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  • Pour les ouistiti-moustachus - suite


    Jour de commémoration
    Parmi les farouchements " je ne suis pas Charlie ", animés d’une haine mal dissimulée, c’est toujours, trois ans plus tard, comme si les frères Kouachi avaient baclé le boulot
    Fin 2017, le torchon MEDIAPART pour prendre la défense d’Edwy Plenel sorte de « djihadiste bon teint », publiait un texte délétère et odieux signé par 160 personnalités en réponse à la Une « On ne savait pas » de Charlie Hebdo
    Un acte anti-Charlie comptant parmi les plus haineux, et qui n’a pas d’autre objet que de finir le boulot des frères Kouachi
    Ici, il faut rappeler rappeler à la soldatesque des ouistiti-moustachus ( les 160 distingués crétins ) et à son chef de file militant islamo-gauchiste et si peu journaliste susnommé Edwy Plenel le plus grand, devant Allah, de tous les ouistiti-moustachus qu’en France ce ne sont pas les athées, les Charlie ni les laïcs qui tuent mais bien des individus formatés par l’inquisition musulmane dont la haine du non-musulman, où que ce soit dans le monde, ne connaît pas de limite – CRAB – 6 Janvier 2018

    Suite : Pour les ouistiti-moustachus
    https://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/11/pour-les-ouistiti-moustachus.html

     

  • Cosi fan tutte

     

    J’ai lu dans un article rédigé par une « féministe » que le " Cosi fan tutte " opéra de Mozart, est misogyne - qu’il devrait plutôt se titrer " Comme ils font tous "
    Cette ineptie, une fois encore, s’inscrit dans la logique d’une idéologie de la victimisation des femmes que dénonçait dès 2003 Élisabeth Badinter dans son livre " Fausse route " *1

    *1 - Non, les femmes ne sont pas toutes les victimes - passées, présentes ou à venir - des hommes.
    Non, les dissemblances entre les sexes ne sont pas plus grandes que leurs ressemblances.
    Non, insiste-t-elle, nous ne sommes pas une espèce fragile à protéger à grand renfort de quotas.
    Et de s'indigner contre l'imagerie doloriste dessinée par le lamento des féministes: " On s'intéresse moins à celle qui réalise des exploits qu'à la victime de la domination masculine, …. écrit-elle.Fin de citation -

     
    Il suffit de le vérifier sur mes blogs - à longueurs d’années, je renvoie le lecteur à la parole des femmes émancipées ou éprises de liberté qui partout dans le monde montrent que la liberté pour une femme passe avant l’écrit ou l’oral par leur façon d’êtredans la société ce sont des héroïnes, donc : " Pas que féministes " - mais, en même temps, elles sont de vraies démocrates
     
    Prétendre titrer " Comme ils font tous ", est un commentaire qui n’est pas sans rappeler la face sombre de ce militantisme « féministe » infantile qui on ne serait mieux dire est catastrophiquement contre-productif
     
    En effet, c’est méconnaître l’ironie ou l’impertinence, un genre dont sont friands les grands auteurs car dans " Cosi fan tutte " c’est Despina la servante - une vraie féministe* 2 totalement indépendante qui convainc ses patronnes d’être aussi infidèles ainsi que le sont plus traditionnellement - les hommes

    *2 - « De la part des hommes, des soldats, vous espérez de la fidélité ? Qu’on ne vous entende pas, de grâce ! »
    « Payons, ô femmes, de la même monnaie cette race maléfique et impertinente ! Aimons par commodité, par vanité ! », chante-t-elle à ses patronnes

    En 2018, il est plus que jamais évident de déconstruire les idéologies de la victimisation des femmes au même titre que l’urgente déconstruction des patriarcats sacralisés par la religion si l’on veut réussir pleinement, dans les plus brefs délais, l’égalité femmes-hommes - c’est notre responsabilité - CRAB -

    Suite : Opéra et féminisme
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2018/01/opera-et-feminisme.html

    Suite 2 : Réaliser un féminisme libertin

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin_16.html

  • Opéra et féminisme


    Ci-dessus en 2009, la talentueuse mise en scène de Carmen par Emma Dante – Direction Daniel Barenboïm

    Crétinerie sans frontière
    2018 - Contre les violences faites aux femmes, Carmen tue Don José à l'opéra de Florence
    Le metteur en scène Leo Muscato a réécrit la fin du célèbre opéra, pour que le public n'applaudisse pas le meurtre d'une femme. - " Il est inconcevable qu'on applaudisse le meurtre " d'une femme, dit-il. - Fin de citation
    Imaginer, ne serait-ce qu’un instant, que les lyricomanes applaudissent le meurtre d’une femme, c’est vraiment, vraiment prendre les gens pour des cons - CRAB

    Si ce grand « féministe » à besoin d’un texte féministe, je me permets de lui proposer de mettre en scène l’histoire de l’éblouissante Salomé
    Salomé ( ça arrive - personne n'est parfait ) aimait sa mère - sur le fond, en tant que femme, elle avait-eu entièrement raison de demander la …. Suite : Salomé


    Suite 2 : [ … ce qui restera une des meilleures interprétations et surtout peut-être la meilleure mise en scène du plus beau fleuron de notre culture …. ] Carmen
    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/grand-art/

    Suite 3 : Et Mozart créa la femme
    [ Ce que j’aime chez Mozart et Da Ponte, c’est qu’ils montrent les femmes et les hommes telles et tels qui sont ]
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/12/et-mozart-crea-la-femme.html