Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

golshiftech_farhani

  • Fausse pudeur

    Les nourritures terrestres des « bons commandements » du dogme ou des rituels de l’obscurantisme
    Comment contre la démocratie se nourrit le terrorisme dont au quotidien les assauts théocratiques islamistes contre la laïcité, contre les principes de la démocratie, contre la citoyenneté, contre la culture, contre notre humanité en France ou partout ailleurs dans les sociétés occidentales ?
    Pour bien appréhender ces faits d’actualité, surtout si l’on se propose d’assumer le plus possible d’humanité car l’autonomie fait peur en particulier si on y voit un appel au désordre, il suffit de se référer à la question de savoir ce qui fait le plus peur aux islamistes ou à la grande majorité des musulmans dits modérés, à laquelle répond Tahar Ben Jelloun, citation : « La liberté d’expression, le doute, la liberté de conscience, le fait de croire ou ne pas croire. […] Or, il est clair qu’elle [la liberté] est rejetée par une partie des musulmans de France. C’est peut-être d’ailleurs à cause de ce rejet […] que certains ne s’intègrent pas. […] Le débat, le simple débat sur la laïcité y est impossible. […] Pas de laïcité, cela veut dire pas […] de doute, pas de contestation. L’islam est sacré. On n’y touche pas. Cela témoigne aussi de ce que les musulmans, dans leur grande diversité, se sentent vulnérables. » Quant à la modernité, elle est « difficile à faire entrer dans les mentalités et dans les comportements. Or la modernité se mesure d’abord par la place qui est faite à la femme dans le système social. La modernité, c’est aussi la reconnaissance de l’individu. Or, dans les sociétés arabo-musulmanes, […] c’est le clan, la famille, la tribu qui priment, ce n’est pas la personne. D’où l’absence de progrès social, d’où l’attachement à l’islam en tant que référence commune à toutes les couches sociales, devenant aussi une morale, une culture et un refuge identitaire. » - Fin de citation

    libellés : burqa,féminisme_universel,féminité,golshiftech_farhani,islam,laïcité,religions,voile,voiles_islamique

     Le déni

    Le voile ou couverte de pieds en cape n’est pas un signe ostensible religieux – ne pas dénoncer ce signe de soumission sans le moindre rapport avec le féminisme universel, au nom du refus de je ne sais « quel paternalisme féministe occidental - blanc - qui entend occidentaliser les musulmanes » est une aberration car bon nombre de femmes et quelques trop rares hommes courageux originaires des milieux ou régions du monde dominés par des musulmans ne se privent pas de déconstruire l’hyper sexualisation du corps de la femme dite « musulmane » - elles - ils le font au grand jour et très très bien, ce qui démontre parfaitement que le féminisme est universel ou n’est pas ( dit autrement, il n’existe pas de féminisme musulman ni chrétien ni noir ) ;
    en fait, le paternalisme féministe blanc occidental, au même titre que le terme islamophobie, est une expression inventée de toute pièce destinée à couvrir le plus parfait déni des réalités sur l’essentiel : à savoir les tentatives constantes de l’inquisition musulmane d’imposer l’islam par le biais du carcan de l’accoutrement islamique, un code vestimentaire qui ne permet pas ne serait-ce que de se déplacer ou courir librement dans la rue pour ne pas rater son bus, de faire du sport, de la danse ou de jouer ( par exemple ) les pièces les plus célèbres de notre répertoire théâtral, etc. etc.
    Rappel : le voile islamique est le pire des signes de l’infériorisation de la femme ou de l’abaissement du statut des femmes
    Écrasés par cette incapacité à brûler en soi les livres dits sacrés, sans vergogne, ( hélas ) avec la complicité de femmes « voilées volontaires ou couvertes de pieds en cape », l’enjeu majeur plus politique, que les exigences de la moyenne des musulmans, étant pour les islamistes, sans faire preuve de la moindre retenue, au nom d’une notion fausse de la pudeur, d’installer ou de concrétiser la société des hommes - CRAB -

     

    Une iranienne à Paris
    « Et à Paris, j’ai réalisé que c’est tellement joli d’être une femme. Parce qu’ici on a des droits, mais surtout, on n’est jamais coupable. » Golshiftech Farhani

     

    Suites :
    http://democrite-epicure.hautetfort.com/archive/2017/03/27/couvertes-de-pieds-en-cape-5926023.html
    ou sur la page :
    http://democrite-epicure.hautetfort.com/archive/2017/03/27/couvertes-de-pieds-en-cape-5926023.html