Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

publicis

  • La Mort - le Nu et l’athée libertin libertaire

    1.png

    Le nu absolu diffusé par Arte, capture d’écran
    .

    [ ... la mort ne nous est rien ... Accoutume-toi à penser que pour nous la mort n’est rien, puisque tout bien et tout mal résident dans la sensation, et que la mort est l’éradication de nos sensations. Épicure]
    Dans nos sociétés contemporaines, la mort est-un sujet tabou, dans ce cas est-il vraiment de la seule utilité de connaître la dimension biologique de ce processus ?
    N’est-il pas de meilleures façons d’en parler aux-enfants ?
    Est-ce si difficile d’expliquer aux-enfants qu’une personne morte ne survivra que dans la mémoire de ses proches ou de ceux qui l’on appréciées, détestées ou encore en relation avec ce que l’historien en fera ?

    .

    La détestation sacralisée de la vie
    La mort n’est rien pour l’athée, il sait que quoiqu’il fasse il ne sera ni récompensé ni punit - ne faut-il pas d’urgence rappeler qu’il n’y a guère que les religions monothéistes pour prétendre sans produire la plus petite preuve tangible que la mort est-à craindre ?
    N’est-il pas, à notre époque, nettement plus-urgent de faire aimer la vie en enseignant aux jeunes générations que les arrière-mondes sont de grotesques fables d’un goût mortifère, que la mort est-absence de sensation afin de courager la radicalisation, le terrorisme ou le fanatisme religieux en expansion dans notre société ?

    .

    Comprendre l’importance de la représentation du NU est-aimer la vie
    Pour la religion catholique le nu a une dimension provocante, c’est mal et le voyeurisme est considéré comme un péché
    Pour l’athée libertin libertaire il est-aisé d’identifier les « féministes » chrétiens ou autres affidés des monothéismes par la haine qu’ils vouent à Élisabeth Badinter qui en aucun cas au nom de la ressemblance de genre refuse l’idéologie de la victimisation des femmes, ou encore et surtout ne supportent pas sa volonté exprimée de ne pas dissocier en-aucune circonstance de l’action politique toute évolution par la loi du féminisme universel de l’ensemble des principes de la démocratie
    Ce qui caractérise les « féministes » chrétiens ou autres affidés des monothéismes c’est leur volonté de nier le sexuel et surtout de tenter de l’effacer dans la société, car sur le fond ils se gardent bien de dire clairement qu’ils sont les " meilleurs défendeurs de la reproduction par le biais de la famille nucléaire ", un modèle qu’ils aimeraient bien, envers et contre les réalités de notre société, imposer à toutes et tous - CRAB

    .
    Diffusé sur arte, " Le nu absolu ", 2 extraits : " ne pas porter de vêtements est-un peu aimer la liberté "

    Vidéo 1, extrait :
    http://blvids.free.fr/0_Le%20NU%20et%20la%20religion.mp4

    .

    Vidéo 2, extrait :
    http://blvids.free.fr/0_Betthina%20Rheims.mp4

    I

    Suites : déroulé d’articles
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=%C3%89lisabeth+Badinter&updated-max=2016-10-31T07:13:00-07:00&max-results=20&start=1&by-date=false

    I

    Suite 2 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2011/11/poser-nue-pour-le-meilleur.html

  • Théologie apophatique de l’existence de dieu et du féminisme

    Elisabeth_Badinter.png

    Élisabeth Badinter
    I

    De « dieu » d’abord et des « féministes » dans la foulée
    Affirmer ainsi que l’écrit Simone Weil qu’il est enrichissant pour les non-croyants et croyants de parler ensemble de théologie apophatique ou négative de l’existence de dieu n’a pas vraiment de sens, car rien, en tous cas, ne servirait de nier « l’existence de dieu » puisque « dieu existe » à partir d’un concept inventé par des hommes et fabriqué étape par étape au fil des siècles par de « gentils théologiens » ;
    ce qui compte c’est de déconstruire l’invention dieu et de démontrer que le monothéisme est la racine du sectarisme ou que l’invention monothéiste signe l’acte de naissance du sectarisme le plus violent de toute l’histoire de l’humanité mais celles-et ceux des féministes qui se proclament ou encore se catégorisent « féministes » ( comme si une personne ne pouvait-être que féministe ) très généralement apprécient Simone Weil, mais-aussi se font bien souvent apologétiques de la politologue Hanna Arendt qui cependant et banalement veut, peut-être inconsciemment, faire oublier que le rôle du politicien ou de la politicienne c’est justement de faire de la morale* ( * : par exemple par la loi autoriser l’IVG ou encore le mariage pour tous ) ;
    Hanna Arendt se situe aux-antipodes du dire des penseurs de l’immanent qui justement ne sont pas philosophiquement des philosophes de pouvoirs, elle oppose sa propre métaphysique à d’autres métaphysiques dites platoniciennes dont-en réalité elle ne diffère guère que très vaguement à la marge puisque relativement proche des aristotéliciens qui eux comme Platon comptent parmi les philosophes de pouvoir ;
    ces deux figures historiques recueillent l’adhésion de bien trop nombreuses « féministes » dont l’un des passe-temps favoris consiste à dénigrer la bien dérangeante Élisabeth Badinter dont le combat cohérent et avec constance prône un féminisme universel ( ni oriental ni occidental puisqu’il est universel ) qu’elle explique parfaitement dans son livre " Fausse route ", un livre important comptant parmi les très nombreux ouvrages quelle a écrit pour défendre la cause des femmes ;
    elle est l’une des rares personnes qui refusent de s’aligner sur la ligne démagogique d’un « féminisme » qui n’en-a que le nom, mais nettement plus-apparenté ou plus proche de la pudibonderie la plus nocive, sorte d’émanation résiduelle de ce qui reste du judéo-christianisme avec, à notre époque, pour « valeur ajoutée » l’idéologie musulmane
    Hors, Élisabeth Badinter philosophe et femme de lettres à fait l’essentiel de sa lutte contre la victimisation du genre féminin, philosophie à laquelle j’adhère sans réserve, en tant qu’athée, amoureux des arts, de la musique et surtout du chant lyrique, anti-sexiste, anti antisémites et anti homophobes
    " le conflit la femme et la mère ", l'ouvrage fait une critique savoureuse de ce nouvel idéal maternel qu'on impose aux femmes pour mieux les faire rentrer au foyer ", et remet à sa place le naturalisme écologique contre la liberté de choisir qui rappelle toutes les tentatives d’involution de la société des femmes caractérisé par l’écologiste Cécile Duflot ou par « La républicaine » NKM* qui n’est rien de plus qu’un-animal politique de notre temps ( et j’en passe ) - inutile d’insister sur les assauts permanents théocratiques contre " les droits des femmes " émanant de fanatiques judéo-chrétiens et +
    * : Mais nul ne peut-ignorer que la solidarité féminine n’existe pas et ne saurait relever d’un fantasme masculin d’autant que des femmes surmédiatisées à la tête d’un parti ou de mouvements réactionnaires, au même titre que les hiérarchies monothéistes, sont les pires-ennemies " Des droits des femmes " et se font opportunément chantres de la pire des homophobies
    Ici rappeler les propos sexistes de canard Trump promoteur d’une nov-américa, ne doit pas faire oublier qu’en son temps Françoise Dolto estimait qu’il fallait symboliquement pénaliser les femmes qui choisissent d’interrompre leur grossesse, ne serait-ce que de 1 Franc
    Hors, à travers l’histoire millénaire de la misogynie ne manque pas les femmes qui ont su et réussi par leur inébranlable volonté à s’imposer dans des sociétés qui ne leur reconnaissait aucun droit, encore moins celui de penser pour être et pourtant elle l’on faitc’est ce qui justifie sa position, et ce n’est pas contre la pensée féministe, mais le pourquoi Élisabeth Badinter s’est prononcée contre toutes les formes infantilisant que prend et défini le principe même de parité - un principe trop simple pour être honnête, le reflet du manque d’imagination, une recette paresseuse, une réponse dangereuse à un vrai problème, et, le dire publiquement ce n’était pas combattre le principe d’égalité en soi - ( mais allez raconter ça à des militant-e-s, en fait plus chrétien-e-s que vrais féministes... )
    Citation : ( 1996 ) - 1. L'inscription à terme de la parité dans la loi transgresse un principe fondamental de la république, l'universalisme de la représentation : un élu est censé représenter tous les citoyens, quel que soit sa couleur, son sexe, son âge, son origine sociale. Si l'on décide d'isoler l'un de ces critères, on ouvre la porte à toutes les revendications particulières.
    2. La parité institue deux catégories de citoyens distincts, les hommes et les femmes, qu'elle fige dans leur différence sexuelle alors que l'évolution des mœurs plaide pour l'indifférenciation des rôles, des métiers et des fonctions.
    3. La parité forcée est humiliante. Les femmes ne devraient pas accepter de se laisser enfermer dans un statut de victimes contraintes de demander à la loi de leur réserver des postes qui, du coup, seront dévalorisés. Fin de l’extrait - C’était ce qui s’appelle mettre le doigt là ou ça fait mal -
    Ces « féministes » qui étaient favorables au principe de parité finiront, peut-être bien en quelques décennies, même à l’insu de leur plein gré, par causer la perte de l’universalisme et s’étonneront de voir, ça et là, s’imposer des féminismes opposés à tout changement de comportement ; forcément au détriment des femmes émancipées conscientes que la culture est plus-importante que la nature dans la construction de notre identité
    Si la nature était bonne, il n’y aurait nul besoin de Médecine ni encore moins besoin de Culture

    I

    « la liberté des femmes ne va pas sans celle des hommes » - Élisabeth Badinter
    Crétinerie sans frontière ou le sommet de la dénigration d’Élisabeth Badinter, plus particulièrement attachée à théoriser la notion de « ressemblance » des sexes, se fait jour lorsque des « féministes » dignes héritières de la « grande Hélène Jégado ( MDR ) » toutes à qui mieux-mieux vêtues de la robe montante de droguet et du tablier de cotonnade à bavette se félicitent dans la plus parfaite cécité d’une loi qui pénalisent les clients des femmes prostituées, une loi qui ne dérange en rien les proxénètes ( bien-au contraire dans les faits ) puisqu’aucune loi ne les attaquent vraiment dans la mesure ou il est-admis que la volonté politique de les déloger entraînerait économiquement un coût considérablement plus élevé, voire disent certaines bonnes-âmes insupportable pour le budget de la Nation - mais cette loi in fine, ce qui était prévisible, a pour conséquence de précariser encore plus qu’auparavant ces femmes ( ainsi que les hommes qui se prostituent )

    I

    " Quand on parle de violence féminine, on est toujours soupçonnée de vouloir atténuer la violence masculine " - Elisabeth Badinter -
    Mère incestueuse, femme pédophile ? Les mots écorchent et personne ne veut les entendre
    Selon l’étude INSERM " 6% des filles et 14% des garçons victimes d'un abus sexuel l’avaient été par une femme " - d’autres-études signalent un pourcentage plus-élevé -
    Citation : Une étude extensive menée par une commission nationale au Canada a mis à jour les mobiles de ces femmes incestueuses ou pédophiles : elles-mêmes agressées par leur père ( 80% ), elles considèrent souvent leur fille comme une rivale, explique Monique Tardif, la psychologue la plus familière avec le dossier des agressions sexuelles commises par les femmes au Québec. Les trois quarts des femmes pédophiles recensées par l'étude avaient également infligé des sévices à leurs propres enfants – Fin de citation
    En matière de crimes sexuels, ce « féminisme » de salon ou d’hyper-marché ( majoritairement répandu dans les pays anglo-saxons, un peu moins en France ) qui entend parler au nom de toutes les femmes rejoint l’extrémisme le plus dangereux - se montre en réalité plus proche de " l’ordre moral ", ce qui en outre et entre-autre permet de comprendre pourquoi, ( à titre d’exemple ), cette part de population « féministe » évite soigneusement de rappeler qu’un pourcentage non négligeable de crimes pédocriminels ou d’incestes sont des crimes sexuels commis par des femmes, mais c’est tellement plus commode ou plus facile dès qu’il s’agit de viols et d’abus sexuels extrêmement graves ou aggravés de essentialiser la seule population masculine* ( * : on ne peut me reprocher, dans la mesure où j’ai participé activement à la criminalisation du viol, de ne pas remettre tous les salauds parmi les hommes à la sordide place qu’ils occupent )
    D’ici peu ces mêmes charitables figures du « féminisme » amoureuses de Céline Dion et consorts avec ou sans bouton que le sexuel dans la société dérange outrancièrement parlerons d’interdire la pornographie pour masquer ou faire oublier que la pornographie n’existe pas - que dans la réalité il s’agit de films érotiques* dont certains sont de bonne ou de très très mauvaise qualité – ( * : bien sûr, à ne pas confondre, filmés par certaines agences, de véritables viols subis par des femmes, certes payées, mais qui néanmoins, pour le coup, tombent sous le coup de la loi )

    I

    Annonce ou matraquage ?
    [ Réfractaire, depuis la fin des années 60 à la publicité, chaque fois que survient sur l’écran de la télé une page publicitaire je me lève pour faire autre chose et je reviens aussitôt que le film ou l’émission reprend son cours, ainsi, il va de soi que figure bien-en vu un stop-pub en applique sur la façade de ma boite à lettres – si je dois acheter, dans tous les cas : j’enquête... ]
    Riche, donc forcément antiféministe ?
    Mais c’est en tant que fille et héritière de Marcel Bleustein-Blanchet ( Blanchet est son pseudonyme de la Résistance ), fondateur de Publicis, dont-elle est aujourd’hui la deuxième actionnaire, et la présidente du conseil de surveillance de la multinationale publicitaire que ce brillant esprit de femme ( qui nous fait tant-honneur ) est le plus souvent-attaqué ; bien qu’ayant répondu ou fait savoir à maintes reprises que ce conseil évitait de laisser passer bon nombre de publicité sexistes, tout-en-admettant que Publicis n’est pas épargné car il est reflet de ce qu’est en général le sexisme dans la société ;
    en ce qui me concerne, sans la plus petite hésitation, je me permets d’ajouter que cela ne prive pas Élisabeth Badinter du droit de penser, et d’écrire sans entacher en rien la sincérité* de ses convictions - ( * : un-exercice qui se révèle particulièrement bien difficile à appréhender par la cohorte de ses nombreux pourceaux d’Épicure )
    Je me devais de m’exprimer ainsi que je le fais toujours en pleine liberté car, depuis environ une douzaine d’années, contre les positions féministes et laïques prises par Élisabeth Badinter ce que je peux lire n’est que le reflet du vomi de pseudo défendeurs ou défenderesses de la cause des femmes et de la laïcité ;
    il est-aisé de se rendre compte que la plupart de ces personnes n’ont pas lu un seul de ses nombreux livres sinon, dans certains cas, dans-un état d’esprit très voltairien de falsifier*1 le texte, et pour ces tragiques-joyeux in fine faire le jeu de tous ceux qui ont œuvré à fragmenter le féminisme - CRAB

    I

    *1 : Le conflit la femme et la mère
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/10/le-conflit-la-femme-et-la-mere.html

    I

    Suites :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/01/semantique-de-latheisme.html

    I

    Suites 2 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/05/reforme-du-college.html

    I

    Suites 3 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/02/elisabeth-badinter.html

    I

    Suite 4 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2011/10/elisabeth-badinter.html