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féminisme - Page 4

  • Théologie apophatique de l’existence de dieu et du féminisme

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    Élisabeth Badinter
    I

    De « dieu » d’abord et des « féministes » dans la foulée
    Affirmer ainsi que l’écrit Simone Weil qu’il est enrichissant pour les non-croyants et croyants de parler ensemble de théologie apophatique ou négative de l’existence de dieu n’a pas vraiment de sens, car rien, en tous cas, ne servirait de nier « l’existence de dieu » puisque « dieu existe » à partir d’un concept inventé par des hommes et fabriqué étape par étape au fil des siècles par de « gentils théologiens » ;
    ce qui compte c’est de déconstruire l’invention dieu et de démontrer que le monothéisme est la racine du sectarisme ou que l’invention monothéiste signe l’acte de naissance du sectarisme le plus violent de toute l’histoire de l’humanité mais celles-et ceux des féministes qui se proclament ou encore se catégorisent « féministes » ( comme si une personne ne pouvait-être que féministe ) très généralement apprécient Simone Weil, mais-aussi se font bien souvent apologétiques de la politologue Hanna Arendt qui cependant et banalement veut, peut-être inconsciemment, faire oublier que le rôle du politicien ou de la politicienne c’est justement de faire de la morale* ( * : par exemple par la loi autoriser l’IVG ou encore le mariage pour tous ) ;
    Hanna Arendt se situe aux-antipodes du dire des penseurs de l’immanent qui justement ne sont pas philosophiquement des philosophes de pouvoirs, elle oppose sa propre métaphysique à d’autres métaphysiques dites platoniciennes dont-en réalité elle ne diffère guère que très vaguement à la marge puisque relativement proche des aristotéliciens qui eux comme Platon comptent parmi les philosophes de pouvoir ;
    ces deux figures historiques recueillent l’adhésion de bien trop nombreuses « féministes » dont l’un des passe-temps favoris consiste à dénigrer la bien dérangeante Élisabeth Badinter dont le combat cohérent et avec constance prône un féminisme universel ( ni oriental ni occidental puisqu’il est universel ) qu’elle explique parfaitement dans son livre " Fausse route ", un livre important comptant parmi les très nombreux ouvrages quelle a écrit pour défendre la cause des femmes ;
    elle est l’une des rares personnes qui refusent de s’aligner sur la ligne démagogique d’un « féminisme » qui n’en-a que le nom, mais nettement plus-apparenté ou plus proche de la pudibonderie la plus nocive, sorte d’émanation résiduelle de ce qui reste du judéo-christianisme avec, à notre époque, pour « valeur ajoutée » l’idéologie musulmane
    Hors, Élisabeth Badinter philosophe et femme de lettres à fait l’essentiel de sa lutte contre la victimisation du genre féminin, philosophie à laquelle j’adhère sans réserve, en tant qu’athée, amoureux des arts, de la musique et surtout du chant lyrique, anti-sexiste, anti antisémites et anti homophobes
    " le conflit la femme et la mère ", l'ouvrage fait une critique savoureuse de ce nouvel idéal maternel qu'on impose aux femmes pour mieux les faire rentrer au foyer ", et remet à sa place le naturalisme écologique contre la liberté de choisir qui rappelle toutes les tentatives d’involution de la société des femmes caractérisé par l’écologiste Cécile Duflot ou par « La républicaine » NKM* qui n’est rien de plus qu’un-animal politique de notre temps ( et j’en passe ) - inutile d’insister sur les assauts permanents théocratiques contre " les droits des femmes " émanant de fanatiques judéo-chrétiens et +
    * : Mais nul ne peut-ignorer que la solidarité féminine n’existe pas et ne saurait relever d’un fantasme masculin d’autant que des femmes surmédiatisées à la tête d’un parti ou de mouvements réactionnaires, au même titre que les hiérarchies monothéistes, sont les pires-ennemies " Des droits des femmes " et se font opportunément chantres de la pire des homophobies
    Ici rappeler les propos sexistes de canard Trump promoteur d’une nov-américa, ne doit pas faire oublier qu’en son temps Françoise Dolto estimait qu’il fallait symboliquement pénaliser les femmes qui choisissent d’interrompre leur grossesse, ne serait-ce que de 1 Franc
    Hors, à travers l’histoire millénaire de la misogynie ne manque pas les femmes qui ont su et réussi par leur inébranlable volonté à s’imposer dans des sociétés qui ne leur reconnaissait aucun droit, encore moins celui de penser pour être et pourtant elle l’on faitc’est ce qui justifie sa position, et ce n’est pas contre la pensée féministe, mais le pourquoi Élisabeth Badinter s’est prononcée contre toutes les formes infantilisant que prend et défini le principe même de parité - un principe trop simple pour être honnête, le reflet du manque d’imagination, une recette paresseuse, une réponse dangereuse à un vrai problème, et, le dire publiquement ce n’était pas combattre le principe d’égalité en soi - ( mais allez raconter ça à des militant-e-s, en fait plus chrétien-e-s que vrais féministes... )
    Citation : ( 1996 ) - 1. L'inscription à terme de la parité dans la loi transgresse un principe fondamental de la république, l'universalisme de la représentation : un élu est censé représenter tous les citoyens, quel que soit sa couleur, son sexe, son âge, son origine sociale. Si l'on décide d'isoler l'un de ces critères, on ouvre la porte à toutes les revendications particulières.
    2. La parité institue deux catégories de citoyens distincts, les hommes et les femmes, qu'elle fige dans leur différence sexuelle alors que l'évolution des mœurs plaide pour l'indifférenciation des rôles, des métiers et des fonctions.
    3. La parité forcée est humiliante. Les femmes ne devraient pas accepter de se laisser enfermer dans un statut de victimes contraintes de demander à la loi de leur réserver des postes qui, du coup, seront dévalorisés. Fin de l’extrait - C’était ce qui s’appelle mettre le doigt là ou ça fait mal -
    Ces « féministes » qui étaient favorables au principe de parité finiront, peut-être bien en quelques décennies, même à l’insu de leur plein gré, par causer la perte de l’universalisme et s’étonneront de voir, ça et là, s’imposer des féminismes opposés à tout changement de comportement ; forcément au détriment des femmes émancipées conscientes que la culture est plus-importante que la nature dans la construction de notre identité
    Si la nature était bonne, il n’y aurait nul besoin de Médecine ni encore moins besoin de Culture

    I

    « la liberté des femmes ne va pas sans celle des hommes » - Élisabeth Badinter
    Crétinerie sans frontière ou le sommet de la dénigration d’Élisabeth Badinter, plus particulièrement attachée à théoriser la notion de « ressemblance » des sexes, se fait jour lorsque des « féministes » dignes héritières de la « grande Hélène Jégado ( MDR ) » toutes à qui mieux-mieux vêtues de la robe montante de droguet et du tablier de cotonnade à bavette se félicitent dans la plus parfaite cécité d’une loi qui pénalisent les clients des femmes prostituées, une loi qui ne dérange en rien les proxénètes ( bien-au contraire dans les faits ) puisqu’aucune loi ne les attaquent vraiment dans la mesure ou il est-admis que la volonté politique de les déloger entraînerait économiquement un coût considérablement plus élevé, voire disent certaines bonnes-âmes insupportable pour le budget de la Nation - mais cette loi in fine, ce qui était prévisible, a pour conséquence de précariser encore plus qu’auparavant ces femmes ( ainsi que les hommes qui se prostituent )

    I

    " Quand on parle de violence féminine, on est toujours soupçonnée de vouloir atténuer la violence masculine " - Elisabeth Badinter -
    Mère incestueuse, femme pédophile ? Les mots écorchent et personne ne veut les entendre
    Selon l’étude INSERM " 6% des filles et 14% des garçons victimes d'un abus sexuel l’avaient été par une femme " - d’autres-études signalent un pourcentage plus-élevé -
    Citation : Une étude extensive menée par une commission nationale au Canada a mis à jour les mobiles de ces femmes incestueuses ou pédophiles : elles-mêmes agressées par leur père ( 80% ), elles considèrent souvent leur fille comme une rivale, explique Monique Tardif, la psychologue la plus familière avec le dossier des agressions sexuelles commises par les femmes au Québec. Les trois quarts des femmes pédophiles recensées par l'étude avaient également infligé des sévices à leurs propres enfants – Fin de citation
    En matière de crimes sexuels, ce « féminisme » de salon ou d’hyper-marché ( majoritairement répandu dans les pays anglo-saxons, un peu moins en France ) qui entend parler au nom de toutes les femmes rejoint l’extrémisme le plus dangereux - se montre en réalité plus proche de " l’ordre moral ", ce qui en outre et entre-autre permet de comprendre pourquoi, ( à titre d’exemple ), cette part de population « féministe » évite soigneusement de rappeler qu’un pourcentage non négligeable de crimes pédocriminels ou d’incestes sont des crimes sexuels commis par des femmes, mais c’est tellement plus commode ou plus facile dès qu’il s’agit de viols et d’abus sexuels extrêmement graves ou aggravés de essentialiser la seule population masculine* ( * : on ne peut me reprocher, dans la mesure où j’ai participé activement à la criminalisation du viol, de ne pas remettre tous les salauds parmi les hommes à la sordide place qu’ils occupent )
    D’ici peu ces mêmes charitables figures du « féminisme » amoureuses de Céline Dion et consorts avec ou sans bouton que le sexuel dans la société dérange outrancièrement parlerons d’interdire la pornographie pour masquer ou faire oublier que la pornographie n’existe pas - que dans la réalité il s’agit de films érotiques* dont certains sont de bonne ou de très très mauvaise qualité – ( * : bien sûr, à ne pas confondre, filmés par certaines agences, de véritables viols subis par des femmes, certes payées, mais qui néanmoins, pour le coup, tombent sous le coup de la loi )

    I

    Annonce ou matraquage ?
    [ Réfractaire, depuis la fin des années 60 à la publicité, chaque fois que survient sur l’écran de la télé une page publicitaire je me lève pour faire autre chose et je reviens aussitôt que le film ou l’émission reprend son cours, ainsi, il va de soi que figure bien-en vu un stop-pub en applique sur la façade de ma boite à lettres – si je dois acheter, dans tous les cas : j’enquête... ]
    Riche, donc forcément antiféministe ?
    Mais c’est en tant que fille et héritière de Marcel Bleustein-Blanchet ( Blanchet est son pseudonyme de la Résistance ), fondateur de Publicis, dont-elle est aujourd’hui la deuxième actionnaire, et la présidente du conseil de surveillance de la multinationale publicitaire que ce brillant esprit de femme ( qui nous fait tant-honneur ) est le plus souvent-attaqué ; bien qu’ayant répondu ou fait savoir à maintes reprises que ce conseil évitait de laisser passer bon nombre de publicité sexistes, tout-en-admettant que Publicis n’est pas épargné car il est reflet de ce qu’est en général le sexisme dans la société ;
    en ce qui me concerne, sans la plus petite hésitation, je me permets d’ajouter que cela ne prive pas Élisabeth Badinter du droit de penser, et d’écrire sans entacher en rien la sincérité* de ses convictions - ( * : un-exercice qui se révèle particulièrement bien difficile à appréhender par la cohorte de ses nombreux pourceaux d’Épicure )
    Je me devais de m’exprimer ainsi que je le fais toujours en pleine liberté car, depuis environ une douzaine d’années, contre les positions féministes et laïques prises par Élisabeth Badinter ce que je peux lire n’est que le reflet du vomi de pseudo défendeurs ou défenderesses de la cause des femmes et de la laïcité ;
    il est-aisé de se rendre compte que la plupart de ces personnes n’ont pas lu un seul de ses nombreux livres sinon, dans certains cas, dans-un état d’esprit très voltairien de falsifier*1 le texte, et pour ces tragiques-joyeux in fine faire le jeu de tous ceux qui ont œuvré à fragmenter le féminisme - CRAB

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    *1 : Le conflit la femme et la mère
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/10/le-conflit-la-femme-et-la-mere.html

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    Suites :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/01/semantique-de-latheisme.html

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    Suites 2 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/05/reforme-du-college.html

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    Suites 3 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/02/elisabeth-badinter.html

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    Suite 4 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2011/10/elisabeth-badinter.html

  • L’individualisme

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    Quand une femme n’accepte pas la dictature du clan

    I

    Les féodaux de toujours

    Dans l’actualité, la forme la plus répandue de prosélytisme couvre un large spectre pour s’étendre désormais jusqu’aux fanatismes religieux, et, pour ces féodaux ou bigots impénitents ;

    c’est tenter au quotidien par tous moyens disponibles de la communication, ( télévision et réseaux sociaux ), de faire accroire cette idée que l’individualisme et l’égoïsme sont synonymes, ce qui bien évidemment est complètement faux - CRAB

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    Individualisme - de quoi s’agit-il ?

    Individualisme, étymologie : dérivé de individu, issu du latin individuus, indivisible, inséparable, lui-même composé du préfixe privatif in- et de dividuus, divisible, divisé, partagé, séparé.

    Le terme individualisme sert à désigner toute théorie, doctrine ou attitude qui consiste à privilégier les intérêts, les droits et les valeurs de l'individu par rapport à tous les groupes sociaux, que ce soit la famille, le clan, la corporation, la communauté, la société, etc. L'intérêt individuel est considéré comme supérieur à l'intérêt général.

    L'individualisme repose sur deux principes :

    la liberté individuelle : la priorité est donnée à la condition des individus avant celle de la société elle-même,

    l'autonomie morale : les opinions de chacun doivent résulter d'une réflexion individuelle qui ne soit pas dictée par un quelconque groupe social, y compris par les religions.

    L'individualisme fait de l'individu le fondement de la société et prône l'initiative individuelle, l'indépendance et l'autonomie de la personne par rapport à la société et à tous les groupes sociaux auxquels elle appartient et qui font peser sur elle de multiples pressions. Source dictionnaire -

    I

    Être individualiste n’exclue nullement, sans sombrer dans je ne sais quel sectarisme ou esprit de secte, avec des acteurs différents de participer à des activités créatives, de nature culturelles ou économiques car ce qui compte [ citation : " Gardons-nous bien de suivre, à la manière des moutons, le troupeau de ceux qui précèdent en allant non pas vers où il faut aller, mais simplement où vont les autres. Car rien n'entraîne à de plus grands malheurs que de se conformer à la rumeur publique, en estimant que les meilleurs choix sont ceux du plus grand nombre, de se laisser conduire par la multiplicité des exemples - cela parce que nous vivons non d'après la raison mais dans un esprit d'imitation." - Sénèque - La vie heureuse ( De Vita Beata ) ]

    Hors il ne faudrait plus parler ou se déclarer individualiste sous le prétexte fallacieux que des individus sans scrupule, plus ou moins médiatisés par une presse ou des chaînes de télé peu soucieuses d’informer, essaient de faire passer l’individualisme pour le comportement de personnes égoïstes - pourquoi ?

    Tout simplement parce que ces individus issus de la minorité chrétienne et musulmane, en prenant un soin hypocrite à ne pas évoquer la réalité : raciste, sexiste, antisémite, athéophobe et homophobe de leurs « textes sacrés » ni les bouffées de délires de leurs prophètes ou encore émanant de leurs théologiens plus infantiles les uns que les autres - espèrent banaliser le principe du " vivre ensemble " comme s’il s’agissait exclusivement d’une affaire de coexistence des religions sans faire la moindre allusion aux athées ni aux sans-religion pourtant majoritaires dans notre pays – CRAB -

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    Suites : Journaliste - un métier ?

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/11/journaliste-un-metier.html

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    Suites 2 : 2016 : Novembre - Brèves

    http://democrite-epicure.hautetfort.com/archive/2016/11/24/2016-novembre-breves-5878479.html

     

  • 2016 : Novembre - Brèves

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    Amelia Earhart

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2011/09/07/amelia-earhart.html

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    BRÈVE 1 : Censure et malveillance anti-républicaine

    Le 22 Novembre dernier une manifestation infantile a empêché la venue du vice-président du Front national, à l’école de la rue Saint-Guillaume. Il devait débattre avec le secrétaire d’État Matthias Fekl - C’est Navrant -

    Dans notre démocratie le principe du débat intellectuel ou contradictoire est la règle, c’est ce qui fait notre Culture, notre Humanité, en deux mots notre civilisation... la civilisation

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    Pour que vive la démocratie

    Les causes de la violence des extrêmes ou parfois « ordinaire » n’est pas la pauvreté mais l’inculture [ car ] là ou s’arrête la liberté d’expression, là où la liberté de penser, le droit de ne pas croire ou de douter et d’en débattre sont interdits est le propre des mondes dominés par des totalitaires, par des fascistes plus ou moins proches du terrorisme

    La France n’est plus, depuis longtemps déjà, la fille aînée de l’Église, ni de Danton, ni de Robespierre, ni de Napoléon ;

    notre époque sait ce qu’elle doit aux ultras des Lumières dont plus particulièrement Ninon de Lenclos, Mozart, Da ponte, Casanova, Émilie du Châtelet et Jean Meslier ;

    notre pays par sa population la plus émancipée sait aussi ce qu’il doit " aux personnes de bonne volonté ", talentueuses, qui, depuis la Révolution, à chaque période charnière, ont marqué notre histoire, haussé notre niveau de civilisation, activement ont participé ou participent encore à la construction de ce qui fait aujourd’hui notre identité - pour ne citer que quelques-uns et quelques-unes : Olympe de Gouges, Georges Sand, Nietzsche, Gisèle Halimi, Simone Veil, Élisabeth et Robert Badinter - CRAB

    I

    Suites : Journaliste un métier ?

    http://democrite-epicure.hautetfort.com/archive/2016/11/22/journaliste-un-metier-5877586.html

    ou sur :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/11/journaliste-un-metier.html

    I

    BRÈVE 2 : Être mère n’a jamais été une fatalité

    L’actrice Valérie Lemercier revendique le droit au bonheur sans enfant. « Cela ne m’a jamais paru être vital » dit-elle, en ajoutant : « Je n’ai pas non plus tout fait pour avoir un enfant. Et arrive un jour où il est trop tard. Mais je ne considère pas ça comme un drame. » - Lu dans la presse -

    I

    Suite 1 : Qui sont les femmes ?

    http://democrite-epicure.hautetfort.com/archive/2016/11/15/qui-sont-les-femmes-5874531.html

    Suites 2 : Réaliser un féminisme féminin

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin.html

    I

    SIDA

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    Homophobie sans frontière

    L’homosexualité est ni plus ni moins « normale » que l’hétérosexualité, pourtant quelques-élus qui font honte à la Nation soutenus par leurs plus « belles populations », ainsi que par des associations ou mouvements plus pervertis les uns que les autres ont demandé le retrait de cette affiche

    Ce jour la Justice doit trancher - CRAB

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    Suite : Négationnistes et les conséquences

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2013/04/negationnistes-et-les-consequences.html

    I

    Suite 2 : Et dieu créa l'homosexualité

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2015/10/03/et-dieu-crea-l-homosexualite-5694446.html

    I

    Nota : photos publiées par Le Monde

    I

    Violences faites aux femmes

    Ministère FEDDF

    @Min_FEDDF

    .@laurossignol " 200 000 femmes sont victimes de violences chaque année. Un enfant témoin de violences est un enfant victime" #RTLMatin

    Venir en aide aux victimes les plus vulnérables

    Ce nouveau plan est également l'occasion pour le gouvernement de protéger les victimes les plus vulnérables, comme les enfants et les femmes jeunes et/ou isolées géographiquement. A l'antenne de RTL, Laurence Rossignol a ainsi déclaré qu'"un enfant témoin de violences est un enfant victime"

    Selon les chiffres établis, 143.000 enfants vivraient dans un foyer où la femme est victime de violences. Le nouveau plan du gouvernement devrait donc permettre la mise en place, à titre expérimental, "d'espaces de rencontre protégés", notamment en Seine-Saint-Denis d'ici 2017 Extraits de LE HUFFINGTON POST

    I

    Suites : Mimétismes violents

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archives/tag/f%C3%A9minisme/index-3.html

     

     

  • Qui sont les femmes ?

    Casanova, Da_Ponte, Don_Juan, Ève_Ruggiéri, Féminisme, Mozart, musique, opéras

    Cosi fan tutte

    °

    Dorabella avoue qu'elle s'est laissé prendre facilement au piège de l'amour mais qu'elle trouve cela délicieux - « E' amore un ladroncello » - Et aimer un peu voleur -

    Cosi fan tutte: opéra de Mozart, livret de Da Ponte, inspiré de l'Arioste, d'Ovide et du moins léger Goethe

    °

    Travaux pratiques : Qui sont les femmes ?

    Vous qui avez toujours voulu tout savoir sur les femmes , avec Freud, c'est peine perdue - mieux vaut d'emblée régler, une fois pour toutes, cette épineuse question avec Mozart ( 1756 - 1791 ) et Da Ponte ( 1749 – 1838 ) - *1

    °

    *1 : Mozart, Da Ponte et Casanova racontés par Ève Ruggiéri - Ève, née le ... « on sait pas » -

    http://blvids.free.fr/Mozart_et_da_Ponte.mp3

     

    Donna Anna

    http://crab.painter.free.fr/videos/Donna_Anna.mp3

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    Donna Elvira

    http://crab.painter.free.fr/videos/Donna_Elvira.mpeg

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    Zerlina

    http://crab.painter.free.fr/videos/Zerlina.mp3

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    Suites : '' Si Mozart m'était conté ''

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/si-mozart-metait-conte.html

     

    Déroulé d'articles :

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tag/musique

    Crab 24 Janvier 2016

     

  • La racine du mal

    Ni paradis ni enfer ne sont à craindre [ car ] " La mort est absence de sensation " - Épicure

    La vie et la mort.png

    Le coran, après Mein Kampf, est la racine du mal absolu

    Lutter contre la pauvreté est une priorité - combattre l’islam car l’islam est répandu partout dans le monde est aussi prioritaire

    I

    N’ayez pas peur de déconstruire la religion ni d’être traité d’islamophobe, c’est de l’inverse dont il faut s’inquiéter

    I

    Parler d'islam de France sans attester que le coran*1 est un document raciste et sexiste est une galéjade sans équivalent parmi les plus mystificatrices

    *1 : Culture du viol

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2010/06/01/la-sourate-dite-les-lumieres.html

    I

    Rire de tous les dogmes nous délivre, attendu que la citoyenneté ou le féminisme ne procède pas du religieux

    I

    La vraie leçon de Galilée : " il ne faut jamais mélanger les torchons et les serviettes ", surtout si l’on veut brûler le torchon

    I

    Le « féminisme islamiste » n’a aucun sens car la liberté de religion implique fondamentalement de se libérer de la religion

    I

    « féminisme islamique » est un oxymore, sinon une illusoire tentative de récupération du féminisme par la religion

    I

    En islam, le coran est la racine d’une culture du viol, et, l’expression la plus exécrable de l’interdiction de douter et de penser

    I

    La nocuité des religions fait que toutes les répressions commencent et finissent par le droit des femmes

    I

    Pour les femmes, dans les sociétés musulmanes proscrivant le sexuel, faire de leur sexualité une force et non d’y voir une faiblesse

    Suites :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin.html

    ou sur :

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/03/18/realiser-un-feminisme-libertin-5775975.html

    CRAB

     

    Ne pas plaire à tout le monde, c’est la liberté

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2009/08/18/aicha.html

     

  • Le conflit la femme et la mère

    Le 17 02 2010, j’écrivais – c’est toujours d’actualité

     

    Élisabeth_Badinter, Féminisme, allaitement_maternel, Droits_des_femmes, la_famille, Le_conflit_la_femme_et_la_mère

     

    NATURALISME ( du ) ; et des fausses sciences...

    I

    MERCI MADAME

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    L'involution

    Madame Elisabeth Badinter sort un excellent livre sur les femmes et l'allaitement...la blogueuse Monolecte [ qui se prend de féminisme ] se demande si la féministe n'aurait pas oublié qu'il y a encore des combats, plus importants, à mener sur les droits des femmes

    Il est clair que notre blogueuse auteur de l'article publié dans Marianne2 n'a rien compris...sinon, plus sûrement n’a pas fait l'effort de lire le livre de madame Élisabeth BADINTER

    http://www.marianne2.fr/Oubliez-ce-sein-madame-Badinter!_a185110.html?com#com_880094

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    Je cite un court extrait de ce que je pourrais qualifier d'art de l'amalgame et de la désinformation ; [...] '' dans le vrai monde où je vis, on ne peut pas dire que j’ai été poussée, même gentiment, sur la voie de l’allaitement maternel. Enfin, si, juste au début, le temps de comprendre que le biberon, c’est tellement mieux, surtout pour reprendre le boulot à la fin du congé réglementaire ''. […] '' On légifère abondamment sur le tissu religieusement ostentatoire... mais surtout lorsqu’il est porté par les femmes.'' […] Fin des extraits tirés de son post

    Allaiter est une liberté et n'a pas à devenir ou redevenir un dogme, voilà pour le principal ce que dit Elisabeth Badinter

    " Je suis une mère médiocre et je revendique ce droit "

    " Qu’est-ce qui se passe lorsque l’on a lâché son emploi à 30 ans et que l’on se retrouve à devoir vivre avec un homme qui vous dégoûte à 50 car on n’a plus les moyens de partir? ", s’interroge-t-elle et c'est une bonne question

    -

    [ Piqûre de rappel : Sur 10 divorces, sept sont demandés par les femmes ]

    -

    Dire, je cite à nouveau Élisabeth BADINTER, " Les discours de tous ces groupes que je ne mélange pas se sont coagulés autour de l’idée de la bonne mère écologique " Fin de sa remarque parfaitement fondée, ce qu'il faut comprendre c'est que l'écologie est instrumentalisée comme '' on '' instrumentalise la religion, pour tenter d'obliger les femmes à rester '' a la maison '', ce procédé patriarcal est aussi vieux que la phallocratie

    -

    Tous ces beaux discours '' sur la mère parfaite '' sont tenus par les chantres du relativismes culturels, ce qu'ils ne supportent pas c'est la femme autonome et libre

    Et ce n'est pas surprenant de voir monter au créneau pas seulement des écologistes comme Cécile DUFLOT mais tous ceux qui insidieusement font preuve de laxisme, quand ce n'est de démagogies face aux tentatives de communautariser notre société

    Élisabeth Badinter à bien raison d'insister sur les aspect pseudo naturaliste de cette idéologie émergente, pas vraiment nouvelle dans ce monde misogyne

    Ce n'est pas possible de lire autant d'ânerie en méconnaissance totale du fond de son propos

    I

    Navrant

    Sur Marianne2, j'ai retenu ce commentaire, posté par yougo34 le 13/02/2010 12:53 a écrit : Je cite ; '' A mon avis au lieu d'écouter son discours sur toutes les radios vous feriez mieux au moins de faire l'effort intellectuel de lire un des chapitres du livre avant de déballer des inepties de féministe ratée à la recherche de lecteurs ratés '' Fin d'une bonne remarque, mais ce n'est pas tenir compte que '' les malades '' dans la tête estiment que les anormaux sont les autres

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    Écrire sur un forum, c'est écrire pour tous ceux qui lisent sans intervenir, mais imaginer convaincre des intervenants qui vivent dans l'illusion...quelle illusion...mieux vaut en rire

    -

    Cependant il est un fait le sexisme se porte bien chaque fois qu'il prend pour habit le voile intégral ou la burqa d'un pseudo discours qui se sert du biologique ou d'une pseudo science sociale pour définir la place de la femme dans notre société - soit en faire une captive

    -

    L'auteure [ Monolecte ] de cet article qui manifestement n'a rien compris à l'analyse ou à la critique sociale formulée par Élisabeth BADINTER a censuré le texte que que j'avais posté sur son blog ce jour en même temps que sur Marianne2

    [ Voir page 2: 58.Posté par Crab2 le 13/02/2010 05:22: AMALGAM ]

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    Pour la paraphraser; '' sans doute était-elle prédisposer à la censure '' (1)

    No comment, mieux vaut en rire

    (1) Sa phrase: '' Je suis aussi indisposée par les ayatollahs...'' dans son texte...

    I

    CHEMIN de TRAVERSE

    17 02 2010

    Le conflit, la femme et la mère

    Sur ce que j'ai pu lire sur une bonne quinzaine de sites ou de forums...non seulement les intervenants [ h-f ], n'ont pas lu son livre, se réfèrent à des articles de seconde main...et je note surtout une fois de plus, font chorus ses habituels pourceaux d'Épicure qui forcément font '' Fausse route '' et se compte parmi les plus virulents

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    Malhonnêteté intellectuelle

    Quand '' on '' voit des responsables politiques donner '' son opinion '' comme Cécile Duflot, sans avoir lu son livre, qui réagit sur une tête de chapitre [ la maternité '' écolo '' ] - [ suivi des couches culottes ] il ne faut pas s'étonner que nombre de quidams en fasse de même...alors que le fond de son essai c'est de mettre en relief tout ce qui participe à faire régresser la condition de la femme dans notre pays [ la crise aidant ]

    -

    Mais c'est oublier que la thématique de son propos est constitué d'une chaîne de plusieurs livres dont un des plus important et le plus dérangeant comme '' Fausse route '' ou elle prend à contre-pieds justement même des mouvements ou personnalités féministes '' bien installés ''

    -

    Page 121: citation; '' Prôner l'allaitement à la demande aussi longtemps que l'enfant le désire revient tout simplement à priver la femme de son temps à elle

    -

    Quand on ajoute à cela ''...[ ici lire la suite de ce chapitre '' Du lait au temps '' ] et discuter après...

    -

    Page 145; citation: '' Bien que les résistances des hommes au modèle égalitaires soient indiscutables, elles ne sont pas suffisantes pour expliquer l'état de fait. Les devoirs grandissants à l'égard du bébé et du petit enfant se révèle aussi contraignants, sinon plus, que la....''

    Lire la suite...

    I

    Un de mes lecteurs m'écrit ; '' Sauf erreur de ma part le seul à parler du livre c'est vous Crab. Les autres commentaires portent sur le contenus de l'article et les interviews qu'E.Badinter a donné. Sans doute avez vous lu le livre, mais si vous l'avez lu avec autant d'attention que vous lisez les réponses qui vous ont été faites, vous n'avez pas du en saisir grand chose sur le fond '' Fin de ses amabilités

    -

    Cher ami

    Je me contrefiche de vos considérations qui n'ont pas d'autre objet de masquer que vous n'avez pas lu son livre

    Dans mes post antérieurs sur ce forum [ comme sur d'autres forums ou sur mes blogs ] j'ai largement développé qu'il n'y a pas de contradiction entre les déclarations de madame Élisabeth BADINTER dans les médias et le foncier de l'analyse contenu dans son essai

    Ce sont les gens comme vous [ genre Cécile Duflot et autres quidams ] qui se permettent de dénigrer un auteur-e- sans l'avoir lu qui plus sûrement polluent notre société.

    Ce n'est pas le climat dans cent ans qui fait l'objet de mon attention, mais toutes les croyances ou idées reçues, Les inepties rabâchées quotidiennement par des prophètes plus faux les uns que les autres [ et de tous temps ], les particules que l'on respire dans l'air des villes, l'eau [ son traitement ] l'acidification des océans, les indispensables économies d'énergies à encourager, prioritairement les 22 millions de chômeurs en Europe [ 4 millions pour la seule France, dont sont majoritairement victime les femmes ], qu'un enfant toute les six secondes meure de faim en quelques endroits de la planète

    Croire à ses fausses sciences c'est comme croire dans une religion [ la fonction de toute eschatologie (1) de faire culpabiliser ] ....passer son temps à croire à la fin du monde où à prier c'est se déresponsabiliser

     

    C'est un comportement anti-citoyen, aussi stupide que de faire de l'allaitement (2) un dogme fondé sur une pseudo science de la santé, sorte de dénaturation du naturalisme, alors que les laits maternisé sont depuis longtemps de plus en plus fins et leur usage non seulement n'a jamais empêchés les femmes [ et parfois avec la participation au biberon de quelques hommes ] de construire de beaux enfants...de voir la durée de la vie dans nos sociétés développées augmenter pour tous d'environ deux mois chaque année.

    -

    (1) L'eschatologie et les fausses sciences se recoupent quand à propos du Sida comme savent le dire les fondamentalistes de toutes les religions, c'est pour punir les humains [ eux disent les Hommes ] d'aimer faire l'amour

    (1) Lire le livre...

    I

    Inter-mezzo

    Je peux résumer '' la contestation '' de son livre ainsi, une fois n'est coutume en m'en tenant '' à mes impressions '':

    -

    Celles d'entendre le monologue d'un vieux film en noir et blanc datant des années 1945 à 50 ...où madame pipelette [ dans le rôle de la concierge ] donne [ dans l'escalier ] '' son point de vue '' sur madame Élisabeth BADINTER.

    -

    '' Vous rendez-vous compte madame Lelonbec - la Badinter ne sait même pas faire un soufflé au fromage ''

    -

    '' Ôoe__madame Pipelette__ mais comment est-ce possible ? ''

    -

    '' Vous savez de nos jours les femmes ont de drôle d'idées, avec mon mari cela ne se passerait comme ça !! ''

    -

    '' Hâa__madame Pipelette__si vous connaissiez mon mari__je vous dis pas ! ''

    [.../...]

    Survient madame Défi, rayonnante, sure d'elle, passe devant-elles - leur adresse un petit sourire – les deux commères s'accordent d'un seul regard - « j'en sais pas, celle-là, ze' la voyons mal »

     

    Sauront-elles un jour, [ qui sait ? ] que la gracieuse Défi revenait de l'Hotel du Sud où elle avait retrouvé monsieur Lelonbec...

    A suivre...

    L'homme - la femme et le string

    .

    LE STRING - SINON RIEN

    -

    Réponse aux ennemis du string

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    Discrimination

    Sur les forums ou les blogs se déchaînent les ennemis (1) du string, bien qu'il n'y ait aucun rapport avec l'objet même du livre « Le conflit, la femme et la mère »

    (1) Sans avoir lu le livre..

    -

    Pourquoi?

    Vérification faites, il est avéré que se sont essentiellement, formant le gros de la troupe, les '' éternels '' pudibonds, des extrémistes religieux, des frustrés...

    -

    Le string

    Plus sérieusement le string...c'est presque nu ou nue porté magnifiquement par des hommes ou des femme, donc difficile à accepter pour ces complexés...

    -

    Le nu

    Le nu, c'est l'être humain dans sa plus belle robe, l'artiste le peintre ou le sculpteur [entre autres] ont fait des jeunes ou vieilles personnes [nues] des chefs d'œuvres

     

    La danse expression du souffle intérieur du corps voit des chorégraphie interprétées par des acteurs presque ou parfois entièrement nus.

    -

    La haine

    Nos pudibonds ne manquent jamais de sortir du bois, détestent Élisabeth BADINTER, parce que c'est une femme autonome, libre, indépendante financièrement...

    Élisabeth_Badinter, Féminisme, allaitement_maternel, Droits_des_femmes, la_famille, Le_conflit_la_femme_et_la_mère

     

    Lily13 m'écrit; '' je porte le string... j'aurais horreur à le faire sortir de mon pantalon et danser le raggaeton devant les messieurs que je croise dans le métro ( tout en conservant bien sûr un air parfaitement naturel et innocent...''

    Fin d'une remarque, la démonstration magistrale que la meilleure façon de porter le string c'est de l'appareiller façon lily13

    lily13, comme les autres intervenants '' anti-Badinter '', à travers l'exemple choisi ''pas si innocent que cela'' affecte d'oublier que des hommes eux aussi portent le string...

    Chercher l'erreur...ou l'idéologie cachée...

    Élisabeth_Badinter, Féminisme, allaitement_maternel, Droits_des_femmes, la_famille, Le_conflit_la_femme_et_la_mère

     

    Les effets de l'instrumentalisation

    -

    L'allaitement [instrumentalisé] est devenu dans de nombreux pays le moyen de faire rentrer les femmes à la maison

    C'est ce qui explique la résistance des femmes - parmi les plus qualifiées d'entre les femmes soucieuses de leur indépendance financière font le choix de ne pas enfanter

    -

    En outre ce qui ressort des propos de ceux-celles- qui traitent de corbeaux celles qui fond le choix de ne pas procréer, oublient curieusement l'essentiel, que dans le cas de la femme confinée dans la maison c'est l'homme qui tient dans son bec le fromage

    -

    Par ailleurs ces procréatrices '' folles d'enfants '' pour beaucoup d'entre elles, quand elles accusent les femmes qui veulent être mère et mener à bien une carrière sont de mauvaise foi

    -

    Pourquoi ?

    Systématiquement l'homme est écarté de l'enfant, les phallocrates n'en demandait pas temps pour se réjouir d'un éventuel effondrement* [ *mais peu probable en France ] du féminisme prônant l'égalité hommes-femmes

    -

    L'enfant [ garçon-fille ] voit sa mère travailler à la maison mais pas son père, et reproduira adulte à la maison à son tour la passivité de lui opposé à l'activité de elle

    -

    Hypocrisie ou inconscience ?

    La question peut-être posée aux ''fous d'enfants'', n'est-ce pas plus égoïste de leur part de vouloir procréer dans ce monde où la haine domine largement-où la vie est impossible pour la plupart et la survie majoritairement menacée sur la majeure partie du globe?

    -

    Ne serait-il pas plus intelligent, de faire preuve d'amour des enfants, de parrainer ou d'adopter des orphelins ?

    CRAB – 13.02.2010

    I

    Ci-dessous - la couverture de son livre - [ de l'éditeur ]

     

    Élisabeth_Badinter, Féminisme, allaitement_maternel, Droits_des_femmes, la_famille, Le_conflit_la_femme_et_la_mère

     

    Ci-joint – un article de presse

    Entretien avec Elisabeth Badinter

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    par famili

    Enfant ou carrière, de plus en plus, on nous oblige à choisir… Elisabeth Badinter repart au combat et déchaîne les passions.

    -

    Trente ans après la publication de L'amour en plus (Flammarion), dans lequel elle contestait la notion d'instinct maternel, Elisabeth Badinter provoque un nouveau débat passionné avec la sortie de son livre : Le conflit, la femme et la mère (lire notre article "Le modèle de la mère critiqué"). Elle y dénonce le retour en force d'une idéologie « naturaliste » qui renvoie les femmes au foyer et constitue un danger pour leur émancipation. Comment en sommes-nous arrivés là ? Retour sur quarante années de lutte de femmes et rencontre avec une féministe de la première heure.

    -

    A la fin des années 1970, les femmes veulent tout : des enfants et une carrière. Qu'est-ce qui leur donne des ailes ?

    C'est une époque de féminisme conquérant. A l'image de Simone de Beauvoir, les femmes se revendiquent libres et entendent décider de leur vie. La contraception les y aide : maintenant, elles peuvent avoir des enfants quand elles veulent, si elles veulent. Mais c'est aussi une période économique faste. Quiconque cherche du travail en -trouve.

    -

    Elles pensent alors parvenir à tout mener de front en partageant les tâches familiales avec leur compagnon. Se trompent-elles ?

    Oui et non. Il y a bien un début de prise de conscience de la part des hommes sur l'injustice du partage des tâches dans le couple. Mais voilà : on ne change pas des mentalités installées depuis des millénaires en dix ans. Et surtout, arrive la crise économique des années 1990. ...

    ... Dans un contexte de chômage grandissant, la vie se fait très dure pour les femmes à l'intérieur des entreprises : absence de reconnaissance de leurs compétences, salaires toujours plus bas que ceux des hommes... Et lorsque le gouvernement met en place l'APE (une allocation égale à un demi-smic pour rentrer à la maison), celles qui occupaient les postes les moins gratifiants commencent à se dire : « A quoi bon me battre pour un emploi mal payé que je peux perdre du jour au lendemain ? Je vais faire de mon enfant mon chef-d'œuvre, ce sera mon épanouissement personnel. »

    -

    La crise économique de 1990 a donc pour effet de renvoyer déjà les femmes à la maison ?

    Oui, mais pas seulement elle. Partout en Europe, une idéologie que je qualifierai de « naturaliste » commence à se répandre de façon souterraine. Cette idéologie remet à l'honneur la notion d'instinct maternel et encourage les pratiques écologiques. Cela se traduit en particulier par une incitation très forte à allaiter, avec l'idée qu'une femme « doit » son lait à son enfant. Si elle ne le nourrit pas, elle compromet son équilibre psychologique et son développement. L'allaitement n'est plus un choix, ça devient un diktat.

    -

    Cela va de pair avec une réassignation de la femme à la maison : quand on allaite à la demande pendant deux ans, comme le recommande l'OMS, on est à la disposition de son bébé. Difficile de reprendre le travail ! Pour ...

    ... peu qu'on ait deux enfants, on passe quatre ou cinq ans au foyer.

    -

    Et celles qui font le choix de travailler alors, ce sont de mauvaises mères ?

    C'est ce que sous-entend cette morale, d'autant plus dangereuse qu'elle se fonde sur le bien-être de l'enfant. Le message est clair : « Si vous ne revenez pas aux fondamentaux de la nature, ce sont vos enfants qui vont en faire les frais. » On fait croire aux femmes qu'elles doivent tout à leur enfant. Non seulement leur lait, mais aussi leur temps et leur énergie. On leur conseille de passer les trois premières années à la maison, on les incite à reprendre à temps partiel. Mais le discours « maternaliste » ne prend pas en compte deux choses très importantes. Un : quand on arrête de travailler pendant plusieurs années, le retour au travail est très difficile. Deux : actuellement, un couple sur deux ou trois se sépare. Une femme doit avoir les moyens de survivre et de faire survivre son enfant. C'est aussi une question de liberté, ça lui épargne d'être aliénée à un homme.

    -

    Vous dénoncez une véritable régression. Pourquoi ?

    Aujourd'hui, priorité est donnée à l'enfant sur la femme. C'est « l'enfant d'abord ». On est loin du « moi d'abord » des années 1970 ! Mais à trop charger la barque des devoirs maternels, on ne laisse plus aux femmes qui veulent continuer à mener leur vie qu'une seule option : tourner le dos à la maternité. Beaucoup ...

    ... d'Européennes ont fait ce choix. On voit apparaître un nouveau style de femmes qui disent : « Je ne me sens pas capable de donner à mon enfant tout ce qu'on me demande de lui donner, alors je choisis un autre style de vie, je privilégie ma vie personnelle et professionnelle. »

    -

    En France, quel est l'impact de ces injonctions maternalistes ?

    Chez nous, le discours culpabilisant ne passe pas si bien que ça. Les Françaises restent les plus actives d'Europe. Et les plus nombreuses à reprendre un poste à temps plein avec un enfant.

    -

    Quels messages avez-vous envie de faire passer aux femmes ?

    Je voudrais leur dire de résister à la culpabilisation qui entoure les mères. Pour être la mère la plus adéquate possible, il faut trouver la bonne distance entre les besoins de son enfant et ses désirs propres. Si on n'a pas envie d'allaiter, on allaitera mal. Mieux vaut donner le biberon, ce n'est pas un poison ! Je les supplie aussi de ne pas décrocher du monde professionnel. Y garder ne serait-ce qu'un pied, c'est mieux que de rentrer à la maison. Même si, avec la nouvelle crise économique que nous traversons, la vie en entreprise est extrêmement rude, même si travailler n'assure plus l'indépendance financière, c'est une façon de rester insérée dans la société et d'échapper à la solitude.

    -

    On vous a accusée de vouloir détourner les femmes de la maternité...

    Je ne suis ni anti-allaitement, ni contre les femmes au foyer. J'affirme simplement qu'on ne peut pas réduire les femmes à un seul bloc. Elles ont des désirs différents, et tous ces désirs sont respectables. Si j'ai pris la plume, c'est parce que les femmes qui subissent le plus de pression aujourd'hui sont celles qui refusent de se conformer au modèle de la mère parfaite et qu'elles n'ont pas forcément les moyens de se défendre. Ce n'est pas pour critiquer celles qui ont envie de rester à la maison... Chacune doit pouvoir rester libre de ses choix. Fin de l'extrait

    I

    Autre extrait:

    Une interviewe par Anne Crignon et Sophie des Désert

    Publication du Nouvel Observateur

    -

    1. O. - Ne pensez-vous pas que, si le féminisme de Beauvoir a si peu d'écho aujourd'hui, c'est qu'elle a exclu la maternité de sa réflexion et de sa vie ?

    -

    1. Badinter. - Beauvoir a sous-estimé la question maternelle. Une fois, je lui ai demandé : « N'avez-vous même jamais rêvé d'être enceinte ?» Elle m'a répondu non. J'y ai à moitié cru. Je pense que l'expérience de la maternité est une telle aventure qu'on peut en rêver, même quand on ne veut pas d'enfant.

    -

    1. O. - C'est l'instinct de reproduction.

    -

    1. Badinter. - Non, arrêtez avec ça !

    -

    1. O. - Vous continuez à penser, après Beauvoir, que la mère est une figure sociale construite ?

    -

    1. Badinter. - Oui. Par exemple, je crois qu'on a tellement considéré la maternité comme un fait de nature qu'on s'interdit de réfléchir aux maternités éprouvantes ou ratées. Si on était naturellement déterminées à être mères, on serait toutes des Mozart de la maternité. Or il y a un nombre incroyable d'enfants abandonnés à eux-mêmes, sans même parler des violences. Je suis reconnaissante aux femmes qui, avant d'enfanter, se demandent : « Serai-je capable d'assumer ?»

    -

    1. O. - Vous écrivez que « le bébé est le meilleur allié de la domination masculine »...

    -

    1. Badinter. - La formule est provocatrice à dessein. Dans les années 1970, il y avait une tentative de faire pression sur les pères pour tout partager. On a été assez offensives sur ce thème. Puis ce discours a disparu. Si on considère que c'est dans l'allaitement, dans la fusion mère-enfant que se développe au mieux l'enfant, on justifie d'avance, d'une certaine manière, que les pères s'éloignent. Fin de l'extrait

    I

    L'instinct maternel – la famille -

    -

    Avant même de parler de faire des enfants et d'en laisser supporter tout le poids de l'éducation aux femmes, sous une profusions d'alibis comme notamment le plus important d'entre-eux, le ''mythe de l'instinct maternel'' – mythe qui sous entend un inexistant ''instinct paternel''

    -

    Il y aura toujours des esclaves pour nier la dépendance – et pour certaines de le payer très cher quand après une séparation de se retrouver en difficulté [dans] - comment dit-on déjà? ''En famille monoparentale''

    -

    Il serait bien de ne pas oublier que rien ne protège mieux la femme que son indépendance financière

    -

    Un vrai problème - réfléchir sur le bien fondé de la famille et de la notion qui lui est afférente la filiation biologique – car le sujet c'est aussi celui du devenir des enfants

    -

    Certains – j'en ai l'habitude me diront «vous voulez détruire la famille»...

    La famille est une construction de religieux (1) – un archaïsme qui vole en éclat chaque fois que des femmes et des hommes se reconnaissent dans des valeurs positives où la hiérarchie est fondée sur le mérite et non pas sur valeurs négatives guerrière masculine où l'homme est présupposé supérieur à la femme

    -

    Ce que l'on appelle les familles élargies quand les adultes qui la composent se débarrassent de leur égocentrisme sont plus susceptible de proposer un mode de vie harmonieux et paisible pour les femmes et les hommes et de construire une meilleure éducation des enfants -

    -

    (1) - Toutes les religions duelle prônent la suprématie de l'homme sur la femme -

    Quelques exemples dans la foule des inepties que contiennent les textes masculins des religions où « dieu » n'a pas de sexe mais un genre masculin

    Paul - Epître aux Corinthiens I- 11,3 - "L'homme est le chef de la femme" -
    Augustin - La Cité de Dieu XIX - "Ceux qui prennent soin des autres commandent, comme le mari à l'épouse..." idem dans l'islam – les religions duelle [donc dont les monothéistes s'adressent à l'homme et non pas à la femme]

    "Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son esclave, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui lui appartienne."

    "Il y avait environ cinq mille hommes, sans compter les femmes et les enfants." (Matthieu 14:21).

    -

    "Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ." (1ère épître aux Corinthiens 11:3).

    Dans le coran - "Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises." (4/38) – Ect...Ect... - CRAB - 13.02.2010

    I

    Le_Conflit_la_femme_et_la_mère - 2 vidéos

     

    L'involution

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    Vidéos 1

    Elisabeth_Badinter_Le_Conflit__la_femme_et_la_mère-

    http://blvids.free.fr/Elisabeth_Badinter_la_femme_et_la_m%c3%a8re-3.flv

    -

    Vidéo 2 – suite -

    Elisabeth_Badinter_Le_Conflit__la_femme_et_la_mère-

    http://blvids.free.fr/Elisabeth_Badinter_Le_Conflit__la_femme_et_la_m%c3%a8re-4.flv

     

    -

     

    En suivant lire - à propos de deux films - CHAOS et DÉCHAÎNÉES

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/chaos-de-coline-se...

     

     

     

     

     

     

  • Qui a peur du sexe ?

    Égalité_femmes-hommes, féminisme, liberté_d’expression, censure, France, islam, musulmans, Sexualités, sexuel, libertines_libertins, abattage_rituel

    Magritte

    I

    Dans l’antiquité, il fut, selon Pline l’ancien, le précurseur de l'insertion de la lumière et l'ombre révolutionnant ainsi la peinture grecque, Apollodore d'Athènes est un peintre athénien ( Ve siècle avant notre ère ) surnommé « le peintre d’ombre » dont Magritte appréciait son goût du mystère - ce goût du mystère, contre les idéaux des principaux penseurs surréalistes qui estimaient que de ne pas associer l’image aux mots ne faisait pas sens, Magritte en toute indépendance élabore l’essentiel d’une production picturale dont chacun de ses tableaux est le révélateur de sa volonté sans faille de détecter, de pénétrer, de signifier exclusivement par l’image le mystère de la pensée – peindre le mystère fut dans la vie d’artiste de Magritte sa raison de vivre

    I

    En France la beauté n’est pas un risque - attendu que dans notre pays, la pensée est la seule lumière

    I

    Dans notre pays, un mari ne décide pas à la place de sa femme, et en France la beauté n’est pas un risque, en islam si - car le monde musulman hait, à peur de la belle femme*1 qui sait s’habiller parce que cette « sorcière ou ensorceleuse » se sait séduisante d’autant plus qu’envers et contre tout éprise de liberté, sans pour autant se prendre au sérieux - sure d’elle, elle aime en tout et pour tout faire ce qu’elle veut quand elle veut

    ( *1 : on sait aussi que l’islam a peur des beaux hommes – récemment l’Iran a refoulé un homme européen à sa frontière, jugé trop beau, donc dangereux...

    Dans une société qui croit à l’émancipation féminine, devons-nous normaliser, dès l’enfance, ce signe plus que très problématique qu’est le voile islamique ?

    Si les enseignantes et les éducatrices en garderie devaient porter le voile ne serait-ce pas inquiétant ?

    Effet nocebo, ces personnes incarnent une autorité symbolique immense : devant les enfants, elles représentent la société et si tel était le cas, le relativisme, ici, justifie la soumission féminine )

    I

    Autrefois les chrétiens excellaient dans cette idée saugrenue de séparer le corps d’une personne de son entendement, c’est dire le désir généré par l’attirance sexuelle, le choix, l’idée, l’esprit, etc., qui du moins ne sont que les effets d’un processus physiologique, neuronal et nerveux, c'est-à-dire exclusivement lié à la chair et au cerveau - mais dans notre époque contemporaine à l’exception d’une minorité résiduelle de catholiques ou autres judéo-chrétiens de pailles, c’est à présent l’islam exporté dans notre pays - pays des libertés individuelles qui, dans notre société, ne veut pas et entend bannir le sexuel ;

    cependant s’observe qu’il en est ainsi un peu partout dans le monde où la religion musulmane entend interdire dans chaque pays le sexuel, interdit la sexualité, sauf pour les hommes en autorisant la polygamie, et de s’acharner à cacher les femmes par crainte du pouvoir de séduction qu’exercent les plus belles d’entre-les femmes, et pour ce faire soumet et humilie toutes les jeunes femmes en leur imposant de rester vierges jusqu’au mariage ( le plus souvent forcé ) - allant jusqu’à mécaniquement les obliger ou en cas de doute à passer un teste de virginité, dans d’autres cas ainsi qu’en Égypte et dans certains pays africains de les priver de la possibilité de jouir de leur sexe par la mutilation génitale ( l’excision )

    I

    Invention des théoriciens islamistes, cette idéologisation, cette instrumentalisation sans précédant du corps de la femme comptant parmi les plus sexistes, inégalitaire, discriminante et inhumaine ( un homme vaut deux femmes et a le droit de battre sa femme dans le coran - c’est dit-on la parole du dieu musulman [?] - ), n’a pas sa place dans notre société où voluptueusement le plaisir est la racine de la morale, de même que le droit de ne pas savoir, de ne pas croire au surnaturel est le reflet de la joie intense procurée par la recherche et l’enthousiasmante satisfaction de la découverte - in fine, si l’on peut rire, se gausser sans modération ( c’est bon pour la santé ) de l’explication des origines de l’univers et de la vie rapportées par les autres religions, il n’en va pas de même avec l’islam ;

    dénué de spiritualité l’islam n’est pas une religion, mais une idéologie purement politique et sociétale qui n’a pas sa place dans aucune des sociétés réellement démocratiques et citoyennes où la recherche de l’éthique prime sur l’irrationnel, sur l’obscurantisme, sur l’exhibitionnisme identitaire dans l’espace public ou encore sur l’ensemble des préjugés ou inepties très genrées que vient ou tente de sacraliser cette fausse religion - CRAB - 23 Octobre 2016

    I

    Révolution sexuelle : vidéo

    http://crab.painter.free.fr/videos/Revolution_sexuelle.mp4

    I

    Libertines - Libertins

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/09/02/libertines-libertins-5842958.html

    I

    Réaliser un féminisme libertin

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/03/18/realiser-un-feminisme-libertin-5775975.html

    I

    Qui sont les femmes ?

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/01/24/qui-sont-les-femmes-5749595.html

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    Casanova

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/10/casanova.html

     

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    Casanova – Suites :

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2015/10/23/casanova-5704641.html

     

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    L'Éros féminin...

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2009/03/13/l-infemme.html

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    Carmen

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2009/12/08/carmen.html

     

  • La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain

    féminisme, François_Hollande, immigration, islam_politique, religions, voiles_islamiques, laïcité

    Extraits de " Un président ne devrait pas dire ça "

    « La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain.» - « D'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions pour son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal.»

    « Finalement, poursuit François Hollande, quel est le pari que l'on fait ? C'est que cette femme préférera la liberté à l'asservissement.»

    « Que le voile peut être pour elle une protection, mais que demain elle n'en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société », note encore le président de la République. Fin des extraits

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    Ces affirmations le cul entre deux chaises ne caractérisent pas seulement la « vision républicaine » de la femme émanant d’un Président issu des gauches dont un voile viendrait brouiller l’esprit, mais correspond aussi à une large fraction de ces gauches favorables à l’immigration refusant de regarder de plus près qui l’on doit accueillir ;

    ces gauches vivent dans l’illusion du pouvoir ou de la prise du pouvoir, minées par un clientélisme forcené, depuis environ une trentaine d’années, font le jeu des fanatiques ou radicaux musulmans qui n’en demandaient pas tant ;

    en conséquence, ces gauches participent à installer le communautarisme contre " les Droits de la femme et de la citoyenne " car d’un coté Hollande ne peut pas dire la gauche aurait pu être la plus critique. « Je pense qu'il y a trop d'arrivées, d'immigration qui ne devrait pas être là » et d’autre part ne pas faire le geste politique d’interdiction de tous les voiles islamiques sur l’ensemble de nos territoires ;

    en effet ce qui compte n’est pas tant ce que la femme voilée a dans la tête ( au dire de certains ), mais ce quelle représente et de mesurer que, depuis plusieurs décennies, le « port volontaire » des voiles islamiques a eu pour fonction première d’impacter les enfants dès leur plus jeunes âges, afin que ces marqueurs de l’inégalité entre femmes, entre femmes et hommes leur paraissent plus tard naturels ;

    c’est ainsi que l’islam politique espère faire oublier que les voiles sont les symboles moyenâgeux à la fois d’une discrimination sexuelle, d’autre part, au nom d’une fausse pudeur, il s’agit de essentialiser les hommes car le but recherché in fine est de séparer les femmes et les hommes dans l’entier espace public – c’est ce que l’observateur ou le lanceur d’alertes appellera l’islamisation de la société – Crab 14 Octobre 2016

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    Suite 1 : Féminisme universel

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/06/feminisme-universel-2015.html

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    Suites 2 : Salomé

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2014/08/31/salome-5437551.html

     

  • La Traviata - le Parfum de l’Art

    Vivre est un art,

    vivre n’est pas exister, vivre, c’est être, vivre est la chose la chose la plus rare au monde, vivre est suivre les sentiers des plaisirs parce que le plaisir est la racine de la morale car il est vain d’espérer de la mort puisque la mort est absence de sensation

    La spiritualité est la vie de la conscience,

    en ce sens les religions monothéistes n’en n’ont jamais-eu le monopole car sans prendre part, pour le bien et dans le Droit commun à la recherche de l’éthique elles n’ont jamais-eu d’autre objectif - c’est leur genre - que de tuer le sexuel pour, contre la nature des choses, idéaliser et installer des sociétés exclusivement hyper hétérosexualités ;

    loin des préoccupations métaphysiques de ceux ou de celles qui consacrent, sacralisent la défaite du corps et s’enrobent, se barbouillent de la foi pour exister, nul besoin de se prendre au sérieux, seul compte jouir sans se nuire ni nuire à autrui, nul besoin de renier son passé, nul besoin de se repentir, le repentir n’est qu’une idée de bigots comptant parmi les plus nuisibles à l’entendement humain car la seule chose qui compte est de ne pas se mentir ;

    le repentir est prélude à l’injonction-interdiction de jouir de la vie, sanctifie à travers l’énoncé religieux le devoir de renoncer à la volupté dans notre bien trop courte existence : les moments savourés de bonheurs, les moments heureux d’impression extrêmement agréable donnée au sens que l’on se plaît à goûter en parfaite plénitude ;

    en réalité, interdire ou s’interdire le plaisir, refouler, salir le désir par les mots, les discours d’un obscurantisme forcené ainsi que Savonarole qui, en pratique le fit si bien, en imposant, pendant plusieurs années à la société florentine, mu par la violence du fanatique sa vision aseptisée de la soumission au surnaturel ;

    inévitablement, à un moment ou à un autre l’ennui surgit et le couple naturellement s’étiole, mais de la séparation, du respect réciproque, naît ou se substitue à la passion une tendre amitié ;

    hors, de nos jours, ce dieu plus grand que grand persiste, tricheur n’a de cesse de sublimer la fidélité conjugale quand vêtu de son costume civil il œuvre, sans relâche, pour satisfaire, pérenniser la reproduction de l’espèce, ( si chère à ses nov-prêtres prédicateurs-prescripteurs, je veux parler de « nos pin-pans économistes pro-européens » ), avec à la clé la promesse d’une croissance démographique non sans effets « positifs » sur une croissance économique peu créatrice d’emploi car en réalité une croissance économique qui dépend essentiellement de la peu réjouissante robotisation de l’activité de production ;

    un dieu de désamours qui compte pour deux, un peu comme un homme compte pour deux femmes dans le coran - un dieu schizophrène, obstiné dans cette prétention contre nature d’encrer pour toute morale cette idée déstructurante, nuisible, toxique de s’approprier le corps de l’autre ou d’exiger de l’autre la fidélité conjugale pour fabriquer ce couple sclérosé, rigide jusqu’à la frigidité, névrosé pour définir Le « modèle universel » fondé essentiellement sur le déni, le rejet de l’attirance sexuelle et ainsi de le situer dans le temps et l’espace aux antipodes des amours aimables et naturels, le sel de la vie

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    Il mérite le mépris celui qui ose, même dans la colère, insulter une femme

    En d’autres temps, il s’agissait de perpétuer la propriété, les biens, les rentes transmises de mâle en mâle dans un monde où le mariage arrangé avait force loi ;

    venue de « nul part » La Traviata touchée, affectée, percée au plus profond d’elle, culpabilisée, finalement manipulée par le père de son nouvel aimant, peut-être le dernier de ses amours, pour elle le premier, qu’importe la durée des amours, renonce à sa passion, à la joie, au plaisir de s’abandonner à son désir à vivre peut-être le dernier moment de sa vie de grande amoureuse, au moment ou la maladie inexorablement la rapproche de la mort, désemparée, renonçant à un meilleur destin, à une meilleure fin, pour sauver « l’honneur » de l’étriquée, la mondaine et presque vulgaire famille d’Alfredo, elle se sacrifie sur l’autel des doctrines d’un milieu qui n’aura été le sien que l’espace d’un instant – une famille enpatriarquée jusqu’au bout des ongles ( comme il en existe encore ), enfin de s’effacer pour une cause qui n’est pas la sienne, et ce, quand bien même, grand musicien parmi les plus grands, mais aussi « bon apôtre » Verdi terminera la fin de son dernier acte sur une note, à mon goût, un peu trop chrétienne quand, devant le père et le fils bourrés de remords - du moins me semble t-il , Violetta persiste à se flageller, mais combien, ô combien admirablement chanté par l’incroyable soprano Francesca Dotto magnifiquement entourée de chanteurs et de chanteuses lyriques de grands talents dans une sublime mise en scène de Sofia Coppola dont les remarquables costumes, véritables œuvres d’art, ont été créés avec la maison Valentino

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    Quand sur le dernier acte se referme le rideau, un long moment je m’en veux, oui je m’en veux beaucoup car je ne pas trouve les mots pour exprimer, pour dire combien j’ai tellement aimé, tellement aimé, tellement aimé cette version de la Traviata – Merci, merci, mille fois merciClaude Bouvard dit Crab - 03 Octobre 2016

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    Vidéo : Présentation, l’Odeur de la Sueur n’est pas le Parfum de l’Art

    http://blvids.free.fr/La_Traviata.mp4

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    Suites :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/07/mozart-lenlevement-au-serail.html

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    Suite 2 :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/la-reine-de-la-nuit.html

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    Suite 3 : Genre - une théorie ?

    François, pape des pauvres d’esprits a encore frappé, c’est son genre

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/02/genre-une-theorie.html

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    Rappel : La Traviata diffusée sur Arte samedi dernier - France 2 avait quelques temps auparavant diffusé cet opéra de Verdi

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    Notes :

    Au printemps 2016, la cinéaste Sofia Coppola dévoilait sa première mise en scène lyrique à l’Opéra de Rome : une Traviata sur son trente et un, avec des costumes conçus par la maison de couture Valentino.
    En digne héritière de son père, Francis Ford Coppola, dont la filmographie est infusée d’art lyrique, la réalisatrice de
    Lost in translation et Marie Antoinette connaît l’opéra. Si, par le passé, elle a décliné la mise en scène de Così fan tutte, c'est Verdi qui a convaincu Sofia Coppola de fouler pour la première fois le plateau du Teatro dell’Opera di Roma. Son attrait pour les personnages féminins égarés a certainement joué, autant que la perspective de travailler avec la maison Valentino. Alors que ses successeurs, Maria Grazia Chiuri et Pierpaolo Piccioli, ont habillé les rôles secondaires, Valentino Garavani a repris du service et dessiné quatre robes haute couture, tout en étoffes éclatantes et crinolines éblouissantes, épousant les variations psychologiques de la malheureuse héroïne de Verdi. - Source arte

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    Diffusé sur arte :

    " La Traviata " par Sofia Coppola & Valentino

    Avec :

    Francesca Dotto - Violetta Valéry

    Antonio Poli - Alfredo Germont

    Roberto Frontali - Giorgio Germont

    Anna Malavasi - Flora

    Andrea Giovannini - Gastone

    Roberto Accurso - Il Barone Douphol

    Andrea Porta - Il Marchese D'Obigny

    Graziano Dalla Valle - Il Dottor Grenvil

    Chiara Pieretti - Annina

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    Direction musicale : Jader Bignamini

    Costumes : Valentino Garavani

    Choeur : Coro del Teatro dell'Opera di Roma

    Chorégraphie : Stéphane Phavorin

    Composition : Giuseppe Verdi

    Décors : Nathan Crowley

    Lumière : Vinicio Cheli

    Mise en scène : Sofia Coppola

    Orchestre : Orchestra del Teatro dell'Opera di Roma

    Réalisation TV : Francesca Nesler