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DIX PETITS NÈGRES

 

DIX PETITS NÈGRES.png

INRODUCTION

L'île du Nègre ! Elle est au cour des histoires les plus folles. Selon certains elle viendrait d'être achetée par une star de Hollywood, l'Amirauté britannique y conduirait des expériences classées secret-défense. Aussi quand les dix invités d'un hôte mystérieux y sont conviés pour passer des vacances, tous s'y précipitent ! Le sinistre compte à rebours peut alors commencer.

 

Citation - Raphaël Enthoven juge «monstrueux» et «misérable» le changement de titre des Dix petits nègres

Interrogé sur LCI, le philosophe a fustigé la décision de l'héritier Agatha Christie, symptomatique selon lui d'un «écrasement de l'opinion dissidente». Fin de citation.

 

La version française de " DIX PETITS NÈGRES " rebaptisée " ILS ÉTAIENT DIX "

Croire pour exister au lieu de penser pour être ;

penser pour être est un art bien plus difficile quand il faudrait s’affranchir des dérives communautaristes ou des minorités goulûment idéologisées pour exister.

 

Je me contrefiche de cette minorité de crétins qui ont dénaturé le mot nègre pour en changer le sens, mais aussi de ceux qui veulent effacer le mot nègre de la littérature.

Pour ma part je ne céderai pas ni à la police de la culture ni à la police de la pensée, et j’ai bien l’intention de continuer à parler de nègres au sens initial tel que l’envisageais Aimé Césaire ou Léopold Sédar Senghor.

 

Gardez les œuvres dans leur contexte.

L’explication aux plus jeunes s’impose sur l’importance du contexte ;

au lieu de se livrer au déni de l’histoire, respecter, au nom de la société de demain, la valeur du contexte.

Méconnaître l'histoire de son pays, installerait une police de la pensée et en suivant un État totalitaire.

Nul ne doit oublier que les talibans ont détruit à l’aide d’explosifs les bouddhas de Bâmiyân.

 

Lire ‘’ GÉNÉRATION OFFENSÉE ‘’ de Caroline Fourest pour bien comprendre les intentions de ces minorités de victimistes, de racialisés, de pendards de l'intersectionnalité ou du rang des dé-coloniaux, lesquels plein de soi entendent freiner ou déconstruire, voire effacer la construction de l’universel dans notre société ;

depuis bientôt quatre décennies, grâce à l’idée même de progrès radicalement dénaturée ces minorités ont pu prospérer sans frein à cause de l’abandon par les gauches, par purs électoralismes, des principes de la laïcité et du féminisme universel.

 

J'ai toujours refusé la censure qu’elle vienne de l’État ou d’un petit modérateur qui se prend pour un dieu, mais j’ai souvent demandé que certains livres la plupart du temps monothéistes ou autres bouquins non-religieux soient précédés d'un avertissement à l'usage des plus jeunes.

 

FAIT DE CENSURE

Activisme_islamique, Allah, Certificat_de_coutume, radicalisme_musulman, Antiracisme, Antisionisme, Banlieue, éducation nationale, égalité_femmes-hommes, balance_ton_porc, Caroline_de_Haas, Clémentine_Autin, féminisme, féminisme_universel, nov-féminisme, viols, Weinstein,Élisabeth_Badinter, féminisme_universel, Gisèle_Halimi, Marceline_Loridan-Ivens, Pakistan, Zineb_El_Rhazoui

Ce type, Idriss Sihamedi, le président de Barakacit, un des principaux chantres de l’inquisition musulmane ( l’islam politique ) s'exprime librement sur Facebook, alors que Facebook à la demande de « courageux anonymes » bloque l'URL d'un de mes blogs ( http://laicite-moderne.blogspot.com/ ) sur Facebook, que faut-il en penser ?

CRAB

 

Libellés

Activisme_islamique, Allah, Certificat_de_coutume, radicalisme_musulman, Antiracisme, Antisionisme, Banlieue, éducation nationale, égalité_femmes-hommes, balance_ton_porc, Caroline_de_Haas, Clémentine_Autin, féminisme, féminisme_universel, nov-féminisme, viols, Weinstein,Élisabeth_Badinter, féminisme_universel, Gisèle_Halimi, Marceline_Loridan-Ivens, Pakistan, Zineb_El_Rhazoui

 

 

 

Commentaires

  • Au micro de LCI, le philosophe s’est inquiété de la liberté de la presse, rappelant que le texte publié par Valeurs actuelles sur la députée Danièle Obono était “une fiction”. 
    .
    Michel Onfray qui a tenu à défendre notre hebdomadaire sur LCI, après la fiction publiée dans nos pages imaginant la députée LFI Danièle Obono au temps de l’esclavage. Alors que la journaliste Elisabeth Martichoux lui demandait si la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo n’était pas le symbole de la liberté d’expression, le philosophe a embrayé sur la polémique Obono : « Elle est aussi dans la possibilité de faire de l’ironie dans une fiction de Valeurs actuelles ». 
    .
    « Je pense que c’est une fiction et qu’on a le droit à la fiction. Moi, je défends la liberté de la presse, pas seulement celle de la gauche », a fait valoir Michel Onfray sur le plateau de LCI, avant de faire remarquer que lui aussi est souvent critiqué et caricaturé dans les médias. « Moi, j’ai pas porté plainte, j’ai pas eu un tweet du président de la République […]. Je ne suis pas une pleureuse », a-t-il expliqué, ajoutant : « Il faut prendre des coups quand on donne des coups, c’est le jeu démocratique ». 
    « On n’est plus au pays de Voltaire »
    Et le philosophe d’insister, en dressant un triste portrait de l’état de la liberté d’expression en France : « Je vous rappelle que ce texte est une fiction. On ne sait plus aujourd’hui faire la part de la fiction, de l’humour, de l’ironie, on n’est plus au pays de Voltaire, ni au pays de Rabelais. Il y a des choses qu’on ne peut plus dire aujourd’hui parce qu’effectivement immédiatement vous êtes dans l’idéologie. On a le droit de critiquer, de railler », a-t-il développé. Michel Onfray a conclu sur le sujet en critiquant ceux qui se sont insurgés contre ce texte : « Tous ces gens, comme Rokhaya Diallo, qui nous disent qu’ils ne sont que des descendants d’esclaves : le problème ce n’est pas de savoir ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont dit, ils sont des victimes du simple fait qu’ils sont des descendants d’esclaves. Tous ces gens veulent bien le dire eux, mais ne veulent pas que d’autres le disent ». 
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  • Au micro de LCI, le philosophe s’est inquiété de la liberté de la presse, rappelant que le texte publié par Valeurs actuelles sur la députée Danièle Obono était “une fiction”. 
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    Michel Onfray qui a tenu à défendre notre hebdomadaire sur LCI, après la fiction publiée dans nos pages imaginant la députée LFI Danièle Obono au temps de l’esclavage. Alors que la journaliste Elisabeth Martichoux lui demandait si la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo n’était pas le symbole de la liberté d’expression, le philosophe a embrayé sur la polémique Obono : « Elle est aussi dans la possibilité de faire de l’ironie dans une fiction de Valeurs actuelles ». 
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    « Je pense que c’est une fiction et qu’on a le droit à la fiction. Moi, je défends la liberté de la presse, pas seulement celle de la gauche », a fait valoir Michel Onfray sur le plateau de LCI, avant de faire remarquer que lui aussi est souvent critiqué et caricaturé dans les médias. « Moi, j’ai pas porté plainte, j’ai pas eu un tweet du président de la République […]. Je ne suis pas une pleureuse », a-t-il expliqué, ajoutant : « Il faut prendre des coups quand on donne des coups, c’est le jeu démocratique ». 
    « On n’est plus au pays de Voltaire »
    Et le philosophe d’insister, en dressant un triste portrait de l’état de la liberté d’expression en France : « Je vous rappelle que ce texte est une fiction. On ne sait plus aujourd’hui faire la part de la fiction, de l’humour, de l’ironie, on n’est plus au pays de Voltaire, ni au pays de Rabelais. Il y a des choses qu’on ne peut plus dire aujourd’hui parce qu’effectivement immédiatement vous êtes dans l’idéologie. On a le droit de critiquer, de railler », a-t-il développé. Michel Onfray a conclu sur le sujet en critiquant ceux qui se sont insurgés contre ce texte : « Tous ces gens, comme Rokhaya Diallo, qui nous disent qu’ils ne sont que des descendants d’esclaves : le problème ce n’est pas de savoir ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont dit, ils sont des victimes du simple fait qu’ils sont des descendants d’esclaves. Tous ces gens veulent bien le dire eux, mais ne veulent pas que d’autres le disent ». 
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  • Au micro de LCI, le philosophe s’est inquiété de la liberté de la presse, rappelant que le texte publié par Valeurs actuelles sur la députée Danièle Obono était “une fiction”. 
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    Michel Onfray qui a tenu à défendre notre hebdomadaire sur LCI, après la fiction publiée dans nos pages imaginant la députée LFI Danièle Obono au temps de l’esclavage. Alors que la journaliste Elisabeth Martichoux lui demandait si la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo n’était pas le symbole de la liberté d’expression, le philosophe a embrayé sur la polémique Obono : « Elle est aussi dans la possibilité de faire de l’ironie dans une fiction de Valeurs actuelles ». 
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    « Je pense que c’est une fiction et qu’on a le droit à la fiction. Moi, je défends la liberté de la presse, pas seulement celle de la gauche », a fait valoir Michel Onfray sur le plateau de LCI, avant de faire remarquer que lui aussi est souvent critiqué et caricaturé dans les médias. « Moi, j’ai pas porté plainte, j’ai pas eu un tweet du président de la République […]. Je ne suis pas une pleureuse », a-t-il expliqué, ajoutant : « Il faut prendre des coups quand on donne des coups, c’est le jeu démocratique ». 
    « On n’est plus au pays de Voltaire »
    Et le philosophe d’insister, en dressant un triste portrait de l’état de la liberté d’expression en France : « Je vous rappelle que ce texte est une fiction. On ne sait plus aujourd’hui faire la part de la fiction, de l’humour, de l’ironie, on n’est plus au pays de Voltaire, ni au pays de Rabelais. Il y a des choses qu’on ne peut plus dire aujourd’hui parce qu’effectivement immédiatement vous êtes dans l’idéologie. On a le droit de critiquer, de railler », a-t-il développé. Michel Onfray a conclu sur le sujet en critiquant ceux qui se sont insurgés contre ce texte : « Tous ces gens, comme Rokhaya Diallo, qui nous disent qu’ils ne sont que des descendants d’esclaves : le problème ce n’est pas de savoir ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont dit, ils sont des victimes du simple fait qu’ils sont des descendants d’esclaves. Tous ces gens veulent bien le dire eux, mais ne veulent pas que d’autres le disent ». 
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