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  • Les femmes qui comptent


    Distinguer le vrai du faux
    Selon M. Onfray, " Brigitte Bardot a beaucoup plus fait pour la femme que Simone de Beauvoir "

    Je suis d’autant plus d’accord avec l’analyse de Michel Onfray que bien souvent il m’est arrivé d’écrire à l’encontre de militantes ou de militants d’un « féminisme victimaire, doloriste ou actualisé porcin » lesquels depuis quelques mois, par le biais des médias traditionnels ou à travers les réseaux sociaux polluent littéralement l’actualité, d’écrire que " depuis la nuit des temps, incandescentes, lumineuses, les femmes indépendantes ont transgressé tous les tabous sans jamais enseigner la liberté par l’écrit ou la parole ni autrement que par leur façon d’être "

     

    Quand prime l’idéologie

    En effet, les blablablas de ces féministes autoproclamés plus ou moins " porcins de circonstances " n’hésitent pas à mettre en cause globalement le genre masculin accusé de transmettre ou d’être à lui seul porteur des idéaux extrêmement nuisibles des patriarcats ( patriarcats sacralisés par les trois religions abrahamiques, ne l’oublions jamais ) font non seulement plus de tord que de bien à la cause des femmes, mais aussi, plus ou moins indirectement, nuisent à la cause des hommes, lesquels pour la plupart, sans ambiguïté, préfèrent plus particulièrement ou portent en leur cœur ces femmes libres, autonomes, donc financièrement indépendantes, incontrôlables - grandes amoureuses
     

    Une perversion peut en cacher une autre

    Les relations amoureuses en parlant des amours de Yavé et d’Israël ou de celles du Christ et de son Église ou encore de " l’amour pédocriminel " de Mahomet, lequel contraint à l’épouser la fillette Aïcha âgée de six ans dont la destinée ne sera pas d’être ou de penser sa vie de femme, mais, selon la volonté d’Allah racontée par les hadîths ( théologiens ), de devenir exclusivement sa mémoire
    Ceci rapporté symétriquement aux relations amoureuses des deux sexes ce sont autant d’amplifications de métaphores plus perverses, plus préjudiciables les une que les autres qui, en aucun des cas, ne soufrent la comparaison avec les vraies relations amoureuses que savent entretenir entre-eux les femmes et les hommes sains d’esprit
     

    Les Grandes Amoureuses

    Oui, ces femmes pour beaucoup d’entre-elles sont connues du grand public, pour n’en citer que quelques-unes, Salomé, Ninon de Lenclos, Francesca Bruni, laquelle, un temps, s’est chargée de parfaire l’éducation amoureuse du jeune Giacomo Casanova, Èmilie du Châtelet, Olympe de Gouges, Georges Sand, Peggy Guggenheim, Barbra Streisan, Brigitte Bardot, Marceline Loridan-Ivens voient leur dignité affirmée, ce sont toutes de grandes amoureuses des hommes – l’histoire ou l’historiographie en témoigne abondamment – et sur mes blogs, depuis 2006, parce que c’est un devoir de " porter à connaissance " à l’adresse des jeunes générations, il est aisé de vérifier que j’ai consacré une foule d’articles à ces femmes dont je veux dire, et surtout rappeler que depuis toujours, qu’elles sont ces femmes qui comptent, « usurpeuses » des façons d’être et des fonctions masculines car elles ont su ou savent transgresser tous les codes dont s’extirper sans ambages du rôle traditionnel dévolu à la femme de reproductrice, de bouilleuse de marmite éduquée pour satisfaire à l’amour de la fourchette dans « l’irrationnelle vertu » de sociétés désormais obsolètes en Occident autrefois, bien trop souvent, mécaniquement l’homme proposait et sans attendre disposait
     

    Les grandes muettes ?

    Hors, plus particulièrement dans notre pays, ces femmes dont-on ne parle pas assez, voire jamais, sont depuis toujours bien plus nombreuses que ne l’imagine le commun des mortels " ou les idéologues platonniciens et aristotéliciens qui eux s’évertuent à en cacher l’existence, notamment dans les programmes scolaires
    L’homme n’était pas le chef de la femme dans toutes les populations de notre pays, sinon le mouvement féministe n’aurait jamais vu le jour - il ne le sera plus jamais car il n’y a pas d’autre façon d’être pour les femmes qui ne veulent pas subir les tentatives sibyllines ou carrément tordues qu’inspirent les trois religions abrahamiques habituées à formater, à modeler, à cloner les esprits dans cette idée incongrue de la supériorité de l’homme sur la femme
    Cest absolument nécessaire de rappeler vivement qu’à notre époque, un habitus morbide nettement entretenu, effroyablement plus virulant dans les populations islamisées en faisant des femmes toujours prête à s’affirmer, désobéissantes, insoumises et non voilées une espèce, un genre qu’il faut écraser ou dévaloriser sans relâcher
    Pour celles et ceux qui n’en sont pas convaincus, je leur suggère de s’installer dans les dominés par des musulmans ou des hindouistes...
     

    Elles sont nos grandes héroïnes

    Oui, de nombreuses femmes, sans attendre la grotesque parité, depuis l’antiquité, par leur façon d’être ont su transgresser tous les tabous - CRAB
     

    Suite : Le féminisme porcin
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/le-feminisme-porcin.html

    Suite 2 : Un objet sexuel peut en cacher un autre
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/un-objet-sexuel-peut-en-cacher-un-autre.html

    Suite 3 : Ni dieu ni maître
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/ni-dieu-ni-maitre.html

    Suite 4 : Ni patriarcat - ni pudibonderie
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/ni-patriarcat-ni-pudibonderie.html

    Suite 5 : Le féminisme heureux
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/le-feminisme-heureux.html

    Suite 6 : L'irrationalité n'est pas une vertu positive
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/02/lirrationalite-nest-pas-une-vertu.html

  • Lauren Bacall

     

    Les hommes qui aiment les femmes
    Je travaillais sur le scénario du " Port de l’angoisse ". Bacall était une novice, elle n’avait rien fait auparavant. Je tenais beaucoup à soigner ses débuts à l’écran. Howard Hawks

     

     

    Lauren Bacall, un sex-symbol ?
    Oui, mais, mais comme toujours, seulement pour les imbéciles qui ne voient jamais rien venir
    Pour réaliser ses désirs, Lauren Bacall compte parmi ces femmes dignes d’éloges qui depuis l’Antiquité ce sont démarquées pour ignorer le rôle de femme réduit exclusivement à celui de mère ou de femme au foyer
    Aux antipodes de l’idéologie ambiante répressive qu’imposaient à leurs filles la majorité des femmes et des hommes, elle fut élevée par une mère exceptionnelle « simple secrétaire » qui l’encourage à apprendre la danse et la comédie car elle voulait pour sa fille un autre destin que celui de la voir se résigner, ainsi que la plupart des femmes, à survivre sous la dépendance économique d’un mari
    Sans théoriser ni fréquenter le Café de Flore, le plus naturellement du monde Lauren Bacall fait partie de ces femmes ou de ces hommes qui, très tôt, et à toutes les époques, ont compris que le plaisir est la racine de la morale ;
    et de, le plus simplement de suivre ses envies, sans angoisse de maintenir son cap, en ignorant avec beaucoup de justesse les fondamentaux d’une société qui globalement cherchait à cloner les esprits non pas sur des valeurs humanisées, mais sur les codes douteux ou gravement insipides qu’inspirent aux totalitaires les textes infantiles et égoïstes des patriarcats plus ou moins sacralisés par les mortifères religions du monothéisme
    Ainsi naquit et vécut sur la scène publique une grande actrice, mais aussi une femme émancipée comme il en manque beaucoup trop encore car à notre époque c’est plus particulièrement inquiétant d’observer ce fait asocial dans certains des quartiers de nos villes où la régression du statut des femmes est en marche, sans réaction, pire dans le plus grand mépris ou déni émanant pour une large part de l’élite politique ou d’« intellectuels » très médiatisés de la société civile - CRAB -

     

     Vidéo, extrait de " Lauren Bacall, ombre et lumière ", film diffusé par arte le 23/09/2017 : une façon de dire ses répliques avec insolence, mais sans en être irritante. Howard Hawks
    http://blvids.free.fr/Lauren_Bacall_ombre_et_lumi%C3%A8re.mp4

    Vidéos 2 :
    http://blvids.free.fr/Lauren_Bacall.mp4


    Suites : Barbra Streisand ou le triomphe de l’individualisme
    https://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/04/le-triomphe-de-lindividualisme.html

    Suite 2 : Amours
    https://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/04/amours.html

    Suite 3 : Peggy Guggenheim
    https://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/11/peggy-guggenheim.html