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opéras

  • Les Fantômes de l’Opéra

    La cérémonie d'enfouissement de 1907.png

    La cérémonie d'enfouissement de 1907




    La condition de ce don était de n’ouvrir les urnes que cent ans plus tard, soit en 2007

     

    Opéra Garnier
    On visite ses ors, on admire le plafond de Chagall mais sous l’opéra on peut encore entendre la voix de fantômes célèbres. Arte
    Vidéo :
    http://blvids.free.fr/Les_fantomes_de_l_Opera.mp4

    Suites :
    1.
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=Op%C3%A9ras
    2.
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=Mozart

  • Mozart éternel

    Au-delà du Répertoire

    Étranger à toute pétrification du langage, le " Drame-Joyeux " est le marqueur de chacune des œuvres lyriques de Mozart - oui j’aime ses opéras, attendu que, par dessus tout, j’abhorre l’austérité, le définitif ou encore d’être captif d’un sentiment illusoire de liberté qui, parfois, se traduit par un tatouage incrusté pour la « vie » sur la peau de chagrin d’un corps mal défendu

    Magique, envoûtant, inégalable, habilement Mozart réunit la forme et le fond sans que la forme ou le fond prime l’une sur l’autre, c’est l’excellence de son talent, de son art presque indéfinnisable
    Très probablement pour l’éternité, avec la complicité de Da Ponte ou de Casanova, n’oubliant jamais la pulsation il demeure le chantre de la phase d’attirance et de séduction entre deux-êtres, sachant avec entregent, avec la dextérité d’un grand orfèvre ciseler le moment le plus essentiel qui préside à l’amour, aux-ineffables amours

    Vous chères lectrices françaises aimant rire et chanter, depuis des temps à présent lointains, évadées du sérail ainsi que vous chers lecteurs plus près de " La Clémence de Titus " que de la mosquée ou de l’église dépassée par les comportements amoureux, vous mesdames-et messieurs qui avez, depuis toujours, voulu tout savoir sur les femmes, vous ne doutez plus, depuis longtemps déjà, qu’avec Freud c'est peine perdue et qu’il est d'emblée, pour un temps non-négligeable encor, préférable de régler, une fois n’est pas coutume, cette épineuse question avec Mozart et Da Ponte - " tout deux " parfaitement soutenus par leur grand-ami Casanova - comme quoi, c’est pas bien du tout, à l’instar « de nos petites féministes anglo-saxonnes », cosi fan tutte de désespérer de la gent masculine - CRAB

     
    Suites :
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  • Le Mozart citoyen


    « Il savait jouir du plaisir du moment présent ; il évitait la souffrance que l'on rencontre lorsqu'on cherche à jouir des choses qui ne sont pas présentes. » Rappelait Diogène Laërce, dans " Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres, II, 65 ", à propos de la philosophie d’ Aristippe de Cyrène

    La Clémence de Titus
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    La citoyenneté est le passage de la communauté à la société, c’est mettre en commun ce qui nous rassemble, elle a pour nom " Laïcité " ( le droit de ne pas croire ou de croire – entre-autres - ) ;
    la citoyenneté est-une valeur républicaine majeure très nettement au-dessus de la fraternité car par delà les différences qui parfois s’écartent des affinités électives pour sombrer dans l’esprit de secte, de clan ou dans les pires idéaux inégalitaires [ essentiellement, entre femmes et hommes ] qui font les marqueurs du communautarisme

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    L’inégalable Mozart
    Mozart qui a mis en scène la liberté dans '' L’Enlèvement au sérail '', l’égalité dans '' Les Noces de Figaro '', osera traiter avec audace de la fraternité dans '' La Flûte enchantée '', mais-aussi portera haut l’idée de la tolérance, ses dernières réflexion avant sa mort, dans son dernier opéra " La Clémence de Titus " - CRAB
    Vidéo – extrait :
    http://blvids.free.fr/Markus_Hinterhause_et_Mozart.mp4

    I

    Suites : Mozart et Da Ponte - Déroulé d’articles
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=Mozart

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    Suites 2 : Féminisme et opéras -Déroulé d’articles
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=Mozart&updated-max=2016-04-01T08:02:00-07:00&max-results=20&start=7&by-date=false

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    Suite 3 : L’Enlèvement au sérail
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/07/mozart-lenlevement-au-serail.html

  • Qui sont les femmes ?

    Casanova, Da_Ponte, Don_Juan, Ève_Ruggiéri, Féminisme, Mozart, musique, opéras

    Cosi fan tutte

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    Dorabella avoue qu'elle s'est laissé prendre facilement au piège de l'amour mais qu'elle trouve cela délicieux - « E' amore un ladroncello » - Et aimer un peu voleur -

    Cosi fan tutte: opéra de Mozart, livret de Da Ponte, inspiré de l'Arioste, d'Ovide et du moins léger Goethe

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    Travaux pratiques : Qui sont les femmes ?

    Vous qui avez toujours voulu tout savoir sur les femmes , avec Freud, c'est peine perdue - mieux vaut d'emblée régler, une fois pour toutes, cette épineuse question avec Mozart ( 1756 - 1791 ) et Da Ponte ( 1749 – 1838 ) - *1

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    *1 : Mozart, Da Ponte et Casanova racontés par Ève Ruggiéri - Ève, née le ... « on sait pas » -

    http://blvids.free.fr/Mozart_et_da_Ponte.mp3

     

    Donna Anna

    http://crab.painter.free.fr/videos/Donna_Anna.mp3

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    Donna Elvira

    http://crab.painter.free.fr/videos/Donna_Elvira.mpeg

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    Zerlina

    http://crab.painter.free.fr/videos/Zerlina.mp3

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    Suites : '' Si Mozart m'était conté ''

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/si-mozart-metait-conte.html

     

    Déroulé d'articles :

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tag/musique

    Crab 24 Janvier 2016

     

  • La Traviata - le Parfum de l’Art

    Vivre est un art,

    vivre n’est pas exister, vivre, c’est être, vivre est la chose la chose la plus rare au monde, vivre est suivre les sentiers des plaisirs parce que le plaisir est la racine de la morale car il est vain d’espérer de la mort puisque la mort est absence de sensation

    La spiritualité est la vie de la conscience,

    en ce sens les religions monothéistes n’en n’ont jamais-eu le monopole car sans prendre part, pour le bien et dans le Droit commun à la recherche de l’éthique elles n’ont jamais-eu d’autre objectif - c’est leur genre - que de tuer le sexuel pour, contre la nature des choses, idéaliser et installer des sociétés exclusivement hyper hétérosexualités ;

    loin des préoccupations métaphysiques de ceux ou de celles qui consacrent, sacralisent la défaite du corps et s’enrobent, se barbouillent de la foi pour exister, nul besoin de se prendre au sérieux, seul compte jouir sans se nuire ni nuire à autrui, nul besoin de renier son passé, nul besoin de se repentir, le repentir n’est qu’une idée de bigots comptant parmi les plus nuisibles à l’entendement humain car la seule chose qui compte est de ne pas se mentir ;

    le repentir est prélude à l’injonction-interdiction de jouir de la vie, sanctifie à travers l’énoncé religieux le devoir de renoncer à la volupté dans notre bien trop courte existence : les moments savourés de bonheurs, les moments heureux d’impression extrêmement agréable donnée au sens que l’on se plaît à goûter en parfaite plénitude ;

    en réalité, interdire ou s’interdire le plaisir, refouler, salir le désir par les mots, les discours d’un obscurantisme forcené ainsi que Savonarole qui, en pratique le fit si bien, en imposant, pendant plusieurs années à la société florentine, mu par la violence du fanatique sa vision aseptisée de la soumission au surnaturel ;

    inévitablement, à un moment ou à un autre l’ennui surgit et le couple naturellement s’étiole, mais de la séparation, du respect réciproque, naît ou se substitue à la passion une tendre amitié ;

    hors, de nos jours, ce dieu plus grand que grand persiste, tricheur n’a de cesse de sublimer la fidélité conjugale quand vêtu de son costume civil il œuvre, sans relâche, pour satisfaire, pérenniser la reproduction de l’espèce, ( si chère à ses nov-prêtres prédicateurs-prescripteurs, je veux parler de « nos pin-pans économistes pro-européens » ), avec à la clé la promesse d’une croissance démographique non sans effets « positifs » sur une croissance économique peu créatrice d’emploi car en réalité une croissance économique qui dépend essentiellement de la peu réjouissante robotisation de l’activité de production ;

    un dieu de désamours qui compte pour deux, un peu comme un homme compte pour deux femmes dans le coran - un dieu schizophrène, obstiné dans cette prétention contre nature d’encrer pour toute morale cette idée déstructurante, nuisible, toxique de s’approprier le corps de l’autre ou d’exiger de l’autre la fidélité conjugale pour fabriquer ce couple sclérosé, rigide jusqu’à la frigidité, névrosé pour définir Le « modèle universel » fondé essentiellement sur le déni, le rejet de l’attirance sexuelle et ainsi de le situer dans le temps et l’espace aux antipodes des amours aimables et naturels, le sel de la vie

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    Il mérite le mépris celui qui ose, même dans la colère, insulter une femme

    En d’autres temps, il s’agissait de perpétuer la propriété, les biens, les rentes transmises de mâle en mâle dans un monde où le mariage arrangé avait force loi ;

    venue de « nul part » La Traviata touchée, affectée, percée au plus profond d’elle, culpabilisée, finalement manipulée par le père de son nouvel aimant, peut-être le dernier de ses amours, pour elle le premier, qu’importe la durée des amours, renonce à sa passion, à la joie, au plaisir de s’abandonner à son désir à vivre peut-être le dernier moment de sa vie de grande amoureuse, au moment ou la maladie inexorablement la rapproche de la mort, désemparée, renonçant à un meilleur destin, à une meilleure fin, pour sauver « l’honneur » de l’étriquée, la mondaine et presque vulgaire famille d’Alfredo, elle se sacrifie sur l’autel des doctrines d’un milieu qui n’aura été le sien que l’espace d’un instant – une famille enpatriarquée jusqu’au bout des ongles ( comme il en existe encore ), enfin de s’effacer pour une cause qui n’est pas la sienne, et ce, quand bien même, grand musicien parmi les plus grands, mais aussi « bon apôtre » Verdi terminera la fin de son dernier acte sur une note, à mon goût, un peu trop chrétienne quand, devant le père et le fils bourrés de remords - du moins me semble t-il , Violetta persiste à se flageller, mais combien, ô combien admirablement chanté par l’incroyable soprano Francesca Dotto magnifiquement entourée de chanteurs et de chanteuses lyriques de grands talents dans une sublime mise en scène de Sofia Coppola dont les remarquables costumes, véritables œuvres d’art, ont été créés avec la maison Valentino

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    Quand sur le dernier acte se referme le rideau, un long moment je m’en veux, oui je m’en veux beaucoup car je ne pas trouve les mots pour exprimer, pour dire combien j’ai tellement aimé, tellement aimé, tellement aimé cette version de la Traviata – Merci, merci, mille fois merciClaude Bouvard dit Crab - 03 Octobre 2016

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    Vidéo : Présentation, l’Odeur de la Sueur n’est pas le Parfum de l’Art

    http://blvids.free.fr/La_Traviata.mp4

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    Suites :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/07/mozart-lenlevement-au-serail.html

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    Suite 2 :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/la-reine-de-la-nuit.html

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    Suite 3 : Genre - une théorie ?

    François, pape des pauvres d’esprits a encore frappé, c’est son genre

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/02/genre-une-theorie.html

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    Rappel : La Traviata diffusée sur Arte samedi dernier - France 2 avait quelques temps auparavant diffusé cet opéra de Verdi

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    Notes :

    Au printemps 2016, la cinéaste Sofia Coppola dévoilait sa première mise en scène lyrique à l’Opéra de Rome : une Traviata sur son trente et un, avec des costumes conçus par la maison de couture Valentino.
    En digne héritière de son père, Francis Ford Coppola, dont la filmographie est infusée d’art lyrique, la réalisatrice de
    Lost in translation et Marie Antoinette connaît l’opéra. Si, par le passé, elle a décliné la mise en scène de Così fan tutte, c'est Verdi qui a convaincu Sofia Coppola de fouler pour la première fois le plateau du Teatro dell’Opera di Roma. Son attrait pour les personnages féminins égarés a certainement joué, autant que la perspective de travailler avec la maison Valentino. Alors que ses successeurs, Maria Grazia Chiuri et Pierpaolo Piccioli, ont habillé les rôles secondaires, Valentino Garavani a repris du service et dessiné quatre robes haute couture, tout en étoffes éclatantes et crinolines éblouissantes, épousant les variations psychologiques de la malheureuse héroïne de Verdi. - Source arte

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    Diffusé sur arte :

    " La Traviata " par Sofia Coppola & Valentino

    Avec :

    Francesca Dotto - Violetta Valéry

    Antonio Poli - Alfredo Germont

    Roberto Frontali - Giorgio Germont

    Anna Malavasi - Flora

    Andrea Giovannini - Gastone

    Roberto Accurso - Il Barone Douphol

    Andrea Porta - Il Marchese D'Obigny

    Graziano Dalla Valle - Il Dottor Grenvil

    Chiara Pieretti - Annina

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    Direction musicale : Jader Bignamini

    Costumes : Valentino Garavani

    Choeur : Coro del Teatro dell'Opera di Roma

    Chorégraphie : Stéphane Phavorin

    Composition : Giuseppe Verdi

    Décors : Nathan Crowley

    Lumière : Vinicio Cheli

    Mise en scène : Sofia Coppola

    Orchestre : Orchestra del Teatro dell'Opera di Roma

    Réalisation TV : Francesca Nesler