Macron n’aurait pas dit mieux, et pour nos très distingués économistes ( ceux-là même qu’on voit à la télé ) d’ajouter que " même travailler pour des clopinettes, vaut toujours mieux que de ne pas travailler "
Pour bien commencer l’année :
Conscient de l’impact d’une forme des plus détestables de la pudibonderie qui frappe le mental de milieux visiblement très médiatisés comptant parmi les plus nauséabonds, il me paraît opportun de rappeler que si l’ironie et l’impertinence sont un genre majeur de notre culture, il est humainement bien plus essentiel, attendu que la mort est absence de sensation, pour les femmes qui aiment les hommes et les hommes qui aiment les femmes d’avoir présent à l’esprit que le plaisir dans une société hautement civilisée est la racine de la morale ;
cela s’entend de ne point accorder le moindre crédit à l'imagerie doloriste dessinée par le lamento de « féministes porcin ou de boudoirs » dont la peur irréductible du sexuel dans la société, sinon peut-être plus particulièrement le refus d’admettre la sexualité des hommes *1, ne se priveraient pas, pour toutes fins, de jeter les Amours dans les fosses septiques au profit de la procréation si chère à nos économistes patentés main dans la main avec la représentation des hiérarchies monothéistes en mal de croissance démographique – quand au demeurant, nulle personne ne devrait pas vraiment ignorer qu’il n’est pas de vrai bonheur autres que jouir sans se nuire ni nuire à autrui ?
*1 - bien que le rapport au sexuel des femmes et des hommes s’est considérablement rapproché, depuis la fin des années cinquante du siècle dernier, dû aux bien réelles libertés individuelles obtenues contre les religions et en suivant grâce à une meilleure maîtrise de la contraception -
Durant cette nouvelle années, ne pas manquer une seule occasion de signifier urbi et orbi que le féminisme est envers et contre tout universel ainsi que tout bien pesé la laïcité sans adjectif
- en convaincre Macron n’est pas gagné... ni auprès des partisans d’un grotesque statut de première dame de France, d’ailleurs -
Ainsi prendra corps l'année nouvelle, elle n'en sera que meilleure à souhaits pour les incroyants ou les sans religion*2 tous, à des degrés divers ou d’Été, toujours et toujours en quête de nouveau
*2 – 60 % de nos compatriotes sont sans religion -
Néanmoins, dans un but humanitaire des plus louables, à seule fin de ne pas laisser les croyants nos meilleurs ennemis sur le bord des chemins bourrés de traîtresses ornières ni se perdre aux croisements des allées marqués par la solitude figée d’insidieux calvaires, rien n’interdit dans notre grande bonté de leur proposer, non pas, à l’orée des bois de bordures, de cueillir quelques-uns dans un ensemble affriandant de champignons vénéneux – mais de manière préférentielle, n’est-il pas concevable de dire distinctement à ces braves gens ( pas tous ) au lieu de se pétrifier dans de vains espoirs ou encore de se déposséder pour des lendemains incertains, de consacrer ainsi qu’une exigence première la volupté heureuse - de prendre un temps précieux pour se familiariser avec " L’œuf et la poule " ? - Suites :
https://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/10/luf-et-la-poule.html
CRAB
Commentaires
Le « féminisme victimaire » est au féminisme universel ce que la pudibonderie est au sexuel dans la société
Depuis la nuit des temps, incandescentes, lumineuses, les femmes indépendantes ont transgressé tous les tabous sans jamais enseigner la liberté par l’écrit ou la parole ni autrement que par leur façon d’être – CRAB
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Aux antipodes d’un féminisme porcin « Féminisme victimaire » , citation :
Ce n'est pas dans l'agressivité que l'on va faire avancer les choses, ce n'est pas dans la haine de l'homme. (...)
On est responsable de nous-même.
On est assez grande pour dire aussi ce qu'on veut !", estime la comédienne, Laetitia Casta
Enfin, elle dit ne pas se considérer "comme une féministe mais comme une femme.
Il faut que les femmes n'aient pas peur de prendre leur place" , dit-elle.
Réponse à une lectrice :
Non madame, les femmes ne sont pas des petites choses fragiles !
Au lieu de porter aussitôt plainte contre un harceleur ou un violeur, attendre, pour sauver sa carrière, dix ans et plus pour " balancer son porc " c’est faire preuve d’irresponsabilité vis à vis des autres femmes et des hommes qui ne supportent pas les prédateurs sexuels – je ne jette pas la pierre à ces dernières, mais n’ai nulle envie de les soutenir !
Réponse à F.....e V......n - une lectrice :
Écoutez, je persiste et signe, car depuis plus de quinze ans je ne cesse de dénoncer ce « féminisme » qui n’en est pas, que l’on pouvait qualifier, selon Élisabeth Badinter, de « féminisme victimaire » , qu’en tant qu’homme « pas que féministe » je qualifiais depuis plusieurs année de « féminisme de boudoirs » et à présent de « féminisme porcin » - car ce type de féminisme fait désormais l’éclatante démonstration qu’il a pris le visage d’une haine des hommes et pardessus tout du sexuel dans la société
Ce que j’aime chez Mozart et Da Ponte, c’est qu’ils montrent les femmes et les hommes telles et tels qui sont ‘ CRAB
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/12/et-mozart-crea-la-femme.html