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Humanisme Républicain

  • LES NÉO-SOPHISTES DU " CAMP DU PROGRÈS "

     

    2003 - GENÈSE DE L’ISLAMOPHOBIE

    Les " antifas " sorte de voyoucratie fanatisée violente et cause de désordres publics, jamais poursuivie par l’autorité publique en tant qu’organisation fasciste, et en parfaite adhésion avec les escrocs de l’antiracisme infiltrés à SOS racisme ne sont que la partie immergée de ces gauches, plus moralisantes les unes que les autres, autoproclamées " camp du bien ", lesquelles, dors et déjà, au début des années 2003 se préoccupaient plus de défendre la cause du prophète contre les philosophies des Lumières ou de soutenir la laïcité et l’égalité femmes-hommes dans l’objectif de faire taire en les traitant d’islamophobes les féministes de l’universel portés à bout de bras par Élisabeth Badinter.

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    La différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions.

     

    Dès 2004 au Québec les " féministes " n’ont rien compris à ce livre " Fausse route " d’Élisabeth Badinter - résultat 17 ans après règne le wokisme, l’intersectionnalité, les décoloniaux et la culture de l’effacement avec pour conséquence la perte ou l’abaissement de l’identité de ce pays du reste aggravée par la venue en nombre de populations de migrants – c’est fini le Québec ne connaîtra pas l’indépendance.                                                                                               Voulez-vous vraiment voir s’installer le wokisme en France ?                                                                                                                     http://blvids.free.fr/DIM.mp4

    EN FINIR AVEC LES PLATONICIENS C’EST EN FINIR AVEC DIEU OU LES GLOSEURS DE LA CANCEL CULTURE                                                                                                                                                      Négation des principes des Lumières, la partition ou la discrimination positive contre la méritocratie républicaine est devenue une des grandes causes du "camp du Progrès".

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    À l’encontre des visions idéalistes du religieux ou de la moraline du gauchisme culturel la liberté de conscience et d’expression, et donc l’esprit critique, c’est la laïcité qui les préserves, notamment au sein de l’école, où elle revêt une importance particulière.

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    Aberration, lorsqu’une ministre inspirée Macron ( qui vous savez ) se rend avec Jean-Louis Bianco au lycée Paul Bert, dans le 14e, pour participer à des échanges entre des élèves de terminale venus de plusieurs établissements, et avec les enseignants et personnalités présents, sur les questions d’esprit critique et de laïcité.

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    Exemple parfait de l’hypocrisie de ces deux socialistes du " camp du Progrès ", notamment quand la ministre laisse enseigner le fait religieux à l’école sans en contrepartie permettre l’enseignement du fait athée et J.L Bianco qui répète à qui veut bien l’entendre qu‘il n’y a pas de problème avec la laïcité en France.

    La meilleure défense contre l’obscurantisme, c’est la curiosité.

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    LES LUMIÈRES OU LE MULTICULTURALISME

    Ne jamais prononcer son nom Baikeur, c'était sa volonté, elle aimait la France.

    Joséphine Baker, moi je l’ai vue, entendue et compris, jamais elle n’a réunit douze enfants pour les éduquer dans l’aberrante ou indécente idéologie du multiculturalisme tant prisée par le " camp du Progrès " mais les éduquer, selon les principes des lumières, pour devenir des citoyens antiracistes.

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    FALLACE EN FRANÇAIS SE DISAIT SOPHISME CHEZ LES ANCIENS GRECS

    HAINEUX OU HAINEUX

    Le sujet n’est pas à diaboliser Zemmour

    Que nos gouvernants s’occupent de nos pauvres,

    en ne laissant plus venir de migrants.

    Rien ne retient ceux n’aimant pas la France,

    qu’ils la quittent s’ils ont le sens de l’honneur.

    Citation, répliquant à Timée

    Voilà pourquoi nous avons dit, je pense, que l'âme des gardiens de l'État doit être à un haut degré portée à la fois à la colère et à la philosophie, pour qu'ils puissent être à propos doux et terribles(05).

    Socrate

     

     


     

     

     

     

    « Ici c’est la terre d’Allah, cassez-vous » « Wallah sur le Coran je vais t’égorger », voilà ce que des jeunes ont crié pour empêcher une procession à Nanterre. Les chrétiens sont persécutés en terre d’Islam, que de tels actes se mettent en place en Europe a de quoi faire peur.

     


     

     

     

     

     

     

    Charlie Hebdo@Charlie_Hebdo_Grand remplacement" : le fascisme invité en prime time sur Cnews. 

     


     

    charliehebdo.fr

    « Grand remplacement » : le fascisme invité en prime time - Charlie Hebdo.Société : Une étape a été franchie dans la course à l'audience télévisuelle lorsque, le 31 octobre, le journaliste du Figaro Ivan Rioufol a invité l'écrivain Renaud par Jean-Yves Camus.

     

    DIABOLISATION

    '' fascisme ou fascistes '' sur CNEWS, mort de rire : Dans notre pays, qu'étaient-ils les socialo-communistes durant la période stalinienne - les mêmes ont soutenu Khomeini et la '' révolution islamique '' ? Aujourd'hui, font-ils seulement semblant de méconnaître la vraie cible, sinon quoi d’autre ?

    Épuration ethnique

    Mort de rire, si j’ose, il n’y a plus d’enfants juifs dans la plupart des écoles laïques, sans compter qu’il n’y a plus de populations juives dans les pays musulmans et presque plus de chrétiens. Qui depuis le début des années 70 veut expédier les juifs à Dachau ou jeter les israéliens à la mer, Zemmour ?De toute urgence, il faut obtenir la privatisation des chaînes publiques, la solution la plus efficace pour rétablir la pluralité. - chaînes infiltrées par les staliniens passés maîtres en propagande, en censure par omission, en décontextualisation ou en diabolisation de tous ceux qui dérangent la ligne éditoriale de cette police de la pensée sous l’emprise du gauchisme culturel qui n’a eu de cesse d’accaparer les écrans depuis une bonne quarantaine d’années.

     

    Contre l'insupportable moraline des islamo-gauchistes pro-palestiniens ou pro-européens ou encore pro-immigration '' quoi qu'il en coûte '', il s'avère possible grâce à deux candidats principalement, celle du RN (15 %) et celui de la Reconquête (14 %). De quoi constituer déjà un solide bloc de droite souverainiste.

    LA FRANCE EST UN PAYS LITTÉRAIRE

    Ne Jamais se soumettre à la tyrannie de ceux qui n’aiment pas la culture française ni les mœurs de notre pays.                                                             CRAB

    NOTES

    Un pas en avant, deux pas en arrière. Constat peu glorieux ? Fausse route d’Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. Rappelant que la différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions, Élisabeth Badinter pointe, dénonce parfois, les contradictions d’un féminisme "obsédé par la problématique identitaire". Et l’auteur de poser la question : quels sont les réels progrès réalisés depuis quinze ans ? À étudier de près les phénomènes sociaux et comportementaux durant les deux dernières décennies, aussi bien dans le monde oriental que dans le monde occidental, on prend conscience de la pérennité d’une guerre des sexes, doublée d’une renaissance des stéréotypes sexuels. Au-delà de ce constat, Élisabeth Badinter décrypte la tendance insidieuse d’un nouveau féminisme qui a retrouvé les accents moralisateurs du judéo-christianisme, voire la naissance d’une "bien-pensance féminine" ou – pire – une dérive d’un féminisme guerrier. Qu’on ne se trompe pas : la guerre des sexes a toujours lieu. Élisabeth Badinter rappelle que "l’indifférenciation des sexes n’est pas celle des identités. C’est au contraire la condition de leur multiplicité et de notre liberté". --Denis Gombert

    Quatrième de couverture

    « Les stéréotypes d'antan, pudiquement appelés "nos repères", nous enfermaient mais nous rassuraient. Aujourd'hui, leur éclatement en trouble plus d'un. Bien des hommes y voient la raison de la chute de leur empire et le font payer aux femmes. Nombre d'entre elles sont tentées de répliquer par l'instauration d'un nouvel ordre moral qui suppose le rétablissement des frontières. C'est le piège où ne pas tomber sous peine d'y perdre notre liberté, de freiner la marche vers l'égalité et de renouer avec le séparatisme. Cette tentation est celle du discours dominant qui se fait entendre depuis dix ou quinze ans. Contrairement à ses espérances, il est peu probable qu'il fasse progresser la condition des femmes. Il est même à craindre que leurs relations avec les hommes se détériorent. C'est ce qu'on appelle faire fausse route. » Elisabeth Badinter est notamment l'auteur de L'Amour en plus, de L'un est l'autre et de XY. De l'identité masculine.

     

     

     

     

    ANNE HIDALGO SUR LES JUIFS ET LES MUSULMANS

    Perpignan, Anne Hidalgo a comparé le sort des juifs des années 30 à celui des musulmans d'aujourd'hui...    « Non, cette France qui recule n’est pas la nôtre. Non, cette nation confite dans une nostalgie agressive n’est pas la nôtre. Non, cette France au passé falsifié n’est pas la nôtre«Je ne laisserai pas désigner nos compatriotes musulmans comme les boucs émissaires de la crise française», a-t-elle ensuite déclaré.                                                                                Au regard de cette infamie, en réponse à ces ignobles et écœurante teneur de ces propos s’observe l’habituel et lâche silence assourdissant du " camp du Progrès " ( gauchisme culturel ) CRAB

    Attentats anti-chrétiens – anti-juifs – anti – musulmans

    En 2020

    le ministère de l'Intérieur décompte 1 052 actes antichrétiens, 

    contre 687 faits antisémites 

    et 154 atteintes aux musulmans.

     

     

    SUITES

    L’écriture inclusive maladie infantile des sans-visages.                                                                                          http://laicite-moderne.blogspot.com/2017/11/lecriture-inclusive.html

     

  • L’humanisme républicain

    La bataille de San Romano ( 1435 – 1440 ) - Paolo Uccello


    Audace de la pensée » mais aussi « audace de l’action »
    ... renoncer à la virtus, pour choisir de gouverner par la force et la tromperie, c'est se conduire en animal. Cicéron ( 106 – 63, avant notre ère )
    Machiavel ( 1469 – 1527 ) lui répond : « Vous devez savoir qu'il y a deux manières de combattre. L'une avec les lois, l'autre avec la force, la première étant le propre de l'homme, la seconde, celui de la bête. Mais, parce que la première, bien des fois, ne suffit pas, il faut recourir à la seconde. Il est donc nécessaire à un prince de savoir bien user de la bête et de l'homme. »

    L’école de la liberté ou de la liberté de la pensée ( à ne pas confondre avec la liberté de penser qui permet de codirier l’inquisition religieuse, les régimes théocratiques ou staliniens - tous plus totalitaires et mortifères les uns que les autres qui ont marqués douloureusement l’histoire chaotique de l’humanité )
    Nous savons concilier le goût du beau avec la simplicité et le goût des études avec l'énergie. Nous usons de la richesse pour l’action et non pour une vaine parade en paroles. Chez nous, il n'est pas honteux d'avouer sa pauvreté ; il l'est bien davantage de ne pas chercher à l'éviter. Périclès

    Oraison funèbre prononcée par Périclès - ( 494 – 429, avant notre ère )
    Extrait
    XXXVII. - "Notre constitution politique n'a rien à envier aux lois qui régissent nos voisins ; loin d'imiter les autres, nous donnons l'exemple à suivre. Du fait que l'État, chez nous, est administré dans l'intérêt de la masse et non d'une minorité, notre régime a pris le nom de démocratie. En ce qui concerne les différends particuliers, l'égalité est assurée à tous par les lois ; mais en ce qui concerne la participation à la vie publique, chacun obtient la considération en raison de son mérite, et la classe à laquelle il appartient importe moins que sa valeur personnelle ; enfin nul n'est gêné par la pauvreté et par l'obscurité de sa condition sociale, s'il peut rendre des services à la cité. La liberté est notre règle dans le gouvernement de la république et dans nos relations quotidiennes la suspicion n'a aucune place ; nous ne nous irritons pas contre le voisin, s'il agit à sa tête ; enfin nous n'usons pas de ces humiliations qui, pour n'entraîner aucune perte matérielle, n'en sont pas moins douloureuses par le spectacle qu'elles donnent. La contrainte n'intervient pas dans nos relations particulières ; une crainte salutaire nous retient de transgresser les lois de la république ; nous obéissons toujours aux magistrats et aux lois et, parmi celles-ci, surtout à celles qui assurent la défense des opprimés et qui, tout en n'étant pas codifiées, impriment à celui qui les viole un mépris universel (02). 

    (02) Périclès fait l'éloge du gouvernement démocratique qu'il a contribué à substituer à un régime aristocratique et qui aurait pu faire la grandeur d'Athènes, à condition qu'il y eût toujours des Périclès ou des Démosthène pour diriger l'Assemblée du peuple et que ces hommes nécessaires, ces hommes providentiels fussent écoutés plus que les Cléon, les Alcibiade, les Eschine.
    On peut discerner dans cet éloge des Athéniens la critique des mœurs et du régime de Sparte.

    XXXVIII. - "En outre pour dissiper tant de fatigues, nous avons ménagé à l'âme des délassements fort nombreux ; nous avons institué des jeux et des fêtes qui se succèdent d'un bout de l'année à l'autre, de merveilleux divertissements particuliers dont l'agrément journalier bannit la tristesse. L'importance de la cité y fait affluer toutes les ressources de la terre et nous jouissons aussi bien des productions de l'univers que de celles de notre pays. - Périclès 1-

     

    Athéniens. Que devez-vous faire, pour suivre sans embarras ma discussion sur l'illégalité ? Je vais vous le dire : Examinez à quelle classe appartient l'homme qui fait l'objet du décret. Est-il étranger, métèque ou citoyen ? Si nous l'appelons métèque, nous ne dirons pas la vérité. Si nous l'appelons étranger, nous aurons tort, car le bienfait du peuple qui lui a donné la qualité de citoyen constitue pour lui un droit acquis et irrévocable. Prenons-le donc comme citoyen et parlons de lui en conséquence. Extrait de Démosthène contre Aristocrate ( 476, avant notre ère )

     

    1. Périclès
    http://imgstore.free.fr/Pericles.pdf

    Suite : La République est la racine du mal
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/12/la-republique-est-la-racine-du-mal.html

    Suite 2 : Macron et ses fantasmes d'un autre temps
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/12/macron-et-ses-fantasmes-dun-autre-temps_9.html