Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

: féminisme_universel

  • Contre ce que femme veut tous les dieux sont-impuissants

    Contre les dieux, ce que femme veut, elle le prend pour le rendre à toutes les femmes - CRAB

    .

    Irak : une jeune femme à vélo brave les tabous à Bagdad

    Pour faire entendre la voix des femmes, une jeune Irakienne circule à vélo dans les rues de Bagdad.
    La petite reine de Bagdad. Au mépris des tabous, une jeune Irakienne de 25 ans s'est promenée ce lundi à vélo dans le centre de Bagdad, accompagnée de dizaines de jeunes, pour promouvoir les droits de la femme dans un pays pétri de traditions. «Assez de la peur : les femmes devraient faire valoir leurs droits et s'en servir, car nous sommes la société», a déclaré Marina Jaber en expliquant sa démarche, applaudie par de nombreux passants.

    .

    Se libérer du regard des autres
    En Irak, il n'est pas formellement interdit aux femmes de monter à vélo. Mais cette pratique est rare car socialement mal tolérée. «Nous revenons de Rachid street (une rue animé du centre-ville, ndlr) et la seule chose que nous avons entendue c'était "l'Irak va quand même bien", raconte la jeune artiste-peintre, diplômée en nutrition. «Je suis très heureuse, je réalise que notre société n'est pas si rétrograde, les gens nous encouragent», sourit-elle.

    Un succès fou sur les réseaux sociaux

    .

    Depuis quelques semaines, les photos de cette musulmane aux longs cheveux bruns déambulant à vélo dans les rues de Bagdad créent la sensation sur les réseaux sociaux. Le compte Instagram de Marina compte aujourd'hui plus de 29.000 abonnés.

    .

    Sur l'un de ces clichés, Marina dépasse un vieil homme à vélo qui lui jette un regard noir, visiblement choqué.

    Marina a fait des émules chez les jeunes femmes de Bagdad. Parmi elles, Mina, 25 ans, venue se joindre à la promenade de lundi, dans l'espoir de faire avancer les mentalités. «Quand j'étais enfant j'avais un vélo, j'en faisais toute la journée. Mais quand j'ai eu 10 ans, ma famille a commencé à me l'interdire, je ne comprenais pas pourquoi. Plus tard j'ai réalisé que c'est parce que j'étais une fille», confie-t-elle. Une bien triste réalité. - Sources : LAPARISIENNE

    I

    Suites : Les-audacieuses
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/03/les-audacieuses.html