Je ne comprends pas qu'on invite des Évêques pour débattre de l'euthanasie. Anne Bert – moi non plus. Crab
Atteinte de la maladie de Charcot, chaque jour de plus en plus « emmurée » dans son corps, l ’écrivaine Anne Bert a décidé d avoir recours ? une euthanasie en Belgique. Mais elle voudrait être la dernière à devoir aller à l ’étranger pour mourir « dans la dignité ». Alors elle consacre ses ultimes forces à se battre pour que la loi change en France. Elle publie un livre, Le Tout Dernier Été, qui paraîtra le 4 octobre chez Fayard. À cette date, rattrapée par sa maladie, elle aura déjà bénéficié d ’une injection pour abréger ses souffrances. Laure Daussy
Les religions, ainsi que toutes les hiérarchies monothéistes aiment la mort, l’athéisme et les athées n’aiment que la vie
Nous étions très jeunes, filles-garçons, déjà conscients que la mort est absence de sensation, amoureux-amoureuses de la vie, avertis-averties que jouir sans se nuire ni nuire à autrui acte, pour toute finalité, que le plaisir, dans notre société, est la racine de la morale – un état d’esprit libertaire qui ne doit rien, ni ne ressemble en rien à cette société mortifère que les religieux de toutes les confessions tentent sans relâcher de nous imposer
Mais bon, puisque « nos amis les religieux » tiennent à ce point à l’immortalité - qu’ils se livrent donc tous ( entre-eux ) au cannibalisme, les kto par le biais de l’Ostie ont pris un peu d’avance sur leurs concurrents directs, mais les autres peuvent toujours organiser des sessions de rattrapages et ainsi, bien occupés, de ficher la paix aux gens qui ne leur demandent rien
Aux antipodes des religions et des bouffées de délires des religieux
Pour nous jeunes et moins jeunes, au fil du temps, reconnaître ou accepter sans réserve que seul le sexuel dans la société est par nature la source sensorielle des petits et grands bonheurs susceptibles de tapisser nos amours des plus belles " fleurs du bien "
Ainsi l’expérience hédoniste des quotidiens heureux l’emporte sur l’espérance d’une « vie meilleure et éternellement récompensée » dans la mort que propose la maladie d’illusions sacralisée par le biais pervers de la religion
Loin de toutes idées de soumission, éminemment imperméables à la promesse contorsionnée d’illusoires lendemains-meilleurs promis, avant la mort ou après la mort, par le politique ou le religieux, libertins-libertaires gourmands, amoureux épris de la vie, nous aimions dire " qu’on aimeraient être immortels, certes, mais à la condition d’avoir le droit d’arrêter " ou pour le dire autrement : plébisciter que mettre fin à ses jours incarnerait le dernier acte de liberté d’une existence pour une mort choisie - CRAB
Suites :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/10/latheisme-en-france-63-de-non-religieux.html
vie
-
L’immortalité