Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Musique

  • Vous-avez dit MUSIQUE ?

    Abbaye de Royaumont
     
    Waltraud Meier aura, durant sa carrière, interprété dix-sept rôles dans les opéras de Wagner – elle sait reconnaître les plus grands, admiratrice de Parice Chéreau ; « On retrouve avec lui la grande vérité de l'œuvre et l'amour du métier, le sens de la tension et du rythme », dit-elle
    Waltraud Meier
    Vidéo : Transmettre, est-ce partager ?
    http://blvids.free.fr/Waltraud_Meier.mp4
     
    Yuja Wang
    Quand Yuja Wang décide de s'habiller comme elle le souhaite en concert, les commentaires insultants pleuvent... Pourquoi ?

    Mp3 : Ne pas être réduite à un corps, la chronique d’Aliette de Laleu
    http://blvids.free.fr/Aliette_de_Laleu.mp3

    Bien dit !
    À ! ça ira, ça ira, ça ira les pudibonds à la lanterne.
    Ah ! ça ira, ça ira, ça ira les pudibonds on les aura.
    Quand le pudibond protestera - Le bon citoyen au nez lui rira,
    Sans avoir l’âme troublée,
    Toujours le plus fort sera.
    À ! ça ira, ça ira, ça ira les pudibonds à la lanterne.
    Ah ! ça ira, ça ira, ça ira les pudibonds on les aura.
    D’après Ladré et Bécourt, CRAB

    Vidéo : Berlin - fièvre des années 20
    http://blvids.free.fr/Berlin_fievre_des_annees%2020.mp4

    Suites : Beauté et nudité
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/08/beaute-et-nudite.html

  • Clara Haskil

    1_Clara Haskil.png

    Réalisation :Pierre-Olivier François, Pascal Cling

    • Pays :Suisse, France
    • Année :2017
    • Origine :ARTE

    À l’occasion du 27e concours international de piano qui porte son nom, ce film parcourt la vie tourmentée de Clara Haskil (1895-1960) et sonde le mystère de l’éblouissante pureté de son jeu.
    Qu’est-ce qui fait que certains interprètes, dont l’art est par essence éphémère, laissent en nous une émotion impérissable ? C’est ce mystère que cherchent à percer Pascal Cling et Pierre-Olivier François en retraçant la vie de celle qui fut l’une des plus grandes pianistes du XXe siècle. Née en 1895 à Bucarest dans une famille juive, Clara Haskil part très tôt étudier à Vienne puis à Paris. Elle joue aux côtés des plus grands, de Furtwängler à Lipatti en passant par Grumiaux. Mais, secouée par les deux conflits mondiaux et freinée par une santé fragile, elle peine à percer malgré les critiques dithyrambiques. Ce n’est qu’à son arrivée en Suisse, où elle se réfugie après avoir échappé au nazisme, qu’elle peut montrer l’étendue de son talent jusqu’à sa mort tragique, en 1960 à Bruxelles, suite à une chute accidentelle. Source arte

    2_Charlie Chaplin - Clara Haskil.png

     

    Charlie Chaplin - Clara Haskil

     

    Parfois il advient que le " Prix Clara Haskil " ne soit pas décerné car, selon l’attentionné Jury, le " Prix Clara Haskil " mérite d’être traité comme quelque chose de très précieux

     

    Ai-je nécessairement besoin d’ajouter de vous procurer ce " film biographique " ? - car si ce document compte dans un moment fort de l’histoire des interprètes il vaut encore bien plus quand deux univers remarquables, singulièrement différents, Clara Haskil et Charlie Chaplin se rencontrent pour mutuellement s’apprécier ? - CRAB -

     

    Montage vidéo d’extraits du film documentaire " Le mystère de l’interprète " diffusé par arte : http://blvids.free.fr/Clara_Haskil_Charlie_Chaplin.m4v

     

    Suite :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/shalom_14.html



     

  • Mozart - Da Ponte - Casanova

    Opéra de Paris - Chagall.png

    Mais qui donc sont les hommes ?

    Mozart - Da Ponte - Casanova, sans-artifice, verbe infatigable, orgasme du temps, triomphe de l’individuation, ils se conjuguent en musique -Trois-hommes des Lumières : incrédules - libres - libertins - cultivés

     

    [ " Enfermé dans la sphère unique du plaisir, j’ai envoyé à l’enfer la tristesse et le besoin. " - Casanova ]

     

    Mais qui donc sont les femmes ?
    Impensable d’en parler sans passer par Mozart, Da Ponte et Casanova racontés par Ève Ruggiéri - Ève, née le ... « on sait pas » -
    http://blvids.free.fr/Mozart_et_da_Ponte.mp3

    I

    Donna Anna

    I

    Donna Elvira
    http://crab.painter.free.fr/videos/Donna_Elvira.mpeg

    I

    Zerlina
    http://crab.painter.free.fr/videos/Zerlina.mp3

    I
    " cosi fan tutte "

    Cosi fan tutte.jpg

    Suites : '' Si Mozart m'était conté ''
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/si-mozart-metait-conte.html

    I

    Suites, déroulé d'articles :
    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tag/musique

     
  • Et Mozart créa la femme

    Aloysia Weber as Zémire in André Grétry's opera Zémire et Azor circa 1784
    - Aloysia Weber -1760-1839 -
    °

    Ode Musicale de Noël

    Dans toute l'Histoire de l'Humanité, il n'y eu jamais, en Tout et pour Tout, qu'un seul Miracle : la Musique et l'Opéra
    Ivre de Musique - dans un immense Sourire - pour un Bonheur tant attendu - pour nos Joies Calmes d'Admirations limpides et désintéressées - Transparent et Inaliénable vint ce Temps de Grâce quand Être d'exception et de Lumières dans un de ces Moments Rares de Korrigan qui lui est Dédié - Immortel - Mozart irrépressible - Rebelle Éternel créa L'impensable - Sous sa Plume de Musicien la Femme [ ENFIN ] Révélée - Fut
    °

    Par Sabine Devieilhe :
    Schon lacht der holde Frühling kv 580 ( Déjà le doux printemps sourit )

     
    Der Hölle Rache ( L'enfer la vengeance )
    °
    Suites :
    ou sur :
    CRAB - Jour de Noël 2015
  • Qui sont les femmes ?

    Casanova, Da_Ponte, Don_Juan, Ève_Ruggiéri, Féminisme, Mozart, musique, opéras

    Cosi fan tutte

    °

    Dorabella avoue qu'elle s'est laissé prendre facilement au piège de l'amour mais qu'elle trouve cela délicieux - « E' amore un ladroncello » - Et aimer un peu voleur -

    Cosi fan tutte: opéra de Mozart, livret de Da Ponte, inspiré de l'Arioste, d'Ovide et du moins léger Goethe

    °

    Travaux pratiques : Qui sont les femmes ?

    Vous qui avez toujours voulu tout savoir sur les femmes , avec Freud, c'est peine perdue - mieux vaut d'emblée régler, une fois pour toutes, cette épineuse question avec Mozart ( 1756 - 1791 ) et Da Ponte ( 1749 – 1838 ) - *1

    °

    *1 : Mozart, Da Ponte et Casanova racontés par Ève Ruggiéri - Ève, née le ... « on sait pas » -

    http://blvids.free.fr/Mozart_et_da_Ponte.mp3

     

    Donna Anna

    http://crab.painter.free.fr/videos/Donna_Anna.mp3

    I

    Donna Elvira

    http://crab.painter.free.fr/videos/Donna_Elvira.mpeg

    I

    Zerlina

    http://crab.painter.free.fr/videos/Zerlina.mp3

    I

    Suites : '' Si Mozart m'était conté ''

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/si-mozart-metait-conte.html

     

    Déroulé d'articles :

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tag/musique

    Crab 24 Janvier 2016

     

  • La Traviata - le Parfum de l’Art

    Vivre est un art,

    vivre n’est pas exister, vivre, c’est être, vivre est la chose la chose la plus rare au monde, vivre est suivre les sentiers des plaisirs parce que le plaisir est la racine de la morale car il est vain d’espérer de la mort puisque la mort est absence de sensation

    La spiritualité est la vie de la conscience,

    en ce sens les religions monothéistes n’en n’ont jamais-eu le monopole car sans prendre part, pour le bien et dans le Droit commun à la recherche de l’éthique elles n’ont jamais-eu d’autre objectif - c’est leur genre - que de tuer le sexuel pour, contre la nature des choses, idéaliser et installer des sociétés exclusivement hyper hétérosexualités ;

    loin des préoccupations métaphysiques de ceux ou de celles qui consacrent, sacralisent la défaite du corps et s’enrobent, se barbouillent de la foi pour exister, nul besoin de se prendre au sérieux, seul compte jouir sans se nuire ni nuire à autrui, nul besoin de renier son passé, nul besoin de se repentir, le repentir n’est qu’une idée de bigots comptant parmi les plus nuisibles à l’entendement humain car la seule chose qui compte est de ne pas se mentir ;

    le repentir est prélude à l’injonction-interdiction de jouir de la vie, sanctifie à travers l’énoncé religieux le devoir de renoncer à la volupté dans notre bien trop courte existence : les moments savourés de bonheurs, les moments heureux d’impression extrêmement agréable donnée au sens que l’on se plaît à goûter en parfaite plénitude ;

    en réalité, interdire ou s’interdire le plaisir, refouler, salir le désir par les mots, les discours d’un obscurantisme forcené ainsi que Savonarole qui, en pratique le fit si bien, en imposant, pendant plusieurs années à la société florentine, mu par la violence du fanatique sa vision aseptisée de la soumission au surnaturel ;

    inévitablement, à un moment ou à un autre l’ennui surgit et le couple naturellement s’étiole, mais de la séparation, du respect réciproque, naît ou se substitue à la passion une tendre amitié ;

    hors, de nos jours, ce dieu plus grand que grand persiste, tricheur n’a de cesse de sublimer la fidélité conjugale quand vêtu de son costume civil il œuvre, sans relâche, pour satisfaire, pérenniser la reproduction de l’espèce, ( si chère à ses nov-prêtres prédicateurs-prescripteurs, je veux parler de « nos pin-pans économistes pro-européens » ), avec à la clé la promesse d’une croissance démographique non sans effets « positifs » sur une croissance économique peu créatrice d’emploi car en réalité une croissance économique qui dépend essentiellement de la peu réjouissante robotisation de l’activité de production ;

    un dieu de désamours qui compte pour deux, un peu comme un homme compte pour deux femmes dans le coran - un dieu schizophrène, obstiné dans cette prétention contre nature d’encrer pour toute morale cette idée déstructurante, nuisible, toxique de s’approprier le corps de l’autre ou d’exiger de l’autre la fidélité conjugale pour fabriquer ce couple sclérosé, rigide jusqu’à la frigidité, névrosé pour définir Le « modèle universel » fondé essentiellement sur le déni, le rejet de l’attirance sexuelle et ainsi de le situer dans le temps et l’espace aux antipodes des amours aimables et naturels, le sel de la vie

    I

    Il mérite le mépris celui qui ose, même dans la colère, insulter une femme

    En d’autres temps, il s’agissait de perpétuer la propriété, les biens, les rentes transmises de mâle en mâle dans un monde où le mariage arrangé avait force loi ;

    venue de « nul part » La Traviata touchée, affectée, percée au plus profond d’elle, culpabilisée, finalement manipulée par le père de son nouvel aimant, peut-être le dernier de ses amours, pour elle le premier, qu’importe la durée des amours, renonce à sa passion, à la joie, au plaisir de s’abandonner à son désir à vivre peut-être le dernier moment de sa vie de grande amoureuse, au moment ou la maladie inexorablement la rapproche de la mort, désemparée, renonçant à un meilleur destin, à une meilleure fin, pour sauver « l’honneur » de l’étriquée, la mondaine et presque vulgaire famille d’Alfredo, elle se sacrifie sur l’autel des doctrines d’un milieu qui n’aura été le sien que l’espace d’un instant – une famille enpatriarquée jusqu’au bout des ongles ( comme il en existe encore ), enfin de s’effacer pour une cause qui n’est pas la sienne, et ce, quand bien même, grand musicien parmi les plus grands, mais aussi « bon apôtre » Verdi terminera la fin de son dernier acte sur une note, à mon goût, un peu trop chrétienne quand, devant le père et le fils bourrés de remords - du moins me semble t-il , Violetta persiste à se flageller, mais combien, ô combien admirablement chanté par l’incroyable soprano Francesca Dotto magnifiquement entourée de chanteurs et de chanteuses lyriques de grands talents dans une sublime mise en scène de Sofia Coppola dont les remarquables costumes, véritables œuvres d’art, ont été créés avec la maison Valentino

    I

    Quand sur le dernier acte se referme le rideau, un long moment je m’en veux, oui je m’en veux beaucoup car je ne pas trouve les mots pour exprimer, pour dire combien j’ai tellement aimé, tellement aimé, tellement aimé cette version de la Traviata – Merci, merci, mille fois merciClaude Bouvard dit Crab - 03 Octobre 2016

    I

    Vidéo : Présentation, l’Odeur de la Sueur n’est pas le Parfum de l’Art

    http://blvids.free.fr/La_Traviata.mp4

    I

    Suites :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/07/mozart-lenlevement-au-serail.html

    I

    Suite 2 :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/la-reine-de-la-nuit.html

    I

    Suite 3 : Genre - une théorie ?

    François, pape des pauvres d’esprits a encore frappé, c’est son genre

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/02/genre-une-theorie.html

    I

    Rappel : La Traviata diffusée sur Arte samedi dernier - France 2 avait quelques temps auparavant diffusé cet opéra de Verdi

    I

    Notes :

    Au printemps 2016, la cinéaste Sofia Coppola dévoilait sa première mise en scène lyrique à l’Opéra de Rome : une Traviata sur son trente et un, avec des costumes conçus par la maison de couture Valentino.
    En digne héritière de son père, Francis Ford Coppola, dont la filmographie est infusée d’art lyrique, la réalisatrice de
    Lost in translation et Marie Antoinette connaît l’opéra. Si, par le passé, elle a décliné la mise en scène de Così fan tutte, c'est Verdi qui a convaincu Sofia Coppola de fouler pour la première fois le plateau du Teatro dell’Opera di Roma. Son attrait pour les personnages féminins égarés a certainement joué, autant que la perspective de travailler avec la maison Valentino. Alors que ses successeurs, Maria Grazia Chiuri et Pierpaolo Piccioli, ont habillé les rôles secondaires, Valentino Garavani a repris du service et dessiné quatre robes haute couture, tout en étoffes éclatantes et crinolines éblouissantes, épousant les variations psychologiques de la malheureuse héroïne de Verdi. - Source arte

    I

    Diffusé sur arte :

    " La Traviata " par Sofia Coppola & Valentino

    Avec :

    Francesca Dotto - Violetta Valéry

    Antonio Poli - Alfredo Germont

    Roberto Frontali - Giorgio Germont

    Anna Malavasi - Flora

    Andrea Giovannini - Gastone

    Roberto Accurso - Il Barone Douphol

    Andrea Porta - Il Marchese D'Obigny

    Graziano Dalla Valle - Il Dottor Grenvil

    Chiara Pieretti - Annina

    I

    Direction musicale : Jader Bignamini

    Costumes : Valentino Garavani

    Choeur : Coro del Teatro dell'Opera di Roma

    Chorégraphie : Stéphane Phavorin

    Composition : Giuseppe Verdi

    Décors : Nathan Crowley

    Lumière : Vinicio Cheli

    Mise en scène : Sofia Coppola

    Orchestre : Orchestra del Teatro dell'Opera di Roma

    Réalisation TV : Francesca Nesler