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  • Henda Ayari

    Elle porte aujourd'hui des jeans, montre son visage et ses cheveux.
    Henda Ayari a décidé d'être libre.
    Libre de vivre loin du salafisme, cette branche de l'Islam rigoriste qui a guidé se vie durant près de 20 ans.
    Henda Ayari : " Je me suis libérée des chaînes mentales " du salafisme
    C'est l'histoire d'une femme revenue du salafisme. Henda Ayari a passé près de 20 ans sous l'influence de cette idéologie, coupée du monde, dissimulée sous un niqab.
    Aujourd'hui libérée, cette française de 39 ans raconte son endoctrinement et sa renaissance dans un livre intitulé "J'ai choisi d'être libre"
    Tout a commencé à l'âge de 21 ans. La jeune femme en quête de spiritualité à la suite d'un décès se laisse embrigader. " J'ai rencontré une femme qui m'a expliqué que c'était le vrai Islam, qu'une femme musulmane doit porter le niqab. Durant une nuit, elle m'a fait une sorte de lavage de cerveau ", explique Henda Ayari.
    [ …/... ] - Flammarion -

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    Commentaire : la spiritualité, c’est la vie de la conscience aussi longtemps que l’on est-en vie car la mort est-absence de sensations et signe la fin d’un long monologue - CRAB
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    Suites : Henda Ayari
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/07/entre-les-bobos-et-les-barbus.html

  • Entre les bobos et les barbus

    voiles islamiques.jpg

    Lu dans la presse : Entre les bobos et les barbus
    Cela se passait en 1995. Le quartier Couronnes, au pied de la colline de Belleville, apparaissait à Géraldine comme un véritable havre de bonheur. Lorsqu’elle découvrit au fond d’une impasse à un prix abordable la maison de ses rêves, la décision fut vite prise. La jeune famille, avec son petit dernier, Max, allait s’installer dans ce quartier populaire de la capitale.

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    L’enthousiasme était au rendez-vous. Le quartier était tout ce qu’il y avait de plus bigarré. Dans ces juifs et ces musulmans, ces artisans et ces artistes, ces chômeurs et ces fonctionnaires, ces petits voyous et ces bobos, Géraldine voulait voir le symbole de la « France plurielle », celle de demain qui allait se fondre dans le même creuset cosmopolite. Les nouveaux arrivants firent rapidement connaissance avec leurs voisins : un compositeur de variété, une agente des douanes réunionnaise, un épicier tunisien et un chauffeur de taxi camerounais.

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    Géraldine et son mari sont la quintessence de ce qu’on pourrait appeler des bobos bienveillants. Elle a travaillé comme reporter en Afrique avant de devenir la rédactrice en chef du magazine culturel de la FNAC. Lui était journaliste à Libération avant de se joindre au quotidien Le Monde. Comme l’écrit Géraldine Smith, dans ce témoignage passionnant publié l’an dernier et qui s’étale sur près de vingt ans, « nous aimions l’idée que nos enfants deviennent citoyens du monde ».

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    Mais au fil des ans, le quartier des Malaussène de Daniel Pennac avait bien changé. Le premier désenchantement viendra de l’école. Jusque-là, Max avait fréquenté une sorte de garderie cinq étoiles. Le voilà dans une maternelle publique qui se révèle « un centre de préalphabétisation » pour immigrants pauvres.

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    En France, contrairement au Canada, les immigrants (la plupart du temps issus de la réunification familiale) ne sont pas sélectionnés sur la base de leur diplôme, de leur fortune ou de leur connaissance de la langue. Au bout de deux ans, entouré d’enfants qui ne parlent pratiquement pas français, Max s’ennuie à mourir et n’apprend rien. Voilà la famille aux prises avec sa première désillusion et forcée d’inscrire Max à l’école catholique privée du quartier.

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    Mais, comme l’écrit Géraldine Smith, la famille était convaincue que « l’ouverture et la tolérance auront forcément raison des incompréhensions et des malentendus entre les différentes communautés et classes sociales. Quitte à devoir accepter, provisoirement, d’avaler quelques couleuvres ».

     

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    C’était sans compter la mosquée salafiste Omar Ibn Khattab située au nord de la rue Jean-Pierre Timbaud. Elle est animée par l’imam Mohamed Hammami, un antisémite notoire de la mouvance tabligh qui appelait, notamment, à fouetter les femmes adultères. Plusieurs djihadistes connus y sont passés. Par esprit de provocation, l’imam n’hésitait pas à faire prier les fidèles dans la rue, même s’il restait de la place à l’intérieur de la mosquée. Avec le temps, ses coreligionnaires rachètent des commerces sur la rue pour y aménager des librairies intégristes.

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    Plus les années passent, plus les petites filles voilées se multiplient dans le quartier. Sarah doit subir les remarques et les regards lorsqu’elle sort les bras nus. À la boulangerie, on la sert après les hommes. Il lui arrive de se faire insulter. Des familles arabes doivent quitter l’école catholique à la suite des pressions de la « communauté ». Les petits musulmans qui continuent à la fréquenter expriment souvent un antisémitisme confondant. On supprime les classes de neige, car certaines familles musulmanes refusent la promiscuité de leur fille avec les garçons.

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    La pression est trop forte. Les familles n’ont guère le choix : pratiquer ou quitter le quartier. Pas question de partir pour Lucette, une des dernières Bellevilloises dont la famille possédait une poissonnerie sur la rue. Mais, elle doit se résigner à la disparition de toute convivialité. Longtemps, Géraldine Smith n’a rien voulu voir. « Je raisonnais avec les oeillères de ma génération déchristianisée », écrit-elle.

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    Son livre décrit en teintes fines l’implantation lente mais inéluctable du communautarisme dans un quartier qui a pourtant toujours été multiethnique. Il raconte aussi l’arrivée d’un nouvel islam qui n’a plus rien à voir avec celui des premiers Arabes débarqués en France à partir des années 1960. Une époque où Sarah allait pique-niquer à Vincennes avec ses copains sans que personne se demande qui ne mangeait pas de porc.

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    Le dernier chapitre s’intitule « Je me suis trompé ». Géraldine Smith sort amère de cette expérience. Pour elle, la crise économique n’explique qu’une partie de ce changement. Elle estime avoir « cru à tort qu’une tolérance sans bornes était la meilleure façon d’aider les étrangers et leurs enfants français à s’intégrer ». Or, dit-elle, si rien ne s’est passé comme prévu, c’est « parce que des gens comme moi nous trouvaient formidablement ouverts alors que nous étions en réalité naïfs […] La tolérance peut être une forme masquée de démission ».

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    À lire obligatoirement cet été pour comprendre la réalité pas toujours facile, et même souvent tragique, de l’intégration: Rue Jean-Pierre Timbaud, par Géraldine Smith, Stock. - Christian Rioux

    Note : certes j’apprécie hautement cet article, mais cela ne signifie pas que j’approuve inconditionnellement chacune des analyses publiée par Christian Rioux

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    Commentaires :
    La « tolérance » sert-elle de couverture à l’islamo-fascisme ?
    Hors, tolérer les idéologies islamistes est-une forme masquée de démission car qui encore oserait dire que ce ne sont pas majoritairement des musulmans qui ne veulent pas voir les femmes dans l'espace public sinon couvertes de pieds en cape ? - ici de rappeler une fois de plus que 34 % des musulmans placent la sharia au-dessus des valeurs et lois de la république

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    Ce n'est pas le cas particulier ( d'un quartier ) - mais-un phénomène de société qui s'est développé dans de nombreuses villes avec la bénédiction de la gauche, aussi par le biais de ses extrêmes islamo-gauchistes et la passivité des droites au pouvoir, alors que la majorité des français-es sait que l'islam est incompatible avec : l'égalité femmes-hommes, la liberté de conscience ou le jugement individuel dont ( entre-autres ) la liberté d'expression

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    Pragmatisme lucidité
    Dans notre pays Simone Veil ( hélas décédée ) a fait preuve de pragmatisme en faisant de l’avortement un problème de santé publique et plus particulièrement de la protection des femmes
    Élisabeth Badinter avec constance a toujours fait preuve de lucidité en portant au plus haut le droit d’une femme de faire ce quel veut quand elle veut, donc ne ne pas vivre sous-servitude ou sous le regard du clan ainsi que le préconise l’anti-femme loi islamique
    Ce sont de vraies féministes car en aucun cas ces deux femmes au regard des féminismes machin-choses, quelque soit l’actualité sociétale ou politique ne s’enferment au grand jamais dans la guerre des sexes - CRAB

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    Suites :
    http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/503362/entre-les-bobos-et-les-barbus

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    Suites 2 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/04/feministes.html

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    Suites 3 :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/07/qui-connait-adeline-baldacchino.html

  • Panthéon des femmes - Juillet 2017

     

    Simone Veil
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    L'insoumission ( rien-à voir avec Mélenchon ) est une expression majeure de notre culture :
    forgée, gravée dans le marbre, héritage des '' Lumières '', ce fut la ligne directrice de celle qui toute sa vie aima la France – ce n’est pas par hasard si dans sa famille, où certains de ses proches ont été victimes du mal absolu, on porte et donne des prénoms français aux enfants

    Elle avait nul besoin de se déclarer féminisme car son féminisme était universel dans le même esprit que celui d’Élisabeth Badinter ou Olympe de Gouges, c’est-à dire un féminisme ne cédant jamais aux « féminismes » idéologiques ou sectaires
    L’expression d’un sens de la responsabilité en refusant d’associer l’émancipation des femmes par le biais de formules politiques antidémocratiques telle la parité obtenue par la loi ou encore, au nom de la ressemblance de genre, par son refus affirmé de la victimisation des femmes
    Dans ma vie, j’aurais eu l’immense bonheur d’assister à l’hommage de la Nation à celle qui fit la grandeur de la France - CRAB
    Suites :

     
  • L’athéisme à l’école - Chapitre n°3

    L'athéisme comme expérience, et exigence ultime, de la raison

    Si notre société s’entend fraternelle et équitable, les gouvernants, d’autant plus que dans notre pays les athées, les agnostiques et les sans-religion sont majoritaires, doivent prendre la décision de l’enseignement du fait athée à l’école en contrepartie du fait religieux - ce ne sera que justice car il faut toujours avoir à l’esprit que si l’on n’entend souvent dire : « la laïcité, ce n’est pas l’athéisme », quand d’autre part, et, plutôt rarement sinon pas du tout, on n’entend guère dire « la laïcité, ce n’est pas la religion »

    Athéisme, Éducation_Nationale, laïcité_Nietzsche, Simone_Veil, Richard_Dawkins, André_Brahic, Michel_Onfray,  Robert_Badinter,t Elisabeth_Badinter

    En France et en Europe, c’est à l’abbé Jean Meslier que l’on doit très probablement en premier la déconstruction de l’invention dieu

    Il est important de rappeler que des philosophes ( en réalité des philosophes de pouvoir ), dont Voltaire, estimaient, tout en se déclarant « athées », qu’il n’était pas nécessaire de saper la construction de dieu érigée par les monothéistes

    Dans la réalité pour Voltaire et quelques-uns des philosophes comptant parmi ses contemporains il s’agissait d’un '' Athéisme de salon '';

    donc d’un Athéisme de bon ton car si le peuple devenait Athée « n’y songez pas mon bon monsieur », cela le conduirait à ne pas pardonner mais à vouloir la justice et que justice soit rendue - à vouloir le Droit et non la loi de la jungle

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    Une éthique humaniste et une spiritualité sans Dieu, les reflets de la sagesse athée

    Le socle du " TESTAMENT " de Jean Meslier composé des huit preuves

    La première - Preuves de la vanité et de la fausseté des religions : Elles se contredisent

    La deuxième - La foi-créance aveugle

    La troisième - Les visions des prophètes sont affaire de fous

    La quatrième - Les prophéties ne se réalisent jamais

    La cinquième - La morale chrétienne contredit tout ce qu’enseigne la nature

    La sixième - La religion agit en complice des tyrannies

    La septième - L’Athéisme est une vieille idée, vieille comme le monde *0

    La huitième - L’âme est mortelle, une idée aussi ancienne que la précédente

    *0 : dans le coran expression jamais dépassée de l’idéologie masculine, l’athéophobie des rédacteurs fait pratiquement de l’athée le personnage principal de ce livre raciste

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    Le péché pour tous

    Sans nier l’existence historique du Christ, Jean Meslier considère que c’est un pauvre type et ridiculise cette prétention d’inventer le péché pour tous et de prétendre racheter le genre humain

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    L’Abbé Meslier, homme pour qui le plaisir est la racine de la morale, convaincu que " jouir sans se nuire ni nuire à autrui* " ( * : Épicure ) en bon Hédoniste, soutenu par les villageois, ( le petit peuple de l’époque ), contre la hiérarchie cléricale, vécu ( contre les-idéaux de l’Église ) en union libre. ( Il aurait-eu successivement, durant sa vie deux compagnes connues de tous )

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    La France n’est pas le pays de Voltaire ni de Christine Boutin

    Voltaire, qui plaît tant aux croyants ( avec ou sans poils ) des régions occidentales, ( et pour cause ), adoubé par nos très médiatisés bien-pensants du communautarisme ou du différentialisme au point de le faire passer pour le « philosophe » majeur, exemplaire de la tolérance ;

    hors, il n’en-est rien car sans l’ombre d’un scrupule, il avait, sans hésiter, falsifié le texte du " TESTAMENT " de Jean Meslier, au point de le dénaturer, avant de le faire publier ;

    on peut dire de Voltaire ou de Diderot, ainsi que le fait-observer Michel Onfray, qu’il accuse d’avoir été les fossoyeurs de l’œuvre des « véritables athées » qu’étaient l’abbé Meslier, le baron d’Holbach ou Ludwig Feuerbach ;

    c’est ce qui me fait écrire ou rappeler, de temps-à autre, que la France n’est pas le pays ni de Voltaire ni de Robespierre ou encore de Napoléon, mais qu’elle est le pays de Jean Meslier, d’Émilie du Châtelet, de Mozart, d’Olympe de Gouges, de Georges Sand, de Marie Curie et d’Élisabeth Badinter

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    L’intolérance religieuse est un fléau universel

    Dans cette perspective introduire l’enseignement du fait athée à l’école, participe de mettre en Lumières et à concrétiser la recherche de l’Éthique - n’est-il pas urgent, parce que les philosophies de l’athéisme nous accompagnent depuis l’antiquité, ravivées dès la Renaissance, puis au cours du XVIIIe siècle à nos jours, de se référer à l’or et à l’ambre des grandes légendes de la pensée et à l’œuvre philosophique et littéraire des penseurs de l’immanent ?

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    Forgé sur la pulsion de mort, le monothéisme est la racine du sectarisme

    Son-invention avait signé l’acte de naissance du pire ou du plus-odieux des sectarismes

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    L’infantilisme, c’est imaginer l’enfer ailleurs que sur terre

    C’est faire du tord à l’humanité que d’enseigner le fait religieux sans déconstruire les histoires mortifères et infantiles construites ainsi que des contes dans ce que les religions ont de contes pour enfants car ne nous racontons pas d’histoire il n’y aura ni pardon ni résurrection, ni récompense ni punition ;

    ne compte que ce qui se passe sur terre où le vrai est cruel, souvent atroce quand-il n’est pas-un terrible cauchemar et le meilleur bien trop rare

    Le temps n’est-il pas enfin venu d’enseigner aux enfants que la raison est la seule arme contre les croyances et les préjugés véhiculés à travers des textes infantiles et égoïstes - sans réel autre objet que de sacraliser le sexisme, l’homophobie et une paroxysmique haine de l’athée pour les répandre dans la société*1 ?

    *1: et ainsi, si l’on n’y prend pas garde, peut-être un jour, de se retrouver, à la tête de notre pays, avec un champion de la masculinité retrouvée digne des héros historiques des périodes totalitaires à l’image d’un Trump aux USA

    N’est-il pas désormais bien venu d’alerter les jeunes générations qu’il existe une culture qui n’est ni platonicienne ni aristotélicienne, mais une culture qui se réfère aux penseurs de l’immanent qui, d’une époque à l’autre, se préoccupent pour l’essentiel de la recherche de l’éthique, non dans des mondes imaginaires soit-disant présents dans le ciel, mais dans le monde terrestre tel qu’il est, dont, depuis l’antiquité à notre époque, les plus grand-e-s parmi les plus connus : Aristippe de Cyrène, Aristophane, Démocrite, Épicure, Leucippe, Ésope, Diogène Laërce, Lucrèce, Hypatie, les anonymes du moyen-âge, La Fontaine, Jean Meslier, Casanova avec Francesca Bruni, Émilie du Châtelet, Mozart, Da Ponte, Olympe de Gouges, Georges Sand, Lou Salomé avec Nietzsche, Simone Veil, Richard Dawkins, André Brahic, Michel Onfray, Robert et Elisabeth Badinter ?

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    Politique

    Enseigner le fait athée à l’école : quelle est la position des candidats à la présidence de la république ? - Sont-ils soumis, insoumis ou laïcs nos vaillants candidats ? CRAB

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    Articles précédents :

    L’athéisme à l’école - Chapitre n°1

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/01/latheisme-lecole-chapitre-n1.html

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    L’athéisme à l’école - Chapitre n°2

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/02/latheisme-lecole-chapitre-n2.html

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    Suites :

    Sémantique de l’athéisme

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/01/semantique-de-latheisme.html

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    Suite 2 :

    ATHÉISME : 2016 -

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/12/atheisme-2016.html

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    Suite 3 :

    Théologie apophatique de l’existence de dieu et du féminisme

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/01/theologie-apophatique-de-lexistence-de.html

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    Suite 4 :

    Laïcité et inégalités dans la société française

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/01/laicite-et-inegalites-dans-la-societe.html

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    Suites 5 :

    Mes sorcières mal aimées

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/11/mes-sorcieres-mal-aimees.html