Étranger à toute pétrification du langage, le " Drame-Joyeux " est le marqueur de chacune des œuvres lyriques de Mozart - oui j’aime ses opéras, attendu que, par dessus tout, j’abhorre l’austérité, le définitif ou encore d’être captif d’un sentiment illusoire de liberté qui, parfois, se traduit par un tatouage incrusté pour la « vie » sur la peau de chagrin d’un corps mal défendu
Vous chères lectrices françaises aimant rire et chanter, depuis des temps à présent lointains, évadées du sérail ainsi que vous chers lecteurs plus près de " La Clémence de Titus " que de la mosquée ou de l’église dépassée par les comportements amoureux, vous mesdames-et messieurs qui avez, depuis toujours, voulu tout savoir sur les femmes, vous ne doutez plus, depuis longtemps déjà, qu’avec Freud c'est peine perdue et qu’il est d'emblée, pour un temps non-négligeable encor, préférable de régler, une fois n’est pas coutume, cette épineuse question avec Mozart et Da Ponte - " tout deux " parfaitement soutenus par leur grand-ami Casanova - comme quoi, c’est pas bien du tout, à l’instar « de nos petites féministes anglo-saxonnes », cosi fan tutte de désespérer de la gent masculine - CRAB