RAPPEL
Pourquoi la gauche n’aime pas Michel Onfray ?
Quelle question, parce que la gauche n’est plus ni de gauche, ni laïque, n’a jamais été souverainiste, mais, désormais, définitivement en déshérence, fornicatrice avec les platoniciens, amarrée maastrichtienne, robespierriste, jacobine et islamo-gauchiste, banane !
Insultes, divulgation de son adresse, c’est inacceptable, odieux, Laurence Taillade a entièrement raison de porter plainte après son débat contre Rokhaya Diallo.
Celle-là, comme sa jumelle Danièle Obono, n’en est pas à son premier dérapage hyper-aggravé - les deux font la paire, et ce n’est pas, nettement plus intelligente la troisième incarnation de la diversité Sibeth qui me contredira.
Les deux Jumelles a courte vue
" Et je suis allé vers la France avec le soleil de France dans mon cœur. " Joséphine Baker
Qui n’aime pas la culture française ne sait pas ce qu’il perd, nul ne le retiendra.
Qui aime la culture française sera toujours le bienvenu.
SUITE
https://laicite-moderne.blogspot.com/search?q=Obono
Rokhaya_Diallo, Danièle_Obono
Commentaires
EN FAMILLE
Obono qui mal y pense
Une ligne a été franchie, certes, mais n’est-ce pas ici l’arroseuse arrosée par des gens qui la valent bien, se souvient-elle du nombre de lignes qu’elle a allègrement franchie ?
SUITE
http://democrite-epicure.hautetfort.com/archive/2020/08/30/en-famille-6260160.html
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Au micro de LCI, le philosophe s’est inquiété de la liberté de la presse, rappelant que le texte publié par Valeurs actuelles sur la députée Danièle Obono était “une fiction”.
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Michel Onfray s’est inquiété de la liberté de la presse, rappelant que le texte publié par Valeurs actuelles sur la députée Danièle Obono était “une fiction”.
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Michel Onfray qui a tenu à défendre notre hebdomadaire sur LCI, après la fiction publiée dans nos pages imaginant la députée LFI Danièle Obono au temps de l’esclavage. Alors que la journaliste Elisabeth Martichoux lui demandait si la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo n’était pas le symbole de la liberté d’expression, le philosophe a embrayé sur la polémique Obono : « Elle est aussi dans la possibilité de faire de l’ironie dans une fiction de Valeurs actuelles ».
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« Je pense que c’est une fiction et qu’on a le droit à la fiction. Moi, je défends la liberté de la presse, pas seulement celle de la gauche », a fait valoir Michel Onfray sur le plateau de LCI, avant de faire remarquer que lui aussi est souvent critiqué et caricaturé dans les médias. « Moi, j’ai pas porté plainte, j’ai pas eu un tweet du président de la République […]. Je ne suis pas une pleureuse », a-t-il expliqué, ajoutant : « Il faut prendre des coups quand on donne des coups, c’est le jeu démocratique ».
« On n’est plus au pays de Voltaire »
Et le philosophe d’insister, en dressant un triste portrait de l’état de la liberté d’expression en France : « Je vous rappelle que ce texte est une fiction. On ne sait plus aujourd’hui faire la part de la fiction, de l’humour, de l’ironie, on n’est plus au pays de Voltaire, ni au pays de Rabelais. Il y a des choses qu’on ne peut plus dire aujourd’hui parce qu’effectivement immédiatement vous êtes dans l’idéologie. On a le droit de critiquer, de railler », a-t-il développé. Michel Onfray a conclu sur le sujet en critiquant ceux qui se sont insurgés contre ce texte : « Tous ces gens, comme Rokhaya Diallo, qui nous disent qu’ils ne sont que des descendants d’esclaves : le problème ce n’est pas de savoir ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont dit, ils sont des victimes du simple fait qu’ils sont des descendants d’esclaves. Tous ces gens veulent bien le dire eux, mais ne veulent pas que d’autres le disent ».
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Au micro de LCI, le philosophe s’est inquiété de la liberté de la presse, rappelant que le texte publié par Valeurs actuelles sur la députée Danièle Obono était “une fiction”.
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Michel Onfray qui a tenu à défendre notre hebdomadaire sur LCI, après la fiction publiée dans nos pages imaginant la députée LFI Danièle Obono au temps de l’esclavage. Alors que la journaliste Elisabeth Martichoux lui demandait si la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo n’était pas le symbole de la liberté d’expression, le philosophe a embrayé sur la polémique Obono : « Elle est aussi dans la possibilité de faire de l’ironie dans une fiction de Valeurs actuelles ».
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« Je pense que c’est une fiction et qu’on a le droit à la fiction. Moi, je défends la liberté de la presse, pas seulement celle de la gauche », a fait valoir Michel Onfray sur le plateau de LCI, avant de faire remarquer que lui aussi est souvent critiqué et caricaturé dans les médias. « Moi, j’ai pas porté plainte, j’ai pas eu un tweet du président de la République […]. Je ne suis pas une pleureuse », a-t-il expliqué, ajoutant : « Il faut prendre des coups quand on donne des coups, c’est le jeu démocratique ».
« On n’est plus au pays de Voltaire »
Et le philosophe d’insister, en dressant un triste portrait de l’état de la liberté d’expression en France : « Je vous rappelle que ce texte est une fiction. On ne sait plus aujourd’hui faire la part de la fiction, de l’humour, de l’ironie, on n’est plus au pays de Voltaire, ni au pays de Rabelais. Il y a des choses qu’on ne peut plus dire aujourd’hui parce qu’effectivement immédiatement vous êtes dans l’idéologie. On a le droit de critiquer, de railler », a-t-il développé. Michel Onfray a conclu sur le sujet en critiquant ceux qui se sont insurgés contre ce texte : « Tous ces gens, comme Rokhaya Diallo, qui nous disent qu’ils ne sont que des descendants d’esclaves : le problème ce n’est pas de savoir ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont dit, ils sont des victimes du simple fait qu’ils sont des descendants d’esclaves. Tous ces gens veulent bien le dire eux, mais ne veulent pas que d’autres le disent ».
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Au micro de LCI, le philosophe s’est inquiété de la liberté de la presse, rappelant que le texte publié par Valeurs actuelles sur la députée Danièle Obono était “une fiction”.
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Michel Onfray qui a tenu à défendre notre hebdomadaire sur LCI, après la fiction publiée dans nos pages imaginant la députée LFI Danièle Obono au temps de l’esclavage. Alors que la journaliste Elisabeth Martichoux lui demandait si la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo n’était pas le symbole de la liberté d’expression, le philosophe a embrayé sur la polémique Obono : « Elle est aussi dans la possibilité de faire de l’ironie dans une fiction de Valeurs actuelles ».
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« Je pense que c’est une fiction et qu’on a le droit à la fiction. Moi, je défends la liberté de la presse, pas seulement celle de la gauche », a fait valoir Michel Onfray sur le plateau de LCI, avant de faire remarquer que lui aussi est souvent critiqué et caricaturé dans les médias. « Moi, j’ai pas porté plainte, j’ai pas eu un tweet du président de la République […]. Je ne suis pas une pleureuse », a-t-il expliqué, ajoutant : « Il faut prendre des coups quand on donne des coups, c’est le jeu démocratique ».
« On n’est plus au pays de Voltaire »
Et le philosophe d’insister, en dressant un triste portrait de l’état de la liberté d’expression en France : « Je vous rappelle que ce texte est une fiction. On ne sait plus aujourd’hui faire la part de la fiction, de l’humour, de l’ironie, on n’est plus au pays de Voltaire, ni au pays de Rabelais. Il y a des choses qu’on ne peut plus dire aujourd’hui parce qu’effectivement immédiatement vous êtes dans l’idéologie. On a le droit de critiquer, de railler », a-t-il développé. Michel Onfray a conclu sur le sujet en critiquant ceux qui se sont insurgés contre ce texte : « Tous ces gens, comme Rokhaya Diallo, qui nous disent qu’ils ne sont que des descendants d’esclaves : le problème ce n’est pas de savoir ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont dit, ils sont des victimes du simple fait qu’ils sont des descendants d’esclaves. Tous ces gens veulent bien le dire eux, mais ne veulent pas que d’autres le disent ».
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