Magritte
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Dans l’antiquité, il fut, selon Pline l’ancien, le précurseur de l'insertion de la lumière et l'ombre révolutionnant ainsi la peinture grecque, Apollodore d'Athènes est un peintre athénien ( Ve siècle avant notre ère ) surnommé « le peintre d’ombre » dont Magritte appréciait son goût du mystère - ce goût du mystère, contre les idéaux des principaux penseurs surréalistes qui estimaient que de ne pas associer l’image aux mots ne faisait pas sens, Magritte en toute indépendance élabore l’essentiel d’une production picturale dont chacun de ses tableaux est le révélateur de sa volonté sans faille de détecter, de pénétrer, de signifier exclusivement par l’image le mystère de la pensée – peindre le mystère fut dans la vie d’artiste de Magritte sa raison de vivre
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En France la beauté n’est pas un risque - attendu que dans notre pays, la pensée est la seule lumière
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Dans notre pays, un mari ne décide pas à la place de sa femme, et en France la beauté n’est pas un risque, en islam si - car le monde musulman hait, à peur de la belle femme*1 qui sait s’habiller parce que cette « sorcière ou ensorceleuse » se sait séduisante d’autant plus qu’envers et contre tout éprise de liberté, sans pour autant se prendre au sérieux - sure d’elle, elle aime en tout et pour tout faire ce qu’elle veut quand elle veut
( *1 : on sait aussi que l’islam a peur des beaux hommes – récemment l’Iran a refoulé un homme européen à sa frontière, jugé trop beau, donc dangereux...
Dans une société qui croit à l’émancipation féminine, devons-nous normaliser, dès l’enfance, ce signe plus que très problématique qu’est le voile islamique ?
Si les enseignantes et les éducatrices en garderie devaient porter le voile ne serait-ce pas inquiétant ?
Effet nocebo, ces personnes incarnent une autorité symbolique immense : devant les enfants, elles représentent la société et si tel était le cas, le relativisme, ici, justifie la soumission féminine )
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Autrefois les chrétiens excellaient dans cette idée saugrenue de séparer le corps d’une personne de son entendement, c’est dire le désir généré par l’attirance sexuelle, le choix, l’idée, l’esprit, etc., qui du moins ne sont que les effets d’un processus physiologique, neuronal et nerveux, c'est-à-dire exclusivement lié à la chair et au cerveau - mais dans notre époque contemporaine à l’exception d’une minorité résiduelle de catholiques ou autres judéo-chrétiens de pailles, c’est à présent l’islam exporté dans notre pays - pays des libertés individuelles qui, dans notre société, ne veut pas et entend bannir le sexuel ;
cependant s’observe qu’il en est ainsi un peu partout dans le monde où la religion musulmane entend interdire dans chaque pays le sexuel, interdit la sexualité, sauf pour les hommes en autorisant la polygamie, et de s’acharner à cacher les femmes par crainte du pouvoir de séduction qu’exercent les plus belles d’entre-les femmes, et pour ce faire soumet et humilie toutes les jeunes femmes en leur imposant de rester vierges jusqu’au mariage ( le plus souvent forcé ) - allant jusqu’à mécaniquement les obliger ou en cas de doute à passer un teste de virginité, dans d’autres cas ainsi qu’en Égypte et dans certains pays africains de les priver de la possibilité de jouir de leur sexe par la mutilation génitale ( l’excision )
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Invention des théoriciens islamistes, cette idéologisation, cette instrumentalisation sans précédant du corps de la femme comptant parmi les plus sexistes, inégalitaire, discriminante et inhumaine ( un homme vaut deux femmes et a le droit de battre sa femme dans le coran - c’est dit-on la parole du dieu musulman [?] - ), n’a pas sa place dans notre société où voluptueusement le plaisir est la racine de la morale, de même que le droit de ne pas savoir, de ne pas croire au surnaturel est le reflet de la joie intense procurée par la recherche et l’enthousiasmante satisfaction de la découverte - in fine, si l’on peut rire, se gausser sans modération ( c’est bon pour la santé ) de l’explication des origines de l’univers et de la vie rapportées par les autres religions, il n’en va pas de même avec l’islam ;
dénué de spiritualité l’islam n’est pas une religion, mais une idéologie purement politique et sociétale qui n’a pas sa place dans aucune des sociétés réellement démocratiques et citoyennes où la recherche de l’éthique prime sur l’irrationnel, sur l’obscurantisme, sur l’exhibitionnisme identitaire dans l’espace public ou encore sur l’ensemble des préjugés ou inepties très genrées que vient ou tente de sacraliser cette fausse religion - CRAB - 23 Octobre 2016
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Révolution sexuelle : vidéo
http://crab.painter.free.fr/videos/Revolution_sexuelle.mp4
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Libertines - Libertins
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/09/02/libertines-libertins-5842958.html
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Réaliser un féminisme libertin
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/03/18/realiser-un-feminisme-libertin-5775975.html
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Qui sont les femmes ?
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/01/24/qui-sont-les-femmes-5749595.html
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Casanova
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/10/casanova.html
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Casanova – Suites :
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2015/10/23/casanova-5704641.html
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L'Éros féminin...
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2009/03/13/l-infemme.html
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Carmen
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2009/12/08/carmen.html
Les différends gouvernements par leur inaction ont laissé les quartiers essentiellement en banlieue des villes se « ghettoïser » et le livre les Territoires perdus de la République fut ignoré au profit d’un sordide calcul clientéliste par la grande majorité des élus de la gauche lors de sa sortie
En 2002, Georges Bensoussan, historien et responsable éditorial du mémorial de la Shoah, fut à l'origine du livre "Les Territoires perdus de la République".
Treize ans après, c'est toujours la loi du silence. Comme si les yeux restaient toujours grands fermés sur la réalité malgré le sang qui l'a éclaboussée. Il est d'autant plus urgent de relire la nouvelle édition d'un extraordinaire document rédigé en 2002 par un collectif d'enseignants confrontés à la montée de la haine et de l'obscurantisme. Seul le titre a été largement repris dans la presse et par les politiques, à commencer par Jacques Chirac en 2003. L'expression, simple, juste et terrible, de « territoires perdus de la République » pour désigner les trous noirs dans lesquels sombrent, en France, les valeurs humanistes, a connu un succès inversement proportionnel à la reconnaissance et à la diffusion des informations divulguées. Le livre, plébiscité par les lecteurs malgré le mutisme médiatique (exception faite d'Alain Finkielkraut, de Brice Couturier, de Marianne et d'un ou deux autres journaux) ressort aujourd'hui en édition de poche, avec une postface de Georges Bensoussan. C'est l'historien qui coordonna, sous le pseudonyme d'Emmanuel Brenner, les témoignages des professeurs sur la violence en milieu scolaire, la propagande islamiste et les théories du complot.