex et 34 hommes l’ont été par leur « compagne » - - et d’insister sur le fait que si 126 femmes ont-été tuées, 44 des auteurs de crimes se sont aussitôt donné la mort - - il ne s’agit pas, ici, de féminicide mais du bien triste bilan de la face peu reluisante de la condition humaine.
    * : le féminicide n’est pas culturel dans notre pays - parce qu’elles sont des femmes deux femmes ont été assassinées par un terroriste musulman Gare Saint-Charles à Marseille, c’est, dans notre pays, le seul cas de féminicide

    Viols - le corps est coupable parce qu’il parle avant le verbe
    Vous me dites qu’Élisabeth Badinter soutient le bien fondé de l’expression " la honte doit ou change de camp ", bien sûr, mais c’est du « camp des violeurs » et des harceleurs sexuels dont elle parle, parce que ce camp, ces hommes se croient tout permis, pratiquent l’abus de pouvoir car ils imaginent, intègrent que le corps de la « tentatrice dénuée d’âme », créature du diable est à leur disposition, qu’ils ont le droit de s’en emparer, mais Élisabeth Badinter ne parle pas de l’ensemble des hommes vus comme un bloc monolithique de violeurs en puissance

    La femme ou les femmes des origines fautives et prédatrices depuis toujours, femmes coupables aux yeux de ceux parmi les plus troublés qui n’ont pas réussi à se débarrasser l’esprit de toutes ces insipidités que véhiculent les religions ou certains mythes non critiqués qu’enfants leurs platoniciens de parents ou par le biais de certains aspects de l’éducation nationale leur ont mis dans la tête
    Pour ma part, je récuse l’idée même d’appartenance à un camp - je m’appartiens - sans religion c’est en tant que citoyen d’un pays démocratique laïque que je condamne sans réserve le crime de viol et toutes les idéologies patriarcales sacralisées qui concourent à faire de certains parmi les hommes des violeurs.
    Je ne peux que souligner une fois de plus que l’on a introduit le fait religieux à l’école sans en contrepartie enseigner le fait athée*, mais au regard de cette propagande patriarcale, j’observe l’incroyable, l’assourdissant silence de « nos féministes victimistes » - Faut-il en déduire que l’abêtissement du statut des femmes, la reproduction et la permanence de nombreux viols, sans compter les mariages forcés et l’excision « feront longtemps encore les plus belles heures » de notre société ?
    * - Enseigner le fait athée à l'école en contrepartie du fait religieux, c'est respecter les 63% de nos compatriotes qui sont sans religions et qui n'ont nul besoin de se référer à des textes infantilisant pour savoir comment se comporter

    La fête du clitoris ou comment ne pas sombrer dans le puritanisme répressif
    Contre les ablationistes du clitoris externe ( excision, une barbarie soutenue entre autres malveillances à l’endroit des femmes par Tarik Ramadan ), au-dessus des morales mortifère dictées non par la sollicitude mais par l’impuissance, dont le voilement, la recommandation d’être pudique, de cacher son corps ou son visage – mais aussi bien au-delà du féminisme victimiste, qui sait mieux que Messaline que la mort est-absence de sensation, elle qui n’a pas réussi à se suicider - l’impératrice des sens - la femme, « la petite louve » qui aimait les-hommes – oui, qui savait mieux que Messaline que le clitoris est une arme de construction massive et de confiance en soi car l’apprentissage du plaisir est une libération contre l’impuissance, la rancœur et le patriarcat, il est un organe de civilisation ?
    Ceci dit, il est parfaitement inutile de demander un jour férié pour le clitoris, ça marche toujours, même au-delà de jours ouvrables *1 - CRAB

    Citation : Messaline mourra de ne pas-être la femme d’un seul homme… les polissonnes sont des femmes libres et audacieuses qui, en dépit du péril dans une société machiste, osent tout ! - Pierre Lunel * 2

    *1 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin_16.html

    * 2 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/09/messaline.html

    3 -
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/10/la-pudeur.html

    4 -
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/le-feminisme-heureux.html

     commentaire:

    1. Dans un pays dominé et dirigé par des barbares, j’aimerais connaître le point de vue des féministes victimistes ( doloristes ) qui aiment parler au nom de toutes les femmes – Suite :
      http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/03/linquisition-musulmane-suite.html

  • Rapport Chavreul

     

     

    La Laïcité - Rien que la Laïcité
    Ce n’est pas la laïcité qui est crispée mais les assauts théocratiques contre la laïcité qui sont crispant et clivant
    Un rapport remis au gouvernement dans lequel pour la première fois après le livre " Les territoires perdus de la république " ( publié en 2002, et toujours d’actualité ) s’en tient aux faits, rien qu’aux faits pour en suivant faire des propositions offrant de rétablir la laïcité dans notre pays

    Cependant ce rapport *1 ne se préoccupe pas assez de la haine des Juifs, dont l’essentiel est un antisémitisme auparavant pratiquement en voie d’extinction dans notre pays, mais qui s’est, à présent, déplacé et considérablement développé dans la jeunesse d'origine immigrée majoritairement musulmane

    " les Territoires perdus de la République " rédigé en 2002 par un collectif d'enseignants confrontés à la montée de la haine et de l'obscurantisme, un livre largement plébiscité par ses lecteurs malgré le mutisme de la plupart des grands médias et du silence assourdissant d’un bon nombre d’intellectuels ou de « féministes » *2 très médiatisés


    Citation : Dans un livre choc, " les Territoires perdus de la République ", un groupe de professeurs racontait à l'automne 2002 l'antisémitisme, le sexisme et l'islamisme qui déferlaient dans les collèges et les lycées de la région parisienne. Boycotté à l'époque, l'ouvrage ressort aujourd'hui.- Martine Gozlan
    À noter qu’au moment de la préparation de ce livre Nehmouche et Merah étaient au collège

    Humanisme ou théocratie des endoctrineurs islamistes?
    Cependant, sauf à vouloir la destruction ou ignorer les valeurs humanistes fondatrices de notre démocratie laïque, non seulement le Pouvoirs devra valider et rendre effectives les propositions de ce rapport pour garantir la liberté, la justice et la sécurité mais aussi, il appartiendra à l’État de mettre fin au détournement de l’argent public au profit de minorités religieuses en abrogeant le Concordat religieux Meurthe-Mosellan - cesser de subventionner les écoles confessionnelles sous contrat et s’assurer de la programmation à l’école publique de l’enseignement du fait athée en contrepartie du fait religieux
    [ Rappel : 63 % de nos compatriotes sont sans religion – et se souvenir que toute personne d’origine arabe n’est pas forcément de confession musulmane - … ou peut être athée ] – CRAB -
    *1 - Rapport Chavreul
    http://crab.painter.free.fr/textes/Rapport_Clavreul.pdf

    *2 - Fausse route en 2018 – suite
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/fausse-route-en-2018-suite.html

    Suite : Laïcité et Pouvoirs
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/laicite-et-pouvoirs.html
     
     
    Commentaire:
    1. Les différends gouvernements par leur inaction ont laissé les quartiers essentiellement en banlieue des villes se « ghettoïser » et le livre les Territoires perdus de la République fut ignoré au profit d’un sordide calcul clientéliste par la grande majorité des élus de la gauche lors de sa sortie
      En 2002, Georges Bensoussan, historien et responsable éditorial du mémorial de la Shoah, fut à l'origine du livre "Les Territoires perdus de la République".
      Treize ans après, c'est toujours la loi du silence. Comme si les yeux restaient toujours grands fermés sur la réalité malgré le sang qui l'a éclaboussée. Il est d'autant plus urgent de relire la nouvelle édition d'un extraordinaire document rédigé en 2002 par un collectif d'enseignants confrontés à la montée de la haine et de l'obscurantisme. Seul le titre a été largement repris dans la presse et par les politiques, à commencer par Jacques Chirac en 2003. L'expression, simple, juste et terrible, de « territoires perdus de la République » pour désigner les trous noirs dans lesquels sombrent, en France, les valeurs humanistes, a connu un succès inversement proportionnel à la reconnaissance et à la diffusion des informations divulguées. Le livre, plébiscité par les lecteurs malgré le mutisme médiatique (exception faite d'Alain Finkielkraut, de Brice Couturier, de Marianne et d'un ou deux autres journaux) ressort aujourd'hui en édition de poche, avec une postface de Georges Bensoussan. C'est l'historien qui coordonna, sous le pseudonyme d'Emmanuel Brenner, les témoignages des professeurs sur la violence en milieu scolaire, la propagande islamiste et les théories du complot.

  • Laïcité et Pouvoirs

     

    Les pouvoirs s’exercent au nom de l’humanité sous le contrôle de l’humanitéTocqueville ( résumé de sa pensée )
    La Démocratie, ce n’est pas seulement la règle de la majorité car la Démocratie est, à notre époque, différente de l’athénienne antique, ainsi à présent, les pouvoirs s’exercent au nom de l’humanité depuis que la Démocratie moderne a fondé " Les Droits de L’Homme et du Citoyen " complétés par les " Droits de la Femme et de la Citoyenne " rédigés par Olympe de Gouges : vraie républicaine, féministe, anti-esclavagistes, contre la peine de mort installée par le biais de la guillotine comme système de gouvernance politique par l’ennemi des " Lumières " le contre-révolutionnaire Robespierre, détracteur de l’athéisme et bien plus encore bestial envers athées

    Laïcité et condition humaine
    Depuis plus de quarante ans, dans notre pays « nos gouvernants », des responsables politiques ou comptables d’observatoires de la laïcité, soutenus par des intellectuels qualifiés de « bien pensants » ( genre Edwy Plenel ou genre Tarik Ramadan ) et des associations de féministes victimaires du milieu de la politique ou du spectacle qui ne manquent jamais une occasion de se servir de la laïcité en y ajoutant des adjectifs ( souvent, sans le dire explicitement ), une façon pernicieuse se substituer l’idéologie à la morale pour se livrer à une surenchère ou de s’illustrer pour masquer ou transformer des faits qui relève de la volonté politique de laisser s’installer sur notre territoire l’inégalité femmes-hommes voulue par des minorités ethniques aux pratiques religieuses et culturelles ou communautaristes antidémocratiques ( genre islamiques, pour l’essentiel ), plus particulièrement en faisant passer le féminisme universel qualifié de féminisme blanc pour du racisme

    Prônée par des mouvements religieux qui tentent de placer sur le même plan la mini-jupe ( inventée par une anglaise pour permettre aux femmes de courir plus vite, ne serait-ce que pour attraper un bus ) - selon ces islamistes la mini-jupe serait un objet d’aliénation ( d’hyper sexualisation de la femme ), ce qui sous-entend une obligation pour les femmes de la porter à l’insu de leur plein gré pour par comparaison minimiser l’obligation par la pression du milieux ou de la loi dans certains des pays dominés par des musulmans de se vêtir de « l’émancipateur et pudique » affublement islamique

    Hors ces champions et championnes de l’émancipation des femmes affectent d’ignorer qu’en France aucune loi n'oblige une femme à porter la mini-jupe ni n'interdit pour les femmes et les hommes de porter un string, c'est ce qui fait la différence avec les idéaux totalitaires comptant parmi les plus exécrables

    Dans les faits, notamment observés dans certains des quartiers de nos villes et en général dans les sociétés occidentales, les tentatives de banaliser le voile islamique sont dues à des formations religieuses frustrées de ne pas détenir le pouvoir absolu sur les consciences

    La laïcité n’est pas concernée, le voile n'est pas un signe ostensible religieux mais le symbole de l'abaissement du statut des femmes ou le pire des signes de l’infériorisation des femmes
    .
    Porter volontairement le voile en Occident et feindre de pas connaître les conséquences de ses actes, c'est politiquement irresponsable


    Le voile ne peut pas être en même temps un instrument d’oppression en Iran et un outil de l’émancipation des femmes en France

    Dimanche dernier ( 25 Février ) , lors d’un débat sur CNews, j’ai entendu dire, sans réaction des autres débatteurs, que les sorties scolaires faisaient parties de l’espace public, donc - rien ne s’opposait au nom de la laïcité à la présence de mères voilées - Hors rien n’est plus faux car les accompagnants - femmes ou hommes lors des sorties scolaires ne sont pas des '' usagers '' du service public mais des exécutants - ils participent à l'exécution de ce service public ce qui exige de leur part la même neutralité que la loi exige des enseignants *1

    Mais là où les intellectuels « bien pensants », politiciens ou féministes victimaires se rejoignent c’est pour mieux créer la confusion en faisant passer le voile pour une prescription religieuse ( ce qu’il n’est pas ), donc un droit de le porter au nom de la laïcité, pire de le faire passer ( quitte à me répéter ) pour une liberté ou une norme culturelle défendable au nom du différentialisme en l’opposant au féminisme universel ( égalité femmes-hommes ) taxé de féminisme blanc ( sous-entendu raciste )

    Ce n’est pas dû au hasard de retrouver les mêmes personnages, Jean-Louis Bianco ou son acolyte N. Cadène champions de la laïcité avec adjectifs ajoutés pour déclarer que les 5 propositions choc du rapport Clavreul remis ( depuis quelques jours... ) au gouvernement sont nulles et non advenues , sans oublier contre cette analyses qui vient compléter le livre " les territoires perdus de la république ", les inévitables allégations formulées par Pascal Boniface qui dans les régions du monde dominées par des musulmans passe son temps à dénigrer notre pays

    Rappel : plus de 60 % de nos compatriotes sont sans religion et pourtant ne sont jamais entendus [ ??? ]
    À présent, il faut attendre le discours sur la laïcité ( qui tarde à venir ) que doit prononcer le Président de la République afin de savoir s’il compte rétablir la laïcité sur l’ensemble des territoires de la république ?

    Le bouffon de la République – suite :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/11/le-bouffon-de-la-republique.html

    Laïcité " entaché " - suite :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/12/laicite-entache.html

    La laïcité et CNEWS
    ..., Nicolas Cadène s'est montré guère plus qualifié que Jean-Louis Bianco pour parler de la Laïcité – Suite :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/la-laicite-et-cnews.html

    *1 -Accompagnateurs des sorties scolairessuite 3 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/accompagnateurs-des-sorties-scolaires.html


    Les petites choses fragiles – suite :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/les-petites-choses-fragiles.html
    commentaire:
    1. À l’attention de C.......n B....l
      Dans le débat public je n’interviens ni au nom des hommes ni au nom des femmes - c’est en ce sens qu’à maintes reprises j’ai dû préciser que je participe au débat en tant que " pas seulement féministe ", c’est à dire, en tant que CITOYEN
      Sans pratiquer l’insulte, je critique des textes ou les positions publiques pris par telle ou telle personne ( d’autant plus si elle est très médiatisée ) sans chercher à plaire ni à déplaire à qui que ce soit
      En outre je peux intervenir, donner un point de vue sur les commentaires des uns ou des autres sans jamais intervenir sur le fond d’une affaire aussi longtemps qu’elle n’est pas jugée

  • La Séduction

     

    Qu’est-ce qui prouve que Pandora n’a pas tenu la boite bien fermée, faut-il croire les fake-news de l’époque exclusivement rédigés par des mâles pré-platoniciens ou pré-aristotéliciens ?
     
    Cependant je me suis laissé dire que plus près de nous la boîte aurait été ouverte par des personnalités connues du grand public, elles sont autant de figures platoniciennes ou aristotéliciennes - duelle, binaire, victimiste - doloriste, chacune de ces militantes se singularise, se mobilise à partir du fait de société qui lui est le plus cher pour occuper les écrans – routinière parmi les plus médiatisées : Christine Boutin, Caroline de Haas, Clémentine Autin, Ludivine de La Rochère, frigid Barjot, et parfois Marlène Schiappa dont la réaction à certains faits de quartier laisse fortement à désirer ect. ect.
     
    Dans une société ou l’urbanité prime sur les idéaux mortifères le plaisir est la racine de la morale

    Ne pas savoir ce qu’il a dans la boite de Pandora, qu’importe sa signification car ce qui compte, c’est ne pas céder à l’ordre moral ou à la religion - ne pas être soumis à la pensée commune, rampante qui finit par être dominante alors qu’elle est rampante - c’est avoir une foi inébranlable dans le réel – ne pas s’aliéner en s’enfonçant dans le déni d’un trait majeur de la condition humaine marquée, incarnée par la complexité du désir

    Un peu de fantaisie, un peu de liberté
    Délivrée d’avatars négatifs qui sont autant d’agencements de la tromperie pour revenir au sens premier, voire originel de La Séduction : susciter l’amour pour, puisque la sincérité se déplace, vivre des amours – vidéo :
    http://blvids.free.fr/S%C3%A9duire.mp4

    [ jouir sans se nuire ni nuire à autruiÉpicure ]
    Le temps est venu de réhabiliter La Séduction, de la requalifier au féminin et au masculin pour la mettre hautement en valeur, sinon - sans réaliser généralisé un féminisme libertin, il n’y aura jamais d’égalité femmes-hommes - CRAB

    Suite : Dis-moi Vénus, quel plaisir trouves-tu à faire cascader la vertu. - la belle Hélène - Offenbach -
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin_16.html

  • Féminisme victimiste


    Il n'y a pas de problème
    Il n'y a que des professeurs.
    Jacques Prévert

     
    N’est pas matheux qui veut
    " un homme sur deux ou sur trois est un agresseur ", dixit Caroline De Haas égérie du féminisme binaire ( victimiste ) - championne Facebookienne en mathématiques et logiques, mais aussi docteur émérite de l’élargissement des trottoirs, en zone musulmane, du quartier de la Chapelle-Pujol à Paris
     
    Alerte - on me dit à l’oreille qu’elle n’est pas agrée par la Fédération Française des J M L, que, de toutes façons, elle a peu de chance d’être retenue pour participer aux épreuves de qualifications de sudoku ou de jeux de grilles
     
    Le volume d'une pizza de rayon z et d'épaisseur a est : pi.z.z.a
     
    Orchidoclaste
    Caroline et les maths, c’est tout un poème, un poème féministe de boudoirs chargé de sens dualistes aussi platoniciens que, en Occident, les vieux mondes usés et presque disparus ;
    il est bien difficile de faire mieux que cette " amatrix de la pizza " qui dans son « admirable sens de la légitimité », intensément, fait penser à Caroline De Haas rendue à son meilleur niveau de fonction monotone, cela se voit et s’entend..., vidéo :
    http://blvids.free.fr/Caroline_aime_les_pizza.mp4
     
    Suite : Féminisme - Laïcité - Humour noir - Censure
    https://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/feminisme-laicite-humour-noir-censure.html
     
    commentaire:
    1. Ne jamais être en reste d’un peu d’humour : L'avocate, la docteure et la mathématicienne
      .
      Une avocate, une docteure et une mathématicienne discutent des mérites respectifs d'avoir un mari ou un amant.
      L'avocate affirme de manière péremptoire: " Un amant, c'est à coup sûr préférable. Si vous avez un mari et qu'il veut divorcer, c'est une accumulation de tracas et de démarches infinis avec les hommes de loi."
      .
      La docteure plus circonspect fait remarquer qu'en restant fidèle à son mari, l’épouse choisit la voie de la sagesse. Cela diminue son stress et par conséquent c'est bon pour la santé.
      .
      La mathématicienne, à la fois cynique et un peu polard leur rétorque:" Vous avez tort l'une et l'autre. Le mieux est d'avoir l'un et l'autre. Quand vous faites croire au premier que vous êtes avec le second et au second que vous êtes avec le premier, alors vous avez un bon moment pour faire des mathématiques."

  • Féminisme - Laïcité - Humour noir - Censure


    Ce que nous devons à " Les Lumières "
    Débattre entre gens qui pensent, c'est le principe du débat contradictoire dans une République Laïque où la liberté de la pensée ne s'arrête pas là où commence les religions, les cultures traditionnelles ou pratiques traditionnelles
    .
    Sémantique
    Quand les mots n’ont plus de sens, ils sont la cause du pire des maux, à l’intérieur de ce cadre restreint il n’est pas vain d’observer un état des lieux marqué par lhystérisation de tous les débats de société dû à la volonté d’encadrer les rapports entre femmes et hommes et surtout, pour l’essentiel, le refus, l’absence de volonté ou l’incapacité à plonger dans les profondeurs de l’esprit humain pour au minimum comprendre l’ambiguïté du désir amoureux non dénué d’une zone grise, afin de tenter arbitrairement de policer la sexualité des seuls hommescette hytérisation des débats, mais aussi la maîtrise de la pensée par le galvaudage des mots pour régir les relations femmes-hommes a entraîné une déliquescence de la pensée au point que, dans notre société, il est devenu presque inutile de se demander qui propose la censure* ou l’exclusion* comme système de gouvernance : les athées libertaires ou les religieux, la pudibonderie sans frontière et leurs pendants, sinon encore et encore le modèle binaire du « savoir-vivre » des néo-féministes ?
    * * - Censure : guillotine moderne - charmé, Robespierre qui, en son temps, a fait guillotiner Olympe de Gouges, ce binaire contre-révolutionnaire l’inventeur illuminé de l’être suprême va ressusciter...et qui sait peut-être bien devenir le premier des néo-féministes ( féminisme victimiste )
    .
    Quand nos émotions sont dévoyées, ce sont nos jugements de valeur qui se trouvent pervertis
    .
    Le triomphe de l’émotion cheval de Troie de la manipulation et des manigances fait de la post-vérité l’enfant du politiquement corect – validée par la plupart des médias, cette idéologie du « bien penser » au détriment bien souvent des faits avérés ou de la complexité des relations entre femmes et hommes entretient une sorte de terrorisme intellectuel destiné à museler ceux qui pensent autrement les réalités de notre société
    .
    Censure
    Le second degré est-il encore possible : pour lutter contre la pauvreté, il faut manger les enfants de pauvres [ ? ]
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    L’humour noir est-il encore possible, par l’humoriste ( Tex ) : " Les gars, vous savez ce qu'on dit à une femme qui a déjà les deux yeux au beurre noir ??? On lui dit plus rien ! On vient déjà de lui expliquer deux fois ! " [ ? ]
    .
    L’humour au troisième degré est-il encore possible : C’est génial d’enseigner devant une classe remplie d’aveugles ( ou de femmes féministes binaires ) car c’est un festival de cannes [ ? ]
    CRAB, optimiste lucide
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    Rétrospective : Féminisme - Laïcité - Humour noir - Censure
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    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/les-petites-choses-fragiles.html
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    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/fausse-route-en-2018-suite.html
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    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/revolution-tranquille-ou-regression.html
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    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/lesprit-de-la-suede.html
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    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/un-objet-sexuel-peut-en-cacher-un-autre.html
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    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/feminicide.html
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    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/le-feminisme-heureux.html
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    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/laura-dekker-et-les-autres.html
    .
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/islamophobie-reaction-la-video-par-usul.html
    .
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2011/05/le-paradis-dallah.html
    .
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/07/henda-ayari.html
    .
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/11/lindividualisme.html
    .
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/condorcet.html
    .
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/11/le-bouffon-de-la-republique.html
    .
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/08/censure2016.html
    .
    Vidéo :
    http://blvids.free.fr/Natacha_Polony_et_Elisabeth_Le%CC%81vy_16%20janvier_2018.mp4
     
    commentaire:
    1. « post-vérité ». Cette expression qui signifie « relatif aux circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d’influence sur la formation de l’opinion que l’appel aux émotions et aux croyances personnelles »

  • Les petites choses fragiles


    Élisabeth_Badinter et Fatiha_Agag-Boudjahlat

    Féminisme : « Le grand détournement » vu par Fatiha Agag-Boudjahlat
    République, féminisme, laïcité, Fatiha Agag-Boudjahlat décrypte les conséquences du communautarisme sur les idéaux féministes dans son livre « Le grand détournement », publié aux éditions du Cerf
    Aucune femme n’appartient à une communauté, elle s’appartient, un point c’est tout
    Une assignation presque comique digne d’un opéra bouffe, sans le moindre rapport avec la religion ni avec la croyance dans une divinité, la pudeur qui passe par le voilage des femmes est une valeur imposée par une partie de ces hommes qui, par peur de perdre leur virilité ou leurs bijoux de famille, n’ont jamais rien lu d’Aristophane, abusent avec la complicité ou le concours hyper-actif d’une partie hyper-religieuses de femmes qui n’ont jamais rien lu des livres ou n’ont jamais rien compris à la démarche d’Élisabeth Badinter* plus sûrement pondeuses émérites devant l’éternel, singulièrement insensibles à la loi commune et peu enclines à remiser le patriarcat dans les poubelles de l’histoire pour, à laide du phallocentrique coran, maintenir et persuader leurs enfants garçons et filles de la supériorité de l’homme sur les femmes
    * - Cela dit, à la décharge de ces si particulières musulmanes, ne manquent pas à l’appel certaines parmi les « féministes occidentales victimistes », et j’en connais des vertes et des pas mûres, certes plus nombreuses à faire leur miel aux Amériques du Nord qu’en France, qui n’ont rien compris au féminisme universel défendu bec et ongles par la " pas que féministe " Élisabeth Badinter

    Quand le féminisme universel s’en mêle porté par de vraies " pas que féministes "
    Fatiha Agag-Boudjahlat et Élisabeth Badinter considèrent avec justesse que les femmes ne sont pas des victimes, et rappellent que la « vitalité du patriarcat » ne serait plus d’actualité, et depuis longtemps, sans le concours actif d’un féminisme qui n’a plus rien d’universel dont les « porte-parole » Marlène Schiappa qui fait du tourisme à la Chapelle-Pujol sur les trottoirs élargis par Caroline De Haas pour protéger du harcèlement musulman les femmes émancipées de ce quartierbelles égéries des femmes blanches néo-féministes, grandes prêtresses de ce féminisme victimiste juchées sur le trépied des augures rien de bon - des intercetrices ou le ramage de l’une se rapporte au plumage de l’autre pour plus avantageusement communier la main dans la main dans la plus parfaite gémination avec l’Esprit-Saint de Clémentine Autin afin de, par le biaisé différentialisme, minimiser les violences faites aux femmes au nom d’une « culture religieuse orientaliste » qui dans toute l’histoire de l’humanité compose et impose la pire des négations du féminisme universel

    Il n’y a pas d’au-delà, donc pas de paradis ni d’enfer ni de purgatoire, la mort est absence de sensation, l’espérance d’une vie de soumission est vaine, et la vie s’écoule
    Il est des manques de rigueur qui altèrent ou transforment la notion de l’égalité en une relation perverse entre femmes-hommes, voire de rigueurs mortifères dès qu’il s’agit d'éviter la critique sans distinction des idéaux de de tous les patriarcats sacralisés par la religion
    Émanation d’un « féminisme blanc » ou non musulman si néfaste à l’émancipation de ces femmes « orientales » nées de l’autre coté de la voie ferrée dans le quartier Avicenne, Rue de la Lapidation ou Rue du Paradis des bien-heureuses Houris où coulent des rivières de lait et de miel ( heue, mille excuses, je voulais écrire des " rivières de spermes " ) se voient ainsi racialisées au nom du « le voile, c’est mon choix »
    Ce nov ou néo-féminisme initié par une poignée de femmes blanches ( en surface ), néanmoins très médiatisées, certes – certes, n’est rien de plus qu’une sorte de fumerolle numérique rayée comme un zèbre en carton peint et plastifié de fête foraine fixé sur la circulaire plate-forme d’un manège manigances tellement, tellement, tournant comme un vis sans fin babylonien et si bien venu, en ces temps suspendus quand la rumeur dans le jardin de l’actualité sucrée d’orge prime sur l’information, la rigueur de l’enquête ou encore à l’encontre de l’honnêteté intellectuelle, que l’essentiel de la substance ( genre barbe à papa ) est repris en boucle mais très nettement plus hystérisé dans les milieux musulmans car marqué, le plus souvent, de l’indélébile sceau de l’hyper religiosité de ces femmes dites musulmanes lesquelles vont jusqu’à voiler leurs fillettes qui ainsi que tous les enfants en bas âge croient ce que leur dit au quotidien leur mère ( ou parents ) peu portée sur le questionnement ou peu disposée à proposer de réfléchir, en famille, sur les grandes questions et plus tard de leur interdire de faire du sport à l’école - quand elles ne recommandent pas à leurs filles ou à leur garçons de dormir pendant le cours de science - CRAB

    Lire le livre de Fatiha Agag-Boudjahlat « Le grand détournement » paru aux éditions du Cerf

    Note de l’Éditeur : Le grand détournement

    de Fatiha Boudjahlat
    Égalité, mais aussi laïcité et encore droit, justice : ces mots, qu’on croyait universels, sont, chaque jour, détournés de leur sens. Les responsables de cet assaut porté à la langue française ? Les communautaristes
    de toutes obédiences. C’est pour décrypter leurs méthodes que ce livre a été écrit. Du « féminisme », au nom duquel le voile intégral devrait être autorisé, au «  patriarcat  » qui n’est combattu que lorsqu’il se présente sous les traits du «  mâle blanc  », en passant par la «  tolérance  », invoquée pour justifier l’excision, ou la « culture », qu’on évoque désormais contre la loi de la Nation, c’est l’histoire d’un détournement sémantique qui nous est ici contée. Indigènes réinventés, prétendus antiracistes, vrai-faux identitaires de droite comme de gauche, les nouveaux tartuffes sont démasqués! Un plaidoyer pour que l’écologie du langage serve à redonner voix à la politique et à la République fraternelle.
    Enseignante, cofondatrice du mouvement citoyen Viv(r)e la République, ex-secrétaire nationale du MRC en charge de l’Éducation, Fatiha Agag-Boudjahlat vit à Toulouse.


    Vidéo : Fatiha Agag-Boudjahlat
    http://blvids.free.fr/Feminisme_Fatiha_Agag-Boudjahlat.mp4

    Vidéo 2 : Musulmane ou femme « normale » ?
    http://blvids.free.fr/V%C3%A9nus_%20confessions.mp4

    Suites : Fausse route en 2018 – suite
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/fausse-route-en-2018-suite.html

    Suites 2 : Réaliser un féminisme libertin
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin_16.html

    4 commentaires:

    1. par Florence Rault
      Une Caroline de Haas « sur deux ou trois » dit n’importe quoi
      Non, la justice n’est pas « complice de crimes de masse que sont les viols »


      Impliquée dans l’affaire Darmanin, la néo-féministe Caroline de Haas a le vent en poupe. Pour mener sa guerre des sexes, elle n’hésite pas à cracher sur la justice et l’Etat ou à affirmer « qu’un homme sur deux ou trois est un agresseur ».

      L’affaire Weinstein, qui au départ ne concernait que le très particulier milieu d’Hollywood dans ses liens avec le Parti démocrate américain, a débouché sur une déflagration qui secoue le monde anglo-saxon et l’Europe de l’Ouest. Ce qui fut présenté comme une « libération de la parole des femmes », confrontées à une violence masculine massive, a immédiatement embrayé sur une véritable « guerre des sexes » faisant voler en éclats non seulement la décence ordinaire mais mettant aussi dangereusement en cause des règles et des principes qui régulent une société démocratique et peuvent être très justement considérés comme des acquis de civilisation.
      Pour Caroline de Haas, l’Etat est « complice de crimes de masse »
      Tous ceux qui ont émis des réserves lors du lancement des campagnes #BalanceTonPorc et #MeToo ont été prestement disqualifiés, moqués, insultés. Et pourtant, comme la nuée l’orage, ces campagnes portaient en elles les catastrophes culturelles, sociales et liberticides auxquelles nous sommes confrontés. Cela va de la mutilation des œuvres artistiques à la façon des talibans, aux délires suédois qui font de l’acte sexuel un viol par définition jusqu’à la preuve « d’un consentement explicite ». En passant par les demandes gravissimes de responsables d’institutions publiques de renversement de la charge de la preuve en matière pénale. Comme Jacques Toubon, « défenseur des droits » demandant instamment que l’on viole ce qu’il est chargé de défendre ! Et l’utilisation de fantasmagories de charlatans, comme dans l’affaire Flavie Flament, pour justifier l’abandon de principes pénaux séculaires.
      A lire aussi: Affaire Darmanin: c’est la justice qu’on viole
      Comment s’étonner alors, lorsque la simple raison a déserté le champ du débat, que des gens comme Caroline de Haas ou d’autres militantes du néo-féminisme prédateur et violent se livrent à des débordements ahurissants. La cofondatrice d’Osez le féminisme a organisé avec l’affaire Darmanin une manipulation détestable, méritant peut-être que le parquet examine de plus près quel a été son rôle dans le dépôt de la plainte, désormais classée sans suite. Probablement inquiète pour la prospérité de son petit business, elle n’hésite pas, par ailleurs, à accuser l’État d’être « le complice de ces crimes de masses que sont les viols ». Comme d’habitude en assénant des statistiques fantaisistes selon lesquelles une femme sur deux aurait été agressée sexuellement, et un homme « sur deux ou trois » serait un prédateur sexuel !
      Ce sont ses sœurs de lutte qui, déchaînées par l’organisation d’un colloque plutôt favorable sur le phénomène #BalanceTonPorc à l’EHESS, appellent à empêcher sa tenue, y compris par la force – tout autre parole que la leur étant inacceptable – et, nervis excités, elles envahissent l’amphithéâtre pour s’y livrer à la violence et l’intimidation.

       
       
    2. Suite:
      Marlène Schiappa met un pied dans le plat
      Les inconséquences de Marlène Schiappa n’aident pas. Dans l’affaire Daval, elle est intervenue de façon tout à fait intempestive, en violation du principe de la séparation des pouvoirs, pour donner son avis sur la conduite d’un dossier judiciaire. Mais le plus grave n’a pas été relevé. La secrétaire d’Etat a contesté, dans leur principe, les moyens de défense développés par les avocats du mis en examen. C’est-à-dire qu’elle considérait comme intolérable la liberté du choix de leurs arguments. Elle s’indignait du fait que des considérations sur la personnalité de la victime aient été avancées par la défense, ce qui reviendrait, selon elle, à « légitimer les féminicides ».
      Quelle est cette folie ? En oubliant opportunément les incroyables mensonges du lobby féministe dans l’affaire Sauvage, pour excuser un meurtre en faisant de son auteur une victime, madame Schiappa veut-elle que l’on abandonne un des principes intangibles du droit pénal ? Ce principe, c’est celui de la personnalité des crimes et des peines : l’on juge des faits particuliers et des hommes (ou des femmes) particuliers. Il est du devoir du juge d’examiner tout ce qui lui est soumis, et notamment les circonstances dans lesquelles un drame a pu se dérouler, celles du passage à l’acte. Interdit de se défendre, interdit d’expliquer, et par conséquent interdit de comprendre ? Eh bien désolée, madame la secrétaire d’Etat, si on peut lyncher, dans ce cas il est impossible de juger.
      La délation appelle la délation
      Ces exemples le démontrent : l’entreprise de délation générale et particulière initiée par #BalanceTonPorc ne pouvait déboucher que sur cette catastrophe. J’ai beaucoup entendu, au début de la campagne, qu’il y avait peu de noms jetés en pâture et que la dénonciation serait pédagogique par son caractère général. Cela n’est pas sérieux. Dès lors que l’on fait de la délation un instrument d’ingénierie sociale, comment imaginer que l’on va se contenter de dire « moi aussi » sans aller plus loin ? Dans un tel mouvement collectif, avec ses effets d’entraînement, d’émulation et de surenchère, il faut désigner les coupables. D’abord un groupe, les hommes et leur patriarcat, puis des individus. Cela se passe toujours ainsi. Devenant un acte social valorisé, la délation appelle la délation. Sait-on que le plus grand nombre de lettres de dénonciation envoyées à la Gestapo pendant la dernière Guerre mondiale, l’a été pendant la dernière année d’occupation alors que la défaite de l’axe était inéluctable ?
      Le grand déballage, ensuite, ne pourra générer que de la frustration. Les méchants sont désignés et, par conséquent, il faut les punir. L’envie de pénal qui traverse nos sociétés, nous confronte pourtant sur les questions de sexe à une énorme contradiction. La justice pénale obéit à des objectifs et des règles qui font que l’appréhension d’une partie de ce qui relève de la « délinquance sexuelle » est extrêmement difficile. Dans ce domaine, il faut d’abord rappeler que prétendre que les viols ne sont pas sanctionnés par la justice est une baliverne. Désormais, grâce aux progrès de la police scientifique, les principales infractions peuvent être établies et sanctionnées, et ce en respectant les règles du débat contradictoire. Il faut savoir aussi que les crimes de viol occupent actuellement la moitié des sessions d’assises dans notre pays, et font l’objet d’une répression sévère.

       
       
    3. Suite:
      Le gloubi-boulga néo-féministe ne rend ni service ni justice
      En revanche, ce dont on nous parle aujourd’hui, avec d’ailleurs des degrés de gravité variables, ce sont les zones grises, celles « du parole contre parole », de la subjectivité, de la culture et de ses évolutions. Et ce sont ces situations particulières que le néo-féminisme veut à tout prix criminaliser, en amalgamant harcèlement et agression sexuels avec le crime de viol. L’abandon des échelles de gravité, pourtant prévues par le code pénal, permettant toutes les manipulations. Il faut donc être clair, on ne peut pas s’en remettre uniquement et de cette façon à la justice pour traiter ce qui relève d’autres modes de régulation sociale. Essentiellement pour deux raisons :
      – Donner à la justice l’objectif d’assouvir la haine des hommes et la volonté de pouvoir du néo-féminisme, est une impasse démocratique car cela ne peut se faire que par l’abandon des principes fondamentaux des libertés civiles. Les magistrats sont là pour veiller au contraire à leur respect, les accuser pour cela de « complicité avec des crimes de masse » est simplement une ignominie.
      – Ceux qui sont victimes d’accusations infondées sont particulièrement désarmés. Ils sont d’abord soumis à des lynchages médiatiques terriblement violents, dont aucune procédure judiciaire efficace ne peut préserver. L’action en « dénonciation calomnieuse » à l’encontre des accusateurs est simplement un leurre. Quant aux interminables procédures de diffamation, elles ne débouchent, au mieux, que sur des réparations symboliques, et ne peuvent en aucun cas être dissuasives. Pierre Joxe et Gérald Darmanin vont en faire l’expérience. David Hamilton ne pourra pas, âgé de 83 ans et poussé au désespoir, il a préféré se suicider.

       
       
    4. Suite:
      Game of thrones
      Mon amie Marcela Iacub a identifié une partie du problème : « Ils (les néo-féministes) pensent que les femmes sont des êtres différents et que leur émancipation passe avant tout par des sanctions pénales et civiles appliquées contre les hommes. Pour eux, il n’y a pas d’autre horizon politique que la violence institutionnelle ».
      L’enjeu n’est pas l’émancipation Marcela mais, comme d’habitude, le combat pour le pouvoir, et ce qui l’accompagne. Avec des méthodes dont on sait très bien sur quoi elles peuvent déboucher…

  • Fausse route en 2018 – suite

     

    « Fausse route » d'Elisabeth Badinter

    Vous m’écrivez que je suis à contre-courant, grand bien me fasse de m’y maintenir en référence à certains de mes articles qui reflètent tout le mal que je pense, depuis bientôt près de trente ans, du féminisme victimaire ( doloriste, aujourd’hui devenu porcin et j’en passe ... )
    Accuser de viol 10 ou 20 ans après un homme, à mes yeux n’est pas acceptable car ne pas porter plainte aussitôt après le crime [ avéré ] c’est mettre en danger de nombreuses femmes – par conséquent, ainsi que je l’ai déjà écris à plusieurs reprises sans jeter la pierre à ces délatrices je n’ai nulle envie de les soutenir dans cette démarche d’autant plus que dans de nombreux cas le silence est le reflet d’un égoïsme inacceptable – je me tais, je ne dénonce pas mon agresseur violeur, ma carrière passe avant... et tant pis pour les autres...
    Parler publiquement après tant d’années passées de viol me paraît, dans bien des cas, difficilement crédible

    Bien sûr une grande partie de la presse ou des grands médias qui depuis plus de trente ans ont pris l’habitude de faire du remplissage au lieu d’informer n’a pas manqué de remplir ses colonnes ou écrans notamment en invitant sur les ondes ou sur les plateaux essentiellement des représentantes de mouvements « féministes victimaires »

    Il n’y a pas de masculinité universelle, mais de multiples masculinités, comme il existe de multiples féminités
    Autant d’organisations « féministes » qui prétendent défendre les femmes ( et pire, parlent au nom de toutes les femmes ) dont Élisabeth Badinter, dans son livre " Fausse route " publié en 2003, montrait prophétiquement que bon nombre de ces « féministes » sont tentées par l’instauration d’un nouvel ordre moral guère moins totalitaire que le temps de la suprématie sacralisée de l’homme sur les femmes - qu’il s’agit pour l’essentiel de dérives et d’un conformisme tranquille plus susceptible de freiner la marche vers l’égalité et de renouer avec le séparatisme

    Malaise à l’égard de la condamnation « en bloc » d’un sexe qui ressemble à du sexisme
    Changer l’homme au lieu de lutter contre les abus de certains hommes, il est notable d’observer que les quatre ou cinq principales organisations idolâtres d’un « féminisme » binaire des plus dangereux qui dans le plus grand mépris de la complexité du réel au profit de schémas simplistes et contraignants veulent changer l’homme – un féminisme à la base victimaire ( doloriste et porcin ) a refusé, agissant ainsi que dans les « meilleures théocraties », de publier mes articles sur leur site ou leur Facebook, quand d’autres féministes ont eu l’extrême délicatesse de me dire qu’Élisabeth Badinter avait tout compris vingt ans avant tout le monde

    Reflet de l’esprit de secte, " la honte doît changer de camp "
    Aux lieu de désigner exclusivement les violeurs, il suffit de lire " le viol est une humiliation, une appropriation, une domination des hommes sur le corps et le sexe des femmes et des filles ", pour appréhender une tentative par de pseudo féministes d'essentialiser les hommes – sans même poser la question : qui transmet dans notre société cette « culture » sacralisée par la religion de la déshumanisation des femmes ou de l’abaissement du statut des femmes susceptible d’impacter une partie des hommes avec le silence ou l’activisme complice d’une partie des femmes ?
    Nous savons ( statistique à vérifier ) qu’une femme sur 10 a été violée ou le sera au cours de sa vie – ce qui signifie ( fort heureusement ) que 90 % des femmes ne seront pas violées - certains parmi ces criminels sont des violeurs en série, il convient donc de retenir que moins de10% des hommes ont un comportement criminel - mais c'est bien dérangeant n'est ce pas de rendre compte de la complexité ?

    Rappel : Dans notre pays on ne tue pas une femme parce qu'elle est une femme, confondre des faits inhérents à la condition humaine pour les apparenter à un féminicide est tout simplement grotesque - il me paraît utile, une fois de plus, de rappeler qu’en 2016, 126 femmes ont été tuées par leur « compagnon » ou leur ex et 34 hommes l’ont été par leur « compagne » - - et d’insister sur le fait que si 126 femmes ont-été tuées, 44 des auteurs de crimes se sont aussitôt donné la mort - - c’est, non pas un féminicide, mais le triste bilan de la face peu reluisante de la condition humaine - CRAB


    Citation : Le féminisme au masculin
    « Quelles qualités rares a-t-il fallu aux quelques hommes qui ont voulu dépasser l’image traditionnelle de l’épouse dévouée, gardienne du foyer et mère admirable, pour penser à elle comme à une personne indépendante, un être humain à part entière ? » Pour beaucoup d’entre nous, le féminisme a toujours été une affaire de femmes. Mais on oublie qu’il s’est trouvé, à toutes les époques de l’Histoire, des hommes éclairés ayant profité de leur influence pour défendre le deuxième sexe. Y aurait-il une loi de la nature réservant spécifiquement la cuisine, le ménage ou l’éducation des enfants aux femmes ? Comment accepter ce « marché » qui fait des jeunes filles des objets exposés dans les bals jusqu’à leur acquisition par un mari ? Que faire pour que le mariage cesse d’être le tombeau de la femme, et le moyen légal de son asservissement ? Ces questions, de rares hommes les ont posées, et c’est à ces libres-penseurs courageux, écrivains ou hommes politiques des siècles passés, que Benoîte Groult rend hommage ici. Adoptant une perspective inédite, elle redonne voix aux premiers féministes, et met à l’honneur des hommes qui, comme Condorcet, Stuart Mill ou Fourier, ont eu la force de secouer les préjugés, de s’élever contre l’injustice et de dénoncer la prétendue infériorité de la femme comme le résultat d’un abus de pouvoir. Une manière éclatante de montrer qu’il ne faut plus confondre féminisme et haine des hommes.
    Benoîte Groult - Editeur - Grasset


    Suite : Fausse route en 2018
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/fausse-route-en-2018.html

    Suite 2 : L’esprit de la Suède
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/lesprit-de-la-suede.html

    Suite 3 : Le féminisme porcin
    https://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/le-feminisme-porcin.html

    Féminicide ?
    L’indignation des nov-féministes est à la démocratie et à l’État de Droit ce qu’une théocratie est à la liberté de conscience et d’expression
    Le seul féminicide commis dans notre pays, assassinées parce qu’elles sont des femmes, deux femmes ont été égorgées par un terroriste musulman Gare Saint-Charles à Marseille – on a pas vu les nov-féministes ni se répandre sur les ondes ni montrer leur indignation dans toutes les bonnes feuilles féministes - Suite :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/feminicide.html

    Suite 5 : les ravages causé à autrui au nom de la crétinerie sans frontièresuite :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/02/presumes-innocents-2017.html

    4 commentaires:

    1. Les femmes ne sont pas des victimes. Élisabeth_Badinter, Fatiha_Agag-Boudjahlat

       
    2. Vidéo : Barbara
      http://blvids.free.fr/Barbara.mp4

       
    3. Réaliser un féminisme libertin
      http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin_16.html

       
    4. Vous me dites qu’Élisabeth Badinter soutient le bien fondé de l’expression " la honte doit ou change de camp ", bien sûr, mais c’est du camp des violeurs dont elle parle, parce que ce camp se croit tout permis, mais pas de l’ensemble des hommes – je n’appartiens pas à un clan ni au « clan des hommes » et c’est en tant que citoyen d’un pays démocratique que je condamne sans réserve le crime de viol

       

      Il n’y a pas de masculinité universelle, mais de multiples masculinités, comme il existe de multiples féminités. - Quand aux patriarcats sacralisés par la religion, hélas, ce sont majoritairement des femmes qui se chargent de le transmettre aux enfants, notamment dans les milieux musulmans plus qu'ailleurs.

  • Révolution tranquille ou régression tranquille ?

     

     

    Nabila Ben Youssef
     
    Le voile préconisé par des mouvements religieux frustrés de ne pas détenir le pouvoir absolu sur les consciences est avant tout le symbole du pire des signes visibles de l’infériorisation ou de l’abaissement du statut des femmes, et Nabila Ben Youssef de rappeler, non sans humour, que porté « volontairement » il est, dans ce cas précis, plus probablement le reflet d’un cerveau mal oxygéné - CRAB


    Lire sa vidéo : Nabila Ben Youssef – Le voile
    http://blvids.free.fr/Nabila_Ben_Youssef_Le_voile.mp4

    Suite : islamophobie ou racisme ?
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/02/islamophobie-reaction-la-video-par-usul.html