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Démocrite - Épicure - Lucrèce - Page 18

  • Religions - Les grands mensonges à la télé

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    Piqûre de rappel :

    Être islamophobe, c’est naturel, c’est le contraire qui ne l’est pas :

    ce ne sont pas les Athées qui posent des bombes dans les lieux de cultes ni eux qui assassinent des croyants, mais ce sont bien les athées qui sont persécutés par des croyants dont plus que partout ailleurs dans tous les pays dominés par les musulmans

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    En France, il y a toujours, quelque part, contre la liberté d’expression des faut-culs, plus ou moins bénis, pour exiger la censure, en général partie prenante au même titre que les rois des rois du " c’est pas le bon moment pour en parler "

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    Attaquer en Justice Zemmour un jour pour islamophobie et le lendemain pour pro-djihadisme, l’accuser de faire l’apologie des islamistes est grotesque - quand bien même si à titre personnel je ne vois rien de respectable dans la mentalité et le comportement des djihadistes inspirés par une « religion » qui n’est rien de plus qu’un document totalitaire raciste et sexiste

    Sans partager certaines de ses analyses dont notamment des propos sexistes qu’il a tenu çà et là, il n’empêche que ce qu’il dit ou écrit sur l’islam est nettement plus juste et très nettement moins dangereux que ce que racontent les chantres de la déradicalisation des candidats au djihad - idem pour le traitement proposé pour circoncire les islamistes de retours sur notre sol ;

    en réalité ces apôtres de la dé-radicalisation et leurs soutiens sont avant tout ( à l’exception de quelques naïfs ) des prosélytes mains dans la mains avec tous ceux qui, dans notre société, s’efforcent, sans relâcher, de masquer que le coran est un document infantile et égoïste : raciste, athéophobe, sexiste, antisémite et homophobe, et sont plus particulièrement bien soutenus par tous ceux qui sans scrupule participent à toutes les tentatives de masquer que l’islam n’est pas une « religion », mais une idéologie totalitaire incompatible avec notre culture, notre humanité ;

    en réalité, ces chantres de la déradicalisation sont, au quotidien, bien aidés par des « journalistes » et des « intellectuels » bigotisés, des politiques carriéristes se complaisant par électoralisme dans un clientélisme forcené qui n’ont jamais-eu d’autres intérêts ou visées que d’obtenir l’enseignement du fait religieux pour exercer une influence normative sur les élèves - puisqu’en contrepartie n’est pas enseigné le fait athée à l’école, ce qui d’emblée interdit aux élèves de prendre connaissance de toutes pensées philosophiques qui pourraient leur permettre d’exercer leur raison critique et penser par eux-mêmes ;

    ces mêmes bigotisés ou corrompus par la religion se contrefichent de la citoyenneté, leur projet plus ou moins avoué est d’installer le communautarisme et pour ce faire insistent, à longueur d’années, pour pour obtenir la généralisation de l’anti-laïque Concordat sur l’ensemble de nos territoires

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    En tant que lanceur d’alerte, je n’ai jamais cessé depuis 1995 de dénoncer l’islamisme rampant validé par le train-train d’une propagande soporifique parmi les plus nauséabondes,

    il y a quelque jours, diffusé sous la forme d’une série télévisée prenant pour prétexte fallacieux d’expliquer les différences entre les religions en se gardant bien de ne pas évoquer dans les civilisations de l’Antiquité grecque et romaine, puis en Europe au début de notre ère, la place incontournable qu’occupaient et occupent toujours dans notre [ Culture ] les essentielles et grandes découvertes scientifiques divulguées, vulgarisées et publiées sur parchemins par de grands penseurs ni platoniciens ni aristotéliciens , dont pour les principaux : les chercheurs ou philosophes athées : Aristippe de Cyrène, Démocrite, Leucippe, Épicure, Lucrèce, etc. etc.

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    Imaginer réduire les tensions identitaires en gardant le silence sur ( voir les manuels scolaires 2016 ) la condition de la femme en islam médiéval ni sur l'historicité et la fiabilité des éléments biographiques concernant Mohamed, c’est purement, pour ne pas dire autre chose, une scandaleuse entreprise de désinformationnoter, contre le droit pro-égalité, qu’il s’agit là, dans notre pays, de l’institutionnalisation d’un déni de l’histoire de l’islam sans précédent dû à un gouvernement socialiste ;

    hors ne pas évoquer la condition des femmes en islam en rapport étroit avec ce que l’on peut lire ( entre-autres ) dans le coran et ses annexes quand en principe le gouvernement de toutes les françaises et de tous les français se doit, scrupuleusement, d’être garant de l’égalité femmes-hommes, donc de la citoyenneté, donc de la mixité sociale contre toutes les tentatives islamistes de ségrégation sexiste - et j’en passe... [ rire si possible ]

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    Cette série télévisée revenons-y, d’emblée commence par un énorme mensonge, un sommet en matière desinformation " une religion répond aux questions auxquelles on n’a pas vraiment de réponses sur l’origine de la vie et du monde, sur ce ce qui se passe après la mort par exemple " - Hors dès l’antiquité par Démocrite et par l’atomiste Leucippe sur les origines de « notre » univers, nous savons que ce " deux doubles " avait tout compris [ je pense, récemment décédé, à l’astrophysicien André Brahic qui ne manquait pas de le rappeler - auteur de " Enfants du soleil " ]

    Quand à la mort, plusieurs siècles avant le sus nommé J.C, par Épicure qui parmi les premiers sinon le premier comprit ou eut clairement conscience qu’il lui fallait mener sa bataille philosophique contre l’expression d’une culture déiste envahissante due à Platon et Aristote, puis plus tard au début de notre ère par Lucrèce ( ainsi que le fit savoir Épicure avant lui ) nous savons qu’il n’y a peu lieu d’épiloguer sur la mort puisque la mort est absence de sensation, ce qui déconstruit toutes les tentatives émanant des religions monothéistes et leurs dignitaires de crédibiliser des arrières-mondes ( Paradis-Enfer ) tous plus imaginaires et infantiles les uns que les autres

    Mais la télé, avec l’argent de tous les contribuables, décidément ne manque pas d’air: " C’est aussi [ la religion ] un chemin et un message à suivre " - beurk, donc inutile de penser votre vie ni de faire référence à vos expériences personnelles puisque la religion " vous dit tout " ;

    ainsi, vous n’avez plus qu’à suivre, à vous conformer, à vous normer – bref, dogme oblige, la religion est bien le clonage des esprits... Crab – 10 Octobre 2016

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    Suites : Les diktats musulmans

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2010/06/01/la-sourate-dite-les-lumieres.html

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    Déroulé d’articles :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=Les+diktats+musulmans

     

  • Obscurantistes de Colombie

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    Des partisans du non à la paix

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    Ahurissant

    Lu dans LE MONDE – daté du 06.10.2016

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    Colombie : la paix, les FARC et la « théorie du genre »

    Les opposants à l’accord de paix avec les rebelles des FARC, rejeté dimanche par référendum, ont agité un argument surprenant : c’était, selon eux, le risque d’imposer l’« idéologie du genre ». Sources : M Amérique

    Le genre a-t-il joué contre la paix ? La Colombie continue de s’interroger sur les raisons de la victoire du non au référendum du dimanche 2 octobre. Les électeurs qui ont voté contre l’accord de paix signé avec la guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie ( FARC, extrême gauche ) ont argué de la crainte du « castro-chavisme ». De manière surprenante, l’autre risque invoqué a été « l’idéologie du genre ». Le terme a envahi la campagne et l’imaginaire des croyants, catholiques ou évangéliques -

    « J’ai voté non parce que je ne veux pas que la Colombie tombe dans les griffes de l’athéisme, du communisme et du pouvoir homosexuel », a expliqué sur Twitter le pasteur évangélique Marco Fidel Ramirez, conseiller municipal à Bogota. « Je ne veux pas voir les homos arriver au pouvoir », renchérit un chauffeur de taxi à Bogota.

    Comme ailleurs en Amérique latine, les Églises évangéliques sont en pleine expansion en Colombie. Elles compteraient aujourd’hui plus de 10 millions de fidèles. De l’avis des observateurs, l’opposition ouverte de la majorité d’entre elles à l’accord de paix a pesé dans le résultat du plébiscite. Le silence de l’Église catholique, qui, au nom de la liberté de conscience, a choisi de ne pas prendre parti, aussi.

    Mais comment ce sujet s’est-il invité dans le débat sur la fin d’un conflit avec une guérilla dans le maquis depuis cinquante-deux ans ? Deux logiques ont joué. Négocié pendant quatre ans à La Havane, l’accord a été rédigé en langage inclusif : il parle « des guérilleros et des guérilleras », « des paysans et des paysannes », de « tous et toutes ». Il prévoit des mesures spécifiques pour les femmes et évoque les droits de la communauté LGBTI ( lesbiennes, gays, bi, trans, intersexués ). Le 24 juillet, la communauté internationale avait célébré « Le premier accord de paix au monde qui prend en compte la perspective de genre ».

    Fascicules dans les collèges

    Parallèlement, à Bogota, la publication de fascicules contre la discrimination dans les collèges suscite une mobilisation sans précédent des défenseurs de la famille traditionnelle. Le 10 août, des manifestations ont lieu dans toutes les grandes villes du pays. Pourtant, deux mois plus tôt, le mariage entre personnes du même sexe avait été légalisé dans une relative indifférence par une décision de la Cour constitutionnelle.

    Les fascicules, intitulés « Milieux scolaires sans discrimination », ont été élaborés sous l’égide des Nations unies et du ministère de l’éducation. Mais de faux extraits, tirés d’une bande dessinée pornographique belge, enflamment les réseaux sociaux. Un questionnaire adressé aux directeurs d’établissements pour détecter d’éventuelles pratiques discriminatoires s’ajoute au scandale. L’Église catholique et ses rivales évangéliques s’insurgent à l’unisson contre « l’idéologie du genre ». Le terme fait mouche.

    La ministre de l’éducation, Gina Parody – qui est homosexuelle – gère très mal la crise. Le président Juan Manuel Santos ( centre droit ) annonce que les fascicules seront retirés. Mais il maintient Mme Parody en poste et lui demande, en septembre, de prendre la tête de la campagne gouvernementale pour le oui.

    En campagne pour le non, l’ancien président Alvaro Uribe a fait le lien entre les deux événements. « L’idéologie du genre incluse dans les accords de paix entrera, sans vrai débat, dans notre ordonnancement constitutionnel », a-t-il menacé. Les évangéliques ont ressassé l’argument à satiété. Le 2 octobre, le non a gagné. Le surlendemain, Mme Parody a démissionné. Marie Delcas ( Bogota, correspondante ) Sources : M Amérique

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    Contre l’accord de paix,

    un déluge de crétineries indicibles s’est abattu sur la Colombie, répandu dans une large part de la population colombienne crédule au-delà de l’imaginable ;

    un fait sans précédent de propagande nauséabond dû aux clergés chrétiens et évangélistes, les ennemis séculaires de l’égalité femmes-hommes et homophobes à souhait ;

    il y a lieu de rapprocher ces inhumanités par nature homophobes avec les bouffées de délires émanant de François le pape des pauvres d’esprits de concert " la mano en la mano " avec les hiérarchies monothéistes contre le " mariage pour tous " ;

    En 2014, et plus récemment encore, sur " la perspective de genre " où l’on a pu voir ces fanatiques, à nouveau le pape en tête, s’afficher sur la place publique dans un délire comparable aux déclarations, au demeurant insultantes, mensongères, débiles, nuisibles, propres aux théories de l’homophobie, dont une malveillance sans cesse reconduite et projetée à travers les marqueurs idéologiques d’un net refus de partager la citoyenneté ou l’égalité entre femmes et hommes émanant de F. Belghoul membre éminente de la branche parano-islamo-phallocrate, ( née de parents algériens et proche de A. Soral ) à propos de l’enseignement à l’école des "… ABCD de l’égalité à l’école "

    Vidéo : Ce type sexiste, homophobe, pape de l’inculture et chantre de l’involution est reçu partout dans le monde comme un personnage important - il y même des intellectuels et des journalistes pour le trouver respectable et généreux [ ??? ]
    http://blvids.free.fr/0_pape_Fran%C3%A7ois.mp4

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    Suites : article toujours d’actualité

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/02/genre-une-theorie.html

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    ou sur :

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/02/15/genre-une-theorie%C2%A0-5760105.html

    Crab – 08 Octobre 2016

     

  • La Traviata - le Parfum de l’Art

    Vivre est un art,

    vivre n’est pas exister, vivre, c’est être, vivre est la chose la chose la plus rare au monde, vivre est suivre les sentiers des plaisirs parce que le plaisir est la racine de la morale car il est vain d’espérer de la mort puisque la mort est absence de sensation

    La spiritualité est la vie de la conscience,

    en ce sens les religions monothéistes n’en n’ont jamais-eu le monopole car sans prendre part, pour le bien et dans le Droit commun à la recherche de l’éthique elles n’ont jamais-eu d’autre objectif - c’est leur genre - que de tuer le sexuel pour, contre la nature des choses, idéaliser et installer des sociétés exclusivement hyper hétérosexualités ;

    loin des préoccupations métaphysiques de ceux ou de celles qui consacrent, sacralisent la défaite du corps et s’enrobent, se barbouillent de la foi pour exister, nul besoin de se prendre au sérieux, seul compte jouir sans se nuire ni nuire à autrui, nul besoin de renier son passé, nul besoin de se repentir, le repentir n’est qu’une idée de bigots comptant parmi les plus nuisibles à l’entendement humain car la seule chose qui compte est de ne pas se mentir ;

    le repentir est prélude à l’injonction-interdiction de jouir de la vie, sanctifie à travers l’énoncé religieux le devoir de renoncer à la volupté dans notre bien trop courte existence : les moments savourés de bonheurs, les moments heureux d’impression extrêmement agréable donnée au sens que l’on se plaît à goûter en parfaite plénitude ;

    en réalité, interdire ou s’interdire le plaisir, refouler, salir le désir par les mots, les discours d’un obscurantisme forcené ainsi que Savonarole qui, en pratique le fit si bien, en imposant, pendant plusieurs années à la société florentine, mu par la violence du fanatique sa vision aseptisée de la soumission au surnaturel ;

    inévitablement, à un moment ou à un autre l’ennui surgit et le couple naturellement s’étiole, mais de la séparation, du respect réciproque, naît ou se substitue à la passion une tendre amitié ;

    hors, de nos jours, ce dieu plus grand que grand persiste, tricheur n’a de cesse de sublimer la fidélité conjugale quand vêtu de son costume civil il œuvre, sans relâche, pour satisfaire, pérenniser la reproduction de l’espèce, ( si chère à ses nov-prêtres prédicateurs-prescripteurs, je veux parler de « nos pin-pans économistes pro-européens » ), avec à la clé la promesse d’une croissance démographique non sans effets « positifs » sur une croissance économique peu créatrice d’emploi car en réalité une croissance économique qui dépend essentiellement de la peu réjouissante robotisation de l’activité de production ;

    un dieu de désamours qui compte pour deux, un peu comme un homme compte pour deux femmes dans le coran - un dieu schizophrène, obstiné dans cette prétention contre nature d’encrer pour toute morale cette idée déstructurante, nuisible, toxique de s’approprier le corps de l’autre ou d’exiger de l’autre la fidélité conjugale pour fabriquer ce couple sclérosé, rigide jusqu’à la frigidité, névrosé pour définir Le « modèle universel » fondé essentiellement sur le déni, le rejet de l’attirance sexuelle et ainsi de le situer dans le temps et l’espace aux antipodes des amours aimables et naturels, le sel de la vie

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    Il mérite le mépris celui qui ose, même dans la colère, insulter une femme

    En d’autres temps, il s’agissait de perpétuer la propriété, les biens, les rentes transmises de mâle en mâle dans un monde où le mariage arrangé avait force loi ;

    venue de « nul part » La Traviata touchée, affectée, percée au plus profond d’elle, culpabilisée, finalement manipulée par le père de son nouvel aimant, peut-être le dernier de ses amours, pour elle le premier, qu’importe la durée des amours, renonce à sa passion, à la joie, au plaisir de s’abandonner à son désir à vivre peut-être le dernier moment de sa vie de grande amoureuse, au moment ou la maladie inexorablement la rapproche de la mort, désemparée, renonçant à un meilleur destin, à une meilleure fin, pour sauver « l’honneur » de l’étriquée, la mondaine et presque vulgaire famille d’Alfredo, elle se sacrifie sur l’autel des doctrines d’un milieu qui n’aura été le sien que l’espace d’un instant – une famille enpatriarquée jusqu’au bout des ongles ( comme il en existe encore ), enfin de s’effacer pour une cause qui n’est pas la sienne, et ce, quand bien même, grand musicien parmi les plus grands, mais aussi « bon apôtre » Verdi terminera la fin de son dernier acte sur une note, à mon goût, un peu trop chrétienne quand, devant le père et le fils bourrés de remords - du moins me semble t-il , Violetta persiste à se flageller, mais combien, ô combien admirablement chanté par l’incroyable soprano Francesca Dotto magnifiquement entourée de chanteurs et de chanteuses lyriques de grands talents dans une sublime mise en scène de Sofia Coppola dont les remarquables costumes, véritables œuvres d’art, ont été créés avec la maison Valentino

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    Quand sur le dernier acte se referme le rideau, un long moment je m’en veux, oui je m’en veux beaucoup car je ne pas trouve les mots pour exprimer, pour dire combien j’ai tellement aimé, tellement aimé, tellement aimé cette version de la Traviata – Merci, merci, mille fois merciClaude Bouvard dit Crab - 03 Octobre 2016

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    Vidéo : Présentation, l’Odeur de la Sueur n’est pas le Parfum de l’Art

    http://blvids.free.fr/La_Traviata.mp4

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    Suites :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/07/mozart-lenlevement-au-serail.html

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    Suite 2 :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/la-reine-de-la-nuit.html

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    Suite 3 : Genre - une théorie ?

    François, pape des pauvres d’esprits a encore frappé, c’est son genre

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/02/genre-une-theorie.html

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    Rappel : La Traviata diffusée sur Arte samedi dernier - France 2 avait quelques temps auparavant diffusé cet opéra de Verdi

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    Notes :

    Au printemps 2016, la cinéaste Sofia Coppola dévoilait sa première mise en scène lyrique à l’Opéra de Rome : une Traviata sur son trente et un, avec des costumes conçus par la maison de couture Valentino.
    En digne héritière de son père, Francis Ford Coppola, dont la filmographie est infusée d’art lyrique, la réalisatrice de
    Lost in translation et Marie Antoinette connaît l’opéra. Si, par le passé, elle a décliné la mise en scène de Così fan tutte, c'est Verdi qui a convaincu Sofia Coppola de fouler pour la première fois le plateau du Teatro dell’Opera di Roma. Son attrait pour les personnages féminins égarés a certainement joué, autant que la perspective de travailler avec la maison Valentino. Alors que ses successeurs, Maria Grazia Chiuri et Pierpaolo Piccioli, ont habillé les rôles secondaires, Valentino Garavani a repris du service et dessiné quatre robes haute couture, tout en étoffes éclatantes et crinolines éblouissantes, épousant les variations psychologiques de la malheureuse héroïne de Verdi. - Source arte

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    Diffusé sur arte :

    " La Traviata " par Sofia Coppola & Valentino

    Avec :

    Francesca Dotto - Violetta Valéry

    Antonio Poli - Alfredo Germont

    Roberto Frontali - Giorgio Germont

    Anna Malavasi - Flora

    Andrea Giovannini - Gastone

    Roberto Accurso - Il Barone Douphol

    Andrea Porta - Il Marchese D'Obigny

    Graziano Dalla Valle - Il Dottor Grenvil

    Chiara Pieretti - Annina

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    Direction musicale : Jader Bignamini

    Costumes : Valentino Garavani

    Choeur : Coro del Teatro dell'Opera di Roma

    Chorégraphie : Stéphane Phavorin

    Composition : Giuseppe Verdi

    Décors : Nathan Crowley

    Lumière : Vinicio Cheli

    Mise en scène : Sofia Coppola

    Orchestre : Orchestra del Teatro dell'Opera di Roma

    Réalisation TV : Francesca Nesler